Chanel

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  • Mighty Vibras Offset Lithograph Print on Wood by J Balvin x Matt Gondek

    Matt Gondek Lithographie offset Mighty Vibras sur bois par J Balvin x Matt Gondek

    Lithographie offset Mighty Vibras sur panneau de bois par J Balvin x Matt Gondek avec sac fourre-tout, édition limitée, œuvre d'art graffiti street pop. Édition limitée à 300 exemplaires, signée et numérotée, 2018. Illustration de 14 x 23 pouces représentant Astro Boy tatoué avec des lunettes Chanel. Le sac présente une légère tache sur la partie supérieure. L'œuvre est en parfait état, voire quasi parfait. Synthèse culturelle de J Balvin et Matt Gondek dans le pop art urbain L'estampe lithographique offset « Mighty Vibras » sur panneau de bois est une fusion dynamique de musique, de culture urbaine et d'art contemporain. Fruit d'une collaboration entre la superstar colombienne du reggaeton J Balvin et l'artiste Matt Gondek, basé à Los Angeles, cette œuvre capture l'essence du Street Pop Art et du graffiti. Sortie en 2018, cette édition limitée à 300 exemplaires signés et numérotés reflète l'influence mondiale des formes d'art urbain et la perméabilité croissante des frontières entre art, musique et mode. « Mighty Vibras » met en scène un Astro Boy tatoué, arborant des lunettes Chanel, symbole de luxe imprégné d'authenticité urbaine. Ce personnage, icône du manga japonais, est réinterprété à travers le prisme de la culture urbaine et de la haute couture, illustrant l'interconnexion de la culture pop mondiale. Le style déconstructif de Gondek, connu pour déconstruire puis reconstruire ses personnages, est manifeste dans les éléments fragmentés de l'œuvre, visuellement saisissants et thématiquement riches de sens. L'influence de J Balvin sur l'œuvre lui confère une dimension interculturelle palpable, perceptible dans les couleurs vives et le mot « Familia » tatoué sur la poitrine du personnage, un clin d'œil aux thèmes de la famille et de l'appartenance qui imprègnent la musique de Balvin. Avec ses dimensions de 35,5 x 58,5 cm, l'œuvre est une pièce maîtresse qui s'intègre parfaitement à tous les décors, du salon décontracté à la galerie d'art la plus prestigieuse. Intersection de l'art et du merchandising Un tote bag reprenant le même motif accompagne l'estampe, illustrant la tendance croissante à intégrer l'art à son quotidien. Cette approche du merchandising artistique élargit la portée de l'œuvre au-delà des frontières traditionnelles du monde de l'art, l'intégrant à l'expérience de tous les jours. Le tote bag, véritable toile mobile, diffuse l'impact visuel de l'œuvre « Mighty Vibras » auprès d'un public plus large. La fusion de l'héritage musical de J Balvin et du talent artistique de Matt Gondek dans « Mighty Vibras » illustre le potentiel de la collaboration entre différentes industries créatives. Elle démontre également la capacité du street art à transcender ses origines, à s'infiltrer dans la culture et la mode dominantes et à devenir un emblème du mode de vie contemporain. « Mighty Vibras » est plus qu'une simple œuvre d'art ; c'est un artefact culturel qui capture l'esprit de notre époque. Cette œuvre témoigne de la synergie créative entre J Balvin et Matt Gondek, fusionnant l'énergie brute du street art et l'esthétique de la pop culture pour créer un nouveau langage visuel qui parle à un public international et diversifié. Son édition limitée, ainsi que les produits dérivés qui l'accompagnent, en font une pièce de collection à la fois artistique et culturelle.

    $959.00

  • Covid No 19 Sarcelle Archival Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Covid No 19 Sarcelle Archival Print par Denial- Daniel Bombardier

    Covid No 19 - Sarcelle Limited Edition Archival Pigment Print sur papier d'art MOAB 290 g/m² par Graffiti Pop Art et Street Artist Denial. Édition limitée 2021 signée et numérotée à 19 exemplaires : Sarcelle Covid19 Chanel, désinfectant pour les mains inspiré du virus. Tirage pigmentaire d'archives sur papier MOAB Fine Art 290 g/m², numéroté, signé et estampillé au verso. Format : 45,7 cm x 61 cm. Le déni face à la COVID-19 : Le marketing de luxe à l’ère des crises mondiales « COVID No. 19 » de Denial est une saisissante estampe pigmentaire d'archives, éditée en 2021 à seulement 19 exemplaires, chacun signé, numéroté et estampillé à la main sur papier d'art MOAB 290 g/m². L'œuvre s'approprie la forme d'un flacon de parfum Chanel N° 5, remplaçant son étiquette iconique par un nom de produit fictif : Gel hydroalcoolique COVID No. 19. D'une précision numérique extrême, l'image reconfigure l'esthétique de la haute couture pour commenter les absurdités du consumérisme à l'ère de la pandémie. Le flacon de gel hydroalcoolique est présenté avec toute l'autorité visuelle d'un produit de luxe, transformant un objet de première nécessité en une parodie de statut et de désir. Au cœur de cette œuvre se trouve une observation culturelle brutale : lors d'une crise sanitaire mondiale, les outils de survie du quotidien – comme le gel hydroalcoolique et les masques – ont été érigés en symboles d'identité, de mode et d'accès économique. La réinterprétation par Denial du parfum Chanel en un produit de consommation à l'ère du virus confronte de front cette transformation. Cette œuvre ne se contente pas de parodier le luxe ; elle révèle comment les systèmes marketing peuvent absorber les traumatismes, les reconditionner et les revendre au public. L’étiquetage, à la manière de Chanel, est à la fois clinique et élégant, un clin d’œil à la façon dont le minimalisme visuel masque souvent la manipulation des entreprises. L'esthétique commerciale comme arme subversive La stratégie artistique de Denial repose sur le vol et la recontextualisation du langage commercial. Avec COVID No. 19, l'utilisation de lignes vectorielles nettes, de reflets lumineux réalistes et d'un design de produit précis imite la publicité jusqu'à la tromperie. Cette imitation est intentionnelle. Le spectateur est d'abord censé percevoir l'image comme authentique – tirée d'un magazine de mode ou d'une campagne de cosmétiques – avant que l'ironie du slogan ne lui apparaisse clairement. La dissonance entre la forme et le contenu invite à une critique de la tendance capitaliste à esthétiser la souffrance. Cette méthodologie visuelle s'inscrit pleinement dans l'esprit du Street Pop Art et du graffiti. Les racines de Denial dans la communication publique non autorisée et la subversion des images subculturelles demeurent présentes, même si l'œuvre se présente sous une forme d'art contemporain. L'absence de coulures de peinture ou de textures rugueuses n'atténue en rien la rébellion. Au contraire, elle réinterprète le langage graphique de la persuasion commerciale pour le subvertir de l'intérieur. Ce qui ressemble à une présentation de produit est, en réalité, une accusation visuelle. Ce n'est pas la pandémie en elle-même qui est critiquée, mais la manière dont elle est présentée. Le pop art urbain comme documentation de la pandémie COVID No. 19 fonctionne à la fois comme une satire et un témoignage historique. L'œuvre saisit un moment culturel où les outils de survie sont devenus des symboles de luxe, où la rareté était synonyme d'exclusivité et où le marketing s'étendait jusqu'aux fournitures médicales. L'œuvre de Denial illustre la manière dont les crises modernes sont non seulement vécues, mais aussi commercialisées : comment la peur de la maladie a été filtrée par les mêmes systèmes qui vendent beauté, mode et art de vivre. Le flacon de gel hydroalcoolique devient un symbole non de protection, mais de consommation. En fusionnant l'iconographie de la mode avec la réalité d'une pandémie mondiale, Denial oblige le spectateur à repenser les frontières entre design et éthique, entre marketing et survie. La simplicité visuelle de COVID No. 19 dissimule une critique subtile de la rapidité avec laquelle l'esthétique commerciale peut vider les événements de leur sens. Dans la lignée du street art et du graffiti, cette œuvre retourne les symboles familiers contre eux-mêmes, révélant la fragilité des apparences face à l'urgence humaine.

    $313.00

  • Chanel Dark Side HPM Stencil on Wood by Ben Frost

    Ben Frost BERCEAU EN BOIS

    Achat TITRE Multiple peint à la main original (HPM) sur panneau en bois bercé prêt à accrocher par ARTISTE graffiti street artiste pop art moderne. INFO

    $5,463.00

  • Covid No 19 Bleue Archival Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Covid No 19 Bleue Archival Print par Denial- Daniel Bombardier

    Covid No 19 - Bleue, tirage pigmentaire d'archive en édition limitée sur papier d'art MOAB 290 g/m² par Graffiti Pop Art et Street Artist Denial. Édition limitée 2021 signée et numérotée à 19 exemplaires : Gel hydroalcoolique Chanel Bleue Covid-19 (variante Virus). Tirage pigmentaire d'archives numéroté, signé et estampillé au verso sur papier d'art MOAB 290 g/m², format 45,7 x 61 cm. Le déni face à la COVID-19 : Le marketing de luxe à l’ère des crises mondiales « COVID No. 19 » de Denial est une saisissante estampe pigmentaire d'archives, éditée en 2021 à seulement 19 exemplaires, chacun signé, numéroté et estampillé à la main sur papier d'art MOAB 290 g/m². L'œuvre s'approprie la forme d'un flacon de parfum Chanel N° 5, remplaçant son étiquette iconique par un nom de produit fictif : Gel hydroalcoolique COVID No. 19. D'une précision numérique extrême, l'image reconfigure l'esthétique de la haute couture pour commenter les absurdités du consumérisme à l'ère de la pandémie. Le flacon de gel hydroalcoolique est présenté avec toute l'autorité visuelle d'un produit de luxe, transformant un objet de première nécessité en une parodie de statut et de désir. Au cœur de cette œuvre se trouve une observation culturelle brutale : lors d'une crise sanitaire mondiale, les outils de survie du quotidien – comme le gel hydroalcoolique et les masques – ont été érigés en symboles d'identité, de mode et d'accès économique. La réinterprétation par Denial du parfum Chanel en un produit de consommation à l'ère du virus confronte de front cette transformation. Cette œuvre ne se contente pas de parodier le luxe ; elle révèle comment les systèmes marketing peuvent absorber les traumatismes, les reconditionner et les revendre au public. L’étiquetage, à la manière de Chanel, est à la fois clinique et élégant, un clin d’œil à la façon dont le minimalisme visuel masque souvent la manipulation des entreprises. L'esthétique commerciale comme arme subversive La stratégie artistique de Denial repose sur le vol et la recontextualisation du langage commercial. Avec COVID No. 19, l'utilisation de lignes vectorielles nettes, de reflets lumineux réalistes et d'un design de produit précis imite la publicité jusqu'à la tromperie. Cette imitation est intentionnelle. Le spectateur est d'abord censé percevoir l'image comme authentique – tirée d'un magazine de mode ou d'une campagne de cosmétiques – avant que l'ironie du slogan ne lui apparaisse clairement. La dissonance entre la forme et le contenu invite à une critique de la tendance capitaliste à esthétiser la souffrance. Cette méthodologie visuelle s'inscrit pleinement dans l'esprit du Street Pop Art et du graffiti. Les racines de Denial dans la communication publique non autorisée et la subversion des images subculturelles demeurent présentes, même si l'œuvre se présente sous une forme d'art contemporain. L'absence de coulures de peinture ou de textures rugueuses n'atténue en rien la rébellion. Au contraire, elle réinterprète le langage graphique de la persuasion commerciale pour le subvertir de l'intérieur. Ce qui ressemble à une présentation de produit est, en réalité, une accusation visuelle. Ce n'est pas la pandémie en elle-même qui est critiquée, mais la manière dont elle est présentée. Le pop art urbain comme documentation de la pandémie COVID No. 19 fonctionne à la fois comme une satire et un témoignage historique. L'œuvre saisit un moment culturel où les outils de survie sont devenus des symboles de luxe, où la rareté était synonyme d'exclusivité et où le marketing s'étendait jusqu'aux fournitures médicales. L'œuvre de Denial illustre la manière dont les crises modernes sont non seulement vécues, mais aussi commercialisées : comment la peur de la maladie a été filtrée par les mêmes systèmes qui vendent beauté, mode et art de vivre. Le flacon de gel hydroalcoolique devient un symbole non de protection, mais de consommation. En fusionnant l'iconographie de la mode avec la réalité d'une pandémie mondiale, Denial oblige le spectateur à repenser les frontières entre design et éthique, entre marketing et survie. La simplicité visuelle de COVID No. 19 dissimule une critique subtile de la rapidité avec laquelle l'esthétique commerciale peut vider les événements de leur sens. Dans la lignée du street art et du graffiti, cette œuvre retourne les symboles familiers contre eux-mêmes, révélant la fragilité des apparences face à l'urgence humaine.

    $313.00

  • Coco Chanel Riskoleum AP Giclee Print by Risk Rock

    Risk Rock Coco Chanel Riskoleum AP Giclee Print par Risk Rock

    Œuvre d'art Coco Chanel Riskoleum, impression giclée en édition limitée sur papier d'archivage Coventry Rag par l'artiste de graffiti pop culture Risk. Épreuve d'artiste (EA) signée et numérotée. Tirage giclée sur papier d'archivage Coventry Rag. Tirage réalisé sur commande spéciale pour la Fashion Week de Los Angeles 2017, daté de 2016. Signée et numérotée à la main. 45,7 x 35,6 cm Riskoleum : La mode rencontre le graffiti dans une édition limitée hommage L'estampe en édition limitée « Coco Chanel Riskoleum », créée par le pionnier du graffiti Kelly Graval, alias Risk, capture l'énergie de la mode et de la culture urbaine dans une composition saisissante. Réalisée sur commande spéciale pour la Fashion Week de Los Angeles 2017, cette œuvre fusionne l'élégance haute couture de Chanel avec l'authenticité brute de l'iconographie des bombes aérosol. Mesurant 45,7 x 35,6 cm et imprimée sur papier d'archivage Coventry Rag, cette épreuve d'artiste (giclée) est signée à la main et porte la mention « AP », témoignant du caractère exceptionnel de l'œuvre et du support. Dans le style caractéristique de Risk, elle transforme un objet utilitaire – la bombe aérosol – en un support d'expression pour la mode. Fusion emblématique de couleurs et de cultures chez Risk Risk a émergé de la scène graffiti de Los Angeles dans les années 1980 et est devenu une figure centrale de l'intégration du graffiti des rues aux galeries d'art. Son œuvre joue souvent avec l'esthétique du marketing, la théorie des couleurs et le symbolisme populaire. La série Riskoleum, parodie des marques de peinture commerciales, est l'une de ses contributions les plus emblématiques à la fusion du street art, du pop art et du graffiti avec le monde de l'art contemporain. Avec l'édition Coco Chanel, Risk insuffle le luxe à cet univers urbain, mêlant l'élégance iconique de Chanel à la spontanéité de la culture aérosol. La bombe aérosol devient une métaphore de l'expression de soi, de l'émancipation et de la redéfinition du style. Le dialogue entre la mode et le graffiti L'œuvre ne se contente pas d'afficher le nom Chanel. Elle illustre comment les graffeurs ont réinterprété les codes traditionnels de la mode à travers le prisme de la culture urbaine. La superposition de pochoirs, les aplats de couleur et les techniques de pulvérisation utilisées dans le format Riskoleum contrastent fortement avec l'héritage de la haute couture. Pourtant, c'est précisément cette tension qui confère à l'œuvre toute sa force. La superposition de l'influence de Coco Chanel sur un outil d'expression urbain invite à réfléchir à l'évolution du style, issu aussi bien de la rue que des podiums. Risk démontre que graffiti et haute couture ne sont pas des opposés, mais des collaborateurs dans une nouvelle ère visuelle. Une édition de référence pour les collectionneurs et les passionnés de culture Émission d'artiste en édition limitée, cette estampe Riskoleum Coco Chanel se veut à la fois critique et hommage. Commandée pour un événement de mode prestigieux, elle tisse un lien entre le monde du design et l'esprit rebelle du graffiti. Imprimée sur papier Coventry Rag avec des encres d'archivage, la technique giclée confère à l'œuvre profondeur et longévité, tout en préservant les couches vibrantes caractéristiques de Risk. Bien plus qu'un simple jeu visuel, cette œuvre est une affirmation de l'individualité, de la beauté et du pouvoir de l'art à transcender les frontières culturelles. Risk continue d'influencer le débat autour du Street Pop Art et du graffiti, prouvant une fois de plus que le style peut s'exprimer aussi bien par la peinture que par la couture.

    $356.00

  • High Fashion Chanel Blotter Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Impression buvard Chanel Haute Couture par Denial - Daniel Bombardier

    Impression buvard Chanel haute couture par Denial - Daniel Bombardier, édition limitée, impression pigmentaire d'art sur papier buvard perforé. Édition limitée signée et numérotée de 35 exemplaires, tirage pigmentaire d'archives sur papier buvard perforé, 2024. Format : 7,5 x 7,5 pouces. Sortie : 19 avril 2024. Les éditions limitées sur papier buvard sont perforées à la main par Zane Kesey. Chanel réinventée dans le style du street art pop et du graffiti L'emblématique double C de Chanel est depuis longtemps un symbole de luxe, de statut social et d'élégance intemporelle. Pourtant, dans l'univers du street art et du graffiti, il se réinvente. Fondée par Gabrielle Chanel en France au début du XXe siècle, la maison a révolutionné la mode par ses lignes épurées et son élégance moderne. Dans le contexte de l'art urbain, son image immaculée est souvent réinterprétée comme une critique, une satire ou une célébration de la culture de la richesse et de l'identité. Des artistes comme Daniel Bombardier, alias Denial, utilisent cet emblème pour explorer la marchandisation du statut social et la fusion du luxe et de la rébellion. Le luxe bouleversé : le commentaire artistique de Daniel Bombardier En 2024, Daniel Bombardier a publié une œuvre d'art en édition limitée sur papier buvard, intitulée « High Fashion Chanel ». Tirée à seulement trente-cinq exemplaires, cette impression pigmentaire d'archives a été appliquée sur du papier buvard perforé à la main par Zane Kesey, figure emblématique de la culture psychédélique. Le support lui-même offre une complexité narrative, évoquant les états de conscience modifiés et les mouvements de contre-culture. Le logo Chanel, audacieux, domine un fond minimaliste mais très répétitif, transformant le monogramme en une célébration et une subversion du marketing consumériste. Ce qui représente traditionnellement le raffinement et l'élégance est ici réinterprété comme un produit de masse industriel, interrogeant la valeur que les consommateurs attribuent aux logos et au patrimoine. Le langage visuel et le pouvoir du symbole L'utilisation du papier buvard dans cette édition dépasse le simple choix stylistique. Son association avec la scène psychédélique underground enrichit l'interprétation, associant l'impact visuel de l'œuvre aux notions de transformation, de critique et de satire. Bombardier est réputé pour son art de mêler esthétique commerciale et messages provocateurs, et cette estampe Chanel ne fait pas exception. La composition épurée invite le spectateur à s'interroger sur la profondeur de l'ancrage des symboles dans la culture. La répétition du monogramme Chanel évoque la saturation publicitaire, tandis que la pureté des lignes renvoie à l'esprit originel de la marque, créant une tension entre respect et critique. Quand le pop art urbain et le graffiti rencontrent l'iconographie de la mode Cette œuvre de haute couture signée Chanel illustre comment les formes d'art urbain s'approprient la mode, non seulement comme un motif, mais aussi comme un commentaire. Ce buvard imprimé rend hommage au luxe et interroge son influence sur l'identité, la classe sociale et les aspirations. Le travail de Denial s'inscrit dans un débat plus large où les logos de la mode sont utilisés comme outils d'expression, de résistance ou d'humour au sein de la culture visuelle urbaine. Par un design précis, des supports inattendus et une appropriation assumée, l'image de Chanel est réinterprétée en une forme à la fois familière et radicalement transformée, devenant ainsi un sujet idéal pour le langage du street art et du graffiti.

    $500.00

  • Covid No 19 Mauve Archival Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Covid No 19 Mauve Archival Print par Denial - Daniel Bombardier

    Covid No 19 - Tirage pigmentaire d'archive en édition limitée mauve sur papier d'art MOAB 290 g/m² par Graffiti Pop Art et Street Artist Denial. Édition limitée 2021, signée et numérotée à 19 exemplaires. Gel hydroalcoolique Chanel, variante mauve Covid-19. Tirage pigmentaire d'archives sur papier MOAB Fine Art 290 g/m², numéroté, signé et estampillé au verso. Format : 45,7 x 61 cm. Le déni face à la COVID-19 : Le marketing de luxe à l’ère des crises mondiales « COVID No. 19 » de Denial est une saisissante estampe pigmentaire d'archives, éditée en 2021 à seulement 19 exemplaires, chacun signé, numéroté et estampillé à la main sur papier d'art MOAB 290 g/m². L'œuvre s'approprie la forme d'un flacon de parfum Chanel N° 5, remplaçant son étiquette iconique par un nom de produit fictif : Gel hydroalcoolique COVID No. 19. D'une précision numérique extrême, l'image reconfigure l'esthétique de la haute couture pour commenter les absurdités du consumérisme à l'ère de la pandémie. Le flacon de gel hydroalcoolique est présenté avec toute l'autorité visuelle d'un produit de luxe, transformant un objet de première nécessité en une parodie de statut et de désir. Au cœur de cette œuvre se trouve une observation culturelle brutale : lors d'une crise sanitaire mondiale, les outils de survie du quotidien – comme le gel hydroalcoolique et les masques – ont été érigés en symboles d'identité, de mode et d'accès économique. La réinterprétation par Denial du parfum Chanel en un produit de consommation à l'ère du virus confronte de front cette transformation. Cette œuvre ne se contente pas de parodier le luxe ; elle révèle comment les systèmes marketing peuvent absorber les traumatismes, les reconditionner et les revendre au public. L’étiquetage, à la manière de Chanel, est à la fois clinique et élégant, un clin d’œil à la façon dont le minimalisme visuel masque souvent la manipulation des entreprises. L'esthétique commerciale comme arme subversive La stratégie artistique de Denial repose sur le vol et la recontextualisation du langage commercial. Avec COVID No. 19, l'utilisation de lignes vectorielles nettes, de reflets lumineux réalistes et d'un design de produit précis imite la publicité jusqu'à la tromperie. Cette imitation est intentionnelle. Le spectateur est d'abord censé percevoir l'image comme authentique – tirée d'un magazine de mode ou d'une campagne de cosmétiques – avant que l'ironie du slogan ne lui apparaisse clairement. La dissonance entre la forme et le contenu invite à une critique de la tendance capitaliste à esthétiser la souffrance. Cette méthodologie visuelle s'inscrit pleinement dans l'esprit du Street Pop Art et du graffiti. Les racines de Denial dans la communication publique non autorisée et la subversion des images subculturelles demeurent présentes, même si l'œuvre se présente sous une forme d'art contemporain. L'absence de coulures de peinture ou de textures rugueuses n'atténue en rien la rébellion. Au contraire, elle réinterprète le langage graphique de la persuasion commerciale pour le subvertir de l'intérieur. Ce qui ressemble à une présentation de produit est, en réalité, une accusation visuelle. Ce n'est pas la pandémie en elle-même qui est critiquée, mais la manière dont elle est présentée. Le pop art urbain comme documentation de la pandémie COVID No. 19 fonctionne à la fois comme une satire et un témoignage historique. L'œuvre saisit un moment culturel où les outils de survie sont devenus des symboles de luxe, où la rareté était synonyme d'exclusivité et où le marketing s'étendait jusqu'aux fournitures médicales. L'œuvre de Denial illustre la manière dont les crises modernes sont non seulement vécues, mais aussi commercialisées : comment la peur de la maladie a été filtrée par les mêmes systèmes qui vendent beauté, mode et art de vivre. Le flacon de gel hydroalcoolique devient un symbole non de protection, mais de consommation. En fusionnant l'iconographie de la mode avec la réalité d'une pandémie mondiale, Denial oblige le spectateur à repenser les frontières entre design et éthique, entre marketing et survie. La simplicité visuelle de COVID No. 19 dissimule une critique subtile de la rapidité avec laquelle l'esthétique commerciale peut vider les événements de leur sens. Dans la lignée du street art et du graffiti, cette œuvre retourne les symboles familiers contre eux-mêmes, révélant la fragilité des apparences face à l'urgence humaine.

    $313.00

  • Covid No 19 Rose Archival Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Covid No 19 Rose Archival Print par Denial - Daniel Bombardier

    Covid No 19 - Rose, édition limitée, impression pigmentaire d'archives sur papier d'art MOAB 290 g/m² par Graffiti Pop Art et Street Artist Denial. Édition limitée 2021 signée et numérotée à 19 exemplaires : Gel hydroalcoolique Chanel Rose Covid-19 (variante Virus). Tirage pigmentaire d'archives sur papier MOAB Fine Art 290 g/m², numéroté, signé et estampillé au verso. Format : 45,7 x 61 cm. Le déni face à la COVID-19 : Le marketing de luxe à l’ère des crises mondiales « COVID No. 19 » de Denial est une saisissante estampe pigmentaire d'archives, éditée en 2021 à seulement 19 exemplaires, chacun signé, numéroté et estampillé à la main sur papier d'art MOAB 290 g/m². L'œuvre s'approprie la forme d'un flacon de parfum Chanel N° 5, remplaçant son étiquette iconique par un nom de produit fictif : Gel hydroalcoolique COVID No. 19. D'une précision numérique extrême, l'image reconfigure l'esthétique de la haute couture pour commenter les absurdités du consumérisme à l'ère de la pandémie. Le flacon de gel hydroalcoolique est présenté avec toute l'autorité visuelle d'un produit de luxe, transformant un objet de première nécessité en une parodie de statut et de désir. Au cœur de cette œuvre se trouve une observation culturelle brutale : lors d'une crise sanitaire mondiale, les outils de survie du quotidien – comme le gel hydroalcoolique et les masques – ont été érigés en symboles d'identité, de mode et d'accès économique. La réinterprétation par Denial du parfum Chanel en un produit de consommation à l'ère du virus confronte de front cette transformation. Cette œuvre ne se contente pas de parodier le luxe ; elle révèle comment les systèmes marketing peuvent absorber les traumatismes, les reconditionner et les revendre au public. L’étiquetage, à la manière de Chanel, est à la fois clinique et élégant, un clin d’œil à la façon dont le minimalisme visuel masque souvent la manipulation des entreprises. L'esthétique commerciale comme arme subversive La stratégie artistique de Denial repose sur le vol et la recontextualisation du langage commercial. Avec COVID No. 19, l'utilisation de lignes vectorielles nettes, de reflets lumineux réalistes et d'un design de produit précis imite la publicité jusqu'à la tromperie. Cette imitation est intentionnelle. Le spectateur est d'abord censé percevoir l'image comme authentique – tirée d'un magazine de mode ou d'une campagne de cosmétiques – avant que l'ironie du slogan ne lui apparaisse clairement. La dissonance entre la forme et le contenu invite à une critique de la tendance capitaliste à esthétiser la souffrance. Cette méthodologie visuelle s'inscrit pleinement dans l'esprit du Street Pop Art et du graffiti. Les racines de Denial dans la communication publique non autorisée et la subversion des images subculturelles demeurent présentes, même si l'œuvre se présente sous une forme d'art contemporain. L'absence de coulures de peinture ou de textures rugueuses n'atténue en rien la rébellion. Au contraire, elle réinterprète le langage graphique de la persuasion commerciale pour le subvertir de l'intérieur. Ce qui ressemble à une présentation de produit est, en réalité, une accusation visuelle. Ce n'est pas la pandémie en elle-même qui est critiquée, mais la manière dont elle est présentée. Le pop art urbain comme documentation de la pandémie COVID No. 19 fonctionne à la fois comme une satire et un témoignage historique. L'œuvre saisit un moment culturel où les outils de survie sont devenus des symboles de luxe, où la rareté était synonyme d'exclusivité et où le marketing s'étendait jusqu'aux fournitures médicales. L'œuvre de Denial illustre la manière dont les crises modernes sont non seulement vécues, mais aussi commercialisées : comment la peur de la maladie a été filtrée par les mêmes systèmes qui vendent beauté, mode et art de vivre. Le flacon de gel hydroalcoolique devient un symbole non de protection, mais de consommation. En fusionnant l'iconographie de la mode avec la réalité d'une pandémie mondiale, Denial oblige le spectateur à repenser les frontières entre design et éthique, entre marketing et survie. La simplicité visuelle de COVID No. 19 dissimule une critique subtile de la rapidité avec laquelle l'esthétique commerciale peut vider les événements de leur sens. Dans la lignée du street art et du graffiti, cette œuvre retourne les symboles familiers contre eux-mêmes, révélant la fragilité des apparences face à l'urgence humaine.

    $313.00

  • Covid No 19 Juane Archival Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Covid No 19 Juane Archival Print par Denial - Daniel Bombardier

    Covid No 19 - Juane, tirage pigmentaire d'archives en édition limitée sur papier d'art MOAB 290 g/m² par Graffiti Pop Art et Street Artist Denial. Édition limitée 2021 signée et numérotée à 19 exemplaires. Gel hydroalcoolique Chanel inspiré du virus Covid-19. Tirage pigmentaire d'archives sur papier MOAB Fine Art 290 g/m², numéroté, signé et estampillé au verso. Format : 45,7 x 61 cm. Le déni face à la COVID-19 : Le marketing de luxe à l’ère des crises mondiales « COVID No. 19 » de Denial est une saisissante estampe pigmentaire d'archives, éditée en 2021 à seulement 19 exemplaires, chacun signé, numéroté et estampillé à la main sur papier d'art MOAB 290 g/m². L'œuvre s'approprie la forme d'un flacon de parfum Chanel N° 5, remplaçant son étiquette iconique par un nom de produit fictif : Gel hydroalcoolique COVID No. 19. D'une précision numérique extrême, l'image reconfigure l'esthétique de la haute couture pour commenter les absurdités du consumérisme à l'ère de la pandémie. Le flacon de gel hydroalcoolique est présenté avec toute l'autorité visuelle d'un produit de luxe, transformant un objet de première nécessité en une parodie de statut et de désir. Au cœur de cette œuvre se trouve une observation culturelle brutale : lors d'une crise sanitaire mondiale, les outils de survie du quotidien – comme le gel hydroalcoolique et les masques – ont été érigés en symboles d'identité, de mode et d'accès économique. La réinterprétation par Denial du parfum Chanel en un produit de consommation à l'ère du virus confronte de front cette transformation. Cette œuvre ne se contente pas de parodier le luxe ; elle révèle comment les systèmes marketing peuvent absorber les traumatismes, les reconditionner et les revendre au public. L’étiquetage, à la manière de Chanel, est à la fois clinique et élégant, un clin d’œil à la façon dont le minimalisme visuel masque souvent la manipulation des entreprises. L'esthétique commerciale comme arme subversive La stratégie artistique de Denial repose sur le vol et la recontextualisation du langage commercial. Avec COVID No. 19, l'utilisation de lignes vectorielles nettes, de reflets lumineux réalistes et d'un design de produit précis imite la publicité jusqu'à la tromperie. Cette imitation est intentionnelle. Le spectateur est d'abord censé percevoir l'image comme authentique – tirée d'un magazine de mode ou d'une campagne de cosmétiques – avant que l'ironie du slogan ne lui apparaisse clairement. La dissonance entre la forme et le contenu invite à une critique de la tendance capitaliste à esthétiser la souffrance. Cette méthodologie visuelle s'inscrit pleinement dans l'esprit du Street Pop Art et du graffiti. Les racines de Denial dans la communication publique non autorisée et la subversion des images subculturelles demeurent présentes, même si l'œuvre se présente sous une forme d'art contemporain. L'absence de coulures de peinture ou de textures rugueuses n'atténue en rien la rébellion. Au contraire, elle réinterprète le langage graphique de la persuasion commerciale pour le subvertir de l'intérieur. Ce qui ressemble à une présentation de produit est, en réalité, une accusation visuelle. Ce n'est pas la pandémie en elle-même qui est critiquée, mais la manière dont elle est présentée. Le pop art urbain comme documentation de la pandémie COVID No. 19 fonctionne à la fois comme une satire et un témoignage historique. L'œuvre saisit un moment culturel où les outils de survie sont devenus des symboles de luxe, où la rareté était synonyme d'exclusivité et où le marketing s'étendait jusqu'aux fournitures médicales. L'œuvre de Denial illustre la manière dont les crises modernes sont non seulement vécues, mais aussi commercialisées : comment la peur de la maladie a été filtrée par les mêmes systèmes qui vendent beauté, mode et art de vivre. Le flacon de gel hydroalcoolique devient un symbole non de protection, mais de consommation. En fusionnant l'iconographie de la mode avec la réalité d'une pandémie mondiale, Denial oblige le spectateur à repenser les frontières entre design et éthique, entre marketing et survie. La simplicité visuelle de COVID No. 19 dissimule une critique subtile de la rapidité avec laquelle l'esthétique commerciale peut vider les événements de leur sens. Dans la lignée du street art et du graffiti, cette œuvre retourne les symboles familiers contre eux-mêmes, révélant la fragilité des apparences face à l'urgence humaine.

    $313.00

  • Covid No 19 Verte Archival Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Impression d'archives Covid No 19 Verte par Denial - Daniel Bombardier

    Covid No 19 - Verte Limited Edition Archival Pigment Print on 290gsm MOAB Fine Art Paper by Graffiti Pop Art and Street Artist Denial. Édition limitée 2021 signée et numérotée à 19 exemplaires : Gel hydroalcoolique Chanel Verte Covid-19 (variante Virus). Tirage pigmentaire d'archives numéroté, signé et estampillé au verso sur papier d'art MOAB 290 g/m², format 45,7 x 61 cm. Le déni face à la COVID-19 : Le marketing de luxe à l’ère des crises mondiales « COVID No. 19 » de Denial est une saisissante estampe pigmentaire d'archives, éditée en 2021 à seulement 19 exemplaires, chacun signé, numéroté et estampillé à la main sur papier d'art MOAB 290 g/m². L'œuvre s'approprie la forme d'un flacon de parfum Chanel N° 5, remplaçant son étiquette iconique par un nom de produit fictif : Gel hydroalcoolique COVID No. 19. D'une précision numérique extrême, l'image reconfigure l'esthétique de la haute couture pour commenter les absurdités du consumérisme à l'ère de la pandémie. Le flacon de gel hydroalcoolique est présenté avec toute l'autorité visuelle d'un produit de luxe, transformant un objet de première nécessité en une parodie de statut et de désir. Au cœur de cette œuvre se trouve une observation culturelle brutale : lors d'une crise sanitaire mondiale, les outils de survie du quotidien – comme le gel hydroalcoolique et les masques – ont été érigés en symboles d'identité, de mode et d'accès économique. La réinterprétation par Denial du parfum Chanel en un produit de consommation à l'ère du virus confronte de front cette transformation. Cette œuvre ne se contente pas de parodier le luxe ; elle révèle comment les systèmes marketing peuvent absorber les traumatismes, les reconditionner et les revendre au public. L’étiquetage, à la manière de Chanel, est à la fois clinique et élégant, un clin d’œil à la façon dont le minimalisme visuel masque souvent la manipulation des entreprises. L'esthétique commerciale comme arme subversive La stratégie artistique de Denial repose sur le vol et la recontextualisation du langage commercial. Avec COVID No. 19, l'utilisation de lignes vectorielles nettes, de reflets lumineux réalistes et d'un design de produit précis imite la publicité jusqu'à la tromperie. Cette imitation est intentionnelle. Le spectateur est d'abord censé percevoir l'image comme authentique – tirée d'un magazine de mode ou d'une campagne de cosmétiques – avant que l'ironie du slogan ne lui apparaisse clairement. La dissonance entre la forme et le contenu invite à une critique de la tendance capitaliste à esthétiser la souffrance. Cette méthodologie visuelle s'inscrit pleinement dans l'esprit du Street Pop Art et du graffiti. Les racines de Denial dans la communication publique non autorisée et la subversion des images subculturelles demeurent présentes, même si l'œuvre se présente sous une forme d'art contemporain. L'absence de coulures de peinture ou de textures rugueuses n'atténue en rien la rébellion. Au contraire, elle réinterprète le langage graphique de la persuasion commerciale pour le subvertir de l'intérieur. Ce qui ressemble à une présentation de produit est, en réalité, une accusation visuelle. Ce n'est pas la pandémie en elle-même qui est critiquée, mais la manière dont elle est présentée. Le pop art urbain comme documentation de la pandémie COVID No. 19 fonctionne à la fois comme une satire et un témoignage historique. L'œuvre saisit un moment culturel où les outils de survie sont devenus des symboles de luxe, où la rareté était synonyme d'exclusivité et où le marketing s'étendait jusqu'aux fournitures médicales. L'œuvre de Denial illustre la manière dont les crises modernes sont non seulement vécues, mais aussi commercialisées : comment la peur de la maladie a été filtrée par les mêmes systèmes qui vendent beauté, mode et art de vivre. Le flacon de gel hydroalcoolique devient un symbole non de protection, mais de consommation. En fusionnant l'iconographie de la mode avec la réalité d'une pandémie mondiale, Denial oblige le spectateur à repenser les frontières entre design et éthique, entre marketing et survie. La simplicité visuelle de COVID No. 19 dissimule une critique subtile de la rapidité avec laquelle l'esthétique commerciale peut vider les événements de leur sens. Dans la lignée du street art et du graffiti, cette œuvre retourne les symboles familiers contre eux-mêmes, révélant la fragilité des apparences face à l'urgence humaine.

    $313.00

  • Covid No 19 Rouge Archival Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Impression d'archives Covid No 19 Rouge par Denial - Daniel Bombardier

    Covid No 19 - Rouge Édition Limitée Tirage Pigmentaire d'Archives sur Papier Beaux-Arts MOAB 290 g/m² par Graffiti Pop Art et Street Artist Denial. Édition limitée 2021, signée et numérotée à 19 exemplaires : Rouge Covid19 Chanel, désinfectant pour les mains inspiré du virus. Tirage pigmentaire d'archives sur papier MOAB Fine Art 290 g/m², numéroté, signé et estampillé au verso. Format : 45,7 cm x 61 cm. Le déni face à la COVID-19 : Le marketing de luxe à l’ère des crises mondiales « COVID No. 19 » de Denial est une saisissante estampe pigmentaire d'archives, éditée en 2021 à seulement 19 exemplaires, chacun signé, numéroté et estampillé à la main sur papier d'art MOAB 290 g/m². L'œuvre s'approprie la forme d'un flacon de parfum Chanel N° 5, remplaçant son étiquette iconique par un nom de produit fictif : Gel hydroalcoolique COVID No. 19. D'une précision numérique extrême, l'image reconfigure l'esthétique de la haute couture pour commenter les absurdités du consumérisme à l'ère de la pandémie. Le flacon de gel hydroalcoolique est présenté avec toute l'autorité visuelle d'un produit de luxe, transformant un objet de première nécessité en une parodie de statut et de désir. Au cœur de cette œuvre se trouve une observation culturelle brutale : lors d'une crise sanitaire mondiale, les outils de survie du quotidien – comme le gel hydroalcoolique et les masques – ont été érigés en symboles d'identité, de mode et d'accès économique. La réinterprétation par Denial du parfum Chanel en un produit de consommation à l'ère du virus confronte de front cette transformation. Cette œuvre ne se contente pas de parodier le luxe ; elle révèle comment les systèmes marketing peuvent absorber les traumatismes, les reconditionner et les revendre au public. L’étiquetage, à la manière de Chanel, est à la fois clinique et élégant, un clin d’œil à la façon dont le minimalisme visuel masque souvent la manipulation des entreprises. L'esthétique commerciale comme arme subversive La stratégie artistique de Denial repose sur le vol et la recontextualisation du langage commercial. Avec COVID No. 19, l'utilisation de lignes vectorielles nettes, de reflets lumineux réalistes et d'un design de produit précis imite la publicité jusqu'à la tromperie. Cette imitation est intentionnelle. Le spectateur est d'abord censé percevoir l'image comme authentique – tirée d'un magazine de mode ou d'une campagne de cosmétiques – avant que l'ironie du slogan ne lui apparaisse clairement. La dissonance entre la forme et le contenu invite à une critique de la tendance capitaliste à esthétiser la souffrance. Cette méthodologie visuelle s'inscrit pleinement dans l'esprit du Street Pop Art et du graffiti. Les racines de Denial dans la communication publique non autorisée et la subversion des images subculturelles demeurent présentes, même si l'œuvre se présente sous une forme d'art contemporain. L'absence de coulures de peinture ou de textures rugueuses n'atténue en rien la rébellion. Au contraire, elle réinterprète le langage graphique de la persuasion commerciale pour le subvertir de l'intérieur. Ce qui ressemble à une présentation de produit est, en réalité, une accusation visuelle. Ce n'est pas la pandémie en elle-même qui est critiquée, mais la manière dont elle est présentée. Le pop art urbain comme documentation de la pandémie COVID No. 19 fonctionne à la fois comme une satire et un témoignage historique. L'œuvre saisit un moment culturel où les outils de survie sont devenus des symboles de luxe, où la rareté était synonyme d'exclusivité et où le marketing s'étendait jusqu'aux fournitures médicales. L'œuvre de Denial illustre la manière dont les crises modernes sont non seulement vécues, mais aussi commercialisées : comment la peur de la maladie a été filtrée par les mêmes systèmes qui vendent beauté, mode et art de vivre. Le flacon de gel hydroalcoolique devient un symbole non de protection, mais de consommation. En fusionnant l'iconographie de la mode avec la réalité d'une pandémie mondiale, Denial oblige le spectateur à repenser les frontières entre design et éthique, entre marketing et survie. La simplicité visuelle de COVID No. 19 dissimule une critique subtile de la rapidité avec laquelle l'esthétique commerciale peut vider les événements de leur sens. Dans la lignée du street art et du graffiti, cette œuvre retourne les symboles familiers contre eux-mêmes, révélant la fragilité des apparences face à l'urgence humaine.

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Chanel Graffiti Street Pop Art

Chanel comme symbole dans l'art urbain pop et le graffiti

Chanel, l'un des noms les plus emblématiques de la mode mondiale, est devenu bien plus qu'une simple marque de luxe. Son logo et son identité visuelle ont investi l'univers du street art et du graffiti, où les artistes réinterprètent les symboles de la haute couture à travers l'expression urbaine. Fondée par Gabrielle Chanel en France au début du XXe siècle, la marque est reconnue pour son audacieuse simplicité, son élégance moderne et sa position dominante dans le monde de la haute couture. Alors que les artistes de rue s'approprient et se réinventent les logos de la haute couture, l'emblème du double C de Chanel s'est imposé comme un motif visuel récurrent, mêlant esthétique du luxe et authenticité urbaine.

Des podiums parisiens aux murs de béton

Avec l'évolution du monde de l'art à la fin du XXe siècle, les graffeurs ont commencé à intégrer les symboles de consommation dans leurs œuvres. L'influence de Chanel s'est accrue à mesure que le luxe s'est trouvé davantage associé au statut social, à la classe sociale et à l'aspiration à la réussite. Dans ce contexte, le logo Chanel a commencé à apparaître dans les ruelles, sur des autocollants, des affiches et des toiles recouvertes de peinture en aérosol, d'encre et de sérigraphie. Ces adaptations artistiques ne visaient pas à vendre de la mode, mais à critiquer ou à réinterpréter la signification même de la marque. Dans le Street Pop Art et le graffiti, Chanel représente bien plus que la mode : elle devient un symbole de pouvoir, de privilège, de féminité, de rébellion et de transformation.

Recontextualiser la haute couture à travers l'art urbain

Des artistes comme Daniel Bombardier, alias Denial, utilisent l'iconographie de Chanel dans des œuvres en édition limitée qui interrogent le lien entre culture de la richesse et identité. Des estampes intégrant le logo Chanel sur des supports non conventionnels, tels que du papier buvard perforé, juxtaposent élégance et subversion, usant d'humour et de critique pour souligner l'obsession de la société pour les marques. La répétition du logo imite la saturation publicitaire et, combinée à des éléments de la culture graffiti, le message devient un message de distorsion et de révélation. En inscrivant Chanel dans ce paysage visuel, les artistes attirent l'attention sur la manière dont le luxe est conditionné, consommé et idolâtré.

La dualité du style et de la subversion

La transition de Chanel, de la domination des podiums à un outil de commentaire urbain, souligne la dualité inhérente à la culture visuelle contemporaine. Le street art, le pop art et le graffiti s'épanouissent en remixant et en s'appropriant des images fortes, et le logo immédiatement reconnaissable de Chanel offre un terrain fertile à cette pratique. Qu'il serve à critiquer la société de consommation ou à célébrer l'esthétique de la mode, sa présence dans le street art nous rappelle à quel point les symboles peuvent influencer profondément la conscience collective. Les artistes continuent de puiser leur inspiration chez Chanel, non seulement pour évoquer la beauté ou la richesse, mais aussi pour explorer les significations qui émergent lorsque le design haut de gamme rencontre les objets du quotidien.

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