Aelhra (prononcé « alar-uh ») est le pseudonyme de l'artiste américaine Sarah Rocheleau, reconnue pour son art unique, mêlant techniques mixtes et procédés numériques. Ses œuvres, souvent empreintes de surréalisme et d'onirisme, explorent des thèmes tels que l'identité, la mémoire et l'expérience humaine. Née dans le Wisconsin en 1982, Aelhra s'est passionnée pour l'art dès son plus jeune âge. Elle a étudié la gravure à l'Université du Wisconsin-Madison, puis obtenu une maîtrise en beaux-arts (spécialisation gravure) à l'Université du Tennessee-Knoxville. Durant ses études à Knoxville, elle a commencé à expérimenter l'art numérique et a découvert que l'association de la gravure traditionnelle et des procédés numériques lui permettait de créer des images plus complexes et riches en superpositions. Les œuvres d'Aelhra ont été exposées dans des galeries et des musées à travers les États-Unis, notamment au Museum of Contemporary Art de Jacksonville, en Floride, et au Honolulu Museum of Art, à Hawaï. Outre ses œuvres d'art, Aelhra a également réalisé des illustrations pour divers clients, dont le New York Times et le Wall Street Journal. L'une de ses séries les plus remarquables, intitulée « Hollow Bones », explore la fragilité et la résilience du corps humain. Cette série présente des images de structures anatomiques, telles que des os et des muscles, aux côtés de formes plus abstraites évoquant les rouages de l'esprit. Par cette juxtaposition du physique et du psychologique, Aelhra invite le spectateur à contempler sa propre mortalité et l'interconnexion du corps et de l'esprit. Son œuvre est reconnue pour sa maîtrise technique et sa capacité à susciter l'émerveillement et l'introspection. Son approche unique, qui combine techniques d'impression traditionnelles et procédés numériques, lui a valu une réputation d'artiste novatrice, et son travail continue d'inspirer et de captiver le public du monde entier.