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Eric Pagsanjan Sérigraphie holographique Chunky Dunky par Eric Pagsanjan
Chunky Dunky - Sérigraphie holographique 13 couleurs tirée à la main en édition limitée sur papier d'art holographique arc-en-ciel 10 pt par Eric Pagsanjan, artiste de street art rare et célèbre du pop art. Sérigraphie 13 couleurs sur papier beaux-arts holographique arc-en-ciel 10 pt. Format : 45,7 x 61 cm (18 x 24 pouces) Sortie : 7 mai 2021 Tirage : 15 exemplaires
$352.00
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Shark Toof Cici N'est Pas Une Bart Simpson Archival Print par Shark Toof
Cici N'est Pas Une Bart Simpson Impressions pigmentaires d'archives en édition limitée sur papier d'art 310 g/m² par Shark Toof Graffiti Street Artist Modern Pop Art. 2016 Signé Édition limitée numérotée à 60 exemplaires Dimensions de l'œuvre : 24 x 18 pouces « L'idée était de recréer l'ambiance du graffiti old school des années 80. On a utilisé des personnages pop de Disney et de vieux dessins animés, et bien sûr le maître Vaughn Bode, qu'on a intégrés à nos graffitis, soit littéralement, soit dans un style hybride. Du coup, on retrouve même l'attitude punk propre au graffiti, un peu comme Bart Simpson. Bart était la mascotte de mon exposition solo à la galerie Inner State de Detroit. Il incarne mon expérience personnelle d'artiste graffeur. Homer me ressemble sans doute plus aujourd'hui. » - Shark Toof
$219.00
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Shark Toof Cici N'est Pas Une Homer Simpson Archival Print par Shark Toof
Cici N'est Pas Une Homer Simpson Impressions pigmentaires d'archives en édition limitée sur papier d'art 310 g/m² par Shark Toof Graffiti Street Artist Modern Pop Art. 2016 Signé Édition limitée numérotée à 60 exemplaires Dimensions de l'œuvre : 24 x 18 pouces « L'idée était de recréer l'ambiance du graffiti old school des années 80. On a utilisé des personnages pop de Disney et de vieux dessins animés, et bien sûr le maître Vaughn Bode, qu'on a intégrés à nos graffitis, soit littéralement, soit dans un style hybride. Du coup, on retrouve même l'attitude punk propre au graffiti, un peu comme Bart Simpson. Bart était la mascotte de mon exposition solo à la galerie Inner State de Detroit. Il incarne mon expérience personnelle d'artiste graffeur. Homer me ressemble sans doute plus aujourd'hui. » - Shark Toof
$219.00
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Nate Duval City By The Sea Sérigraphie par Nate Duval
« Ville au bord de la mer », sérigraphie artisanale 5 couleurs sur papier beaux-arts, par l'artiste Nate Duval, œuvre d'art pop en édition limitée. Édition limitée à 150 exemplaires, signée et numérotée, 2014. Format de l'œuvre : 14 x 11 pouces.
$40.00
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Nate Duval Ville en bord de mer
Achetez City By The Sea sérigraphie 5 couleurs tirée à la main sur papier Fine Art par l'artiste Nate Duval édition limitée Pop Art Art. 2014 Signé et numéroté édition limitée de 150 oeuvre taille 14 x 11
$103.00
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Keith Greiman Impression d'archives Pile de vêtements par Keith Greiman
Tirages d'art en édition limitée, pigmentaires et d'archives, sur papier beaux-arts, réalisés par Keith Greiman, artiste de graffiti, de street art et de culture pop.
$103.00
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Trust iCON SÉRIGRAPHIE Sérigraphie par ARTIST
Achetez TITLE Sérigraphie 4 couleurs tirée à la main sur une œuvre d'art Pop Street Art en édition limitée MEDIUM. 2022 Édition limitée signée et numérotée de XXX Taille de l'œuvre XXXX INFO
$533.00
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Snik Pochoir Cold Tenderness, papier cartonné découpé au laser à la feuille d'or, par Snik
Pochoir Cold Tenderness, papier cartonné découpé au laser à la feuille d'or, par Snik. Œuvre d'art encadrée unique, réalisée par un artiste pop art de rue. Œuvre originale signée à la feuille d'or sur papier cartonné découpé au laser, 2019. Dimensions : 13,75 x 20 pouces (encadrée : 16 x 23 pouces). Cold Tenderness de Snik – Fragile et précision avec feuille d'or dans l'art urbain pop et graffiti « Cold Tenderness » est une œuvre originale de 2019 du duo britannique Snik, spécialisée dans le pochoir. Minutieusement réalisée à la feuille d'or sur un carton noir découpé au laser, cette pièce unique mesure 35 x 51 cm (encadrée à 41 x 58 cm). Elle illustre à merveille l'équilibre caractéristique des artistes entre maîtrise et émotion, savoir-faire et atmosphère. Le portrait d'une femme, rendu par d'innombrables incisions diagonales fines, scintille d'une subtilité et d'une élégance discrètes. Au gré de la lumière qui caresse la surface métallique, son regard apparaît et disparaît, révélant la tension entre permanence et éphémère. S'inscrivant dans le champ plus vaste du street art et du graffiti, « Cold Tenderness » se présente comme une exploration poétique de la fragilité des surfaces. Elle utilise des matériaux luxueux et des procédés industriels pour interroger la vulnérabilité, la mémoire et l'identité. Découpe laser artisanale et feuille d'or : une émotion Ce qui distingue cette œuvre, c'est la précision de sa construction. Snik a utilisé la découpe laser pour créer un réseau complexe de lignes au pochoir, chaque trait étant soigneusement étudié pour offrir des variations de tons et de profondeur d'ombre. Sur cette grille, des feuilles d'or ont été appliquées, créant une surface qui se transforme selon la lumière et le point de vue du spectateur. Cette technique métamorphose le carton en un écran réfléchissant où le portrait oscille entre image et abstraction. Alors que le street art est généralement rapide, brut et éphémère, cette œuvre est méthodique, réfléchie et d'une grande durabilité. La feuille d'or lui confère à la fois opulence et une impression de vétusté – fragile au toucher, toujours au bord de la dégradation. Ce paradoxe renforce la dimension émotionnelle de « Cold Tenderness », en faisant une contribution majeure au Street Pop Art et au graffiti. Le Visage et le Vide Au cœur de la composition se trouve la figure féminine, son visage se fondant doucement dans l'ombre. Le fond est absent. Le champ d'un noir profond, à la fois silence et espace, crée un vide qui encadre le regard introspectif du personnage. Chaque ligne de coupe, chaque trait doré, est significatif ; le visage n'est ni peint ni esquissé, mais gravé par l'absence. Le sujet apparaît non comme une actrice, mais comme une témoin – observant sans explication, présente sans certitude. Cette approche épurée du portrait met l'accent non sur le récit, mais sur la présence. Dans le langage du street art et du graffiti, cette réduction amplifie le sens, permettant aux petits gestes et aux subtiles variations de devenir le cœur émotionnel. Snik et l'alchimie du silence « Cold Tenderness » est emblématique de l'évolution de Snik, artistes qui ont redéfini le pochoir comme un outil de révolte silencieuse et d'affirmation poétique. En fusionnant artisanat et précision numérique, méthodes industrielles et sujets organiques, ils explorent sans cesse l'espace liminal entre design et émotion. Le choix de la feuille d'or dans cette œuvre n'est pas décoratif, il est symbolique. Il évoque la valeur, l'érosion, le temps et la façon dont la lumière peut à la fois révéler et dissimuler. Cette œuvre n'est pas ostentatoire, mais elle est profonde. Elle exige un regard attentif, une réflexion lente et une immersion patiente. Dans le Street Pop Art et le Graffiti, rares sont les œuvres qui communiquent la fragilité et la discipline avec autant de délicatesse. « Cold Tenderness » n'offre pas de réponses faciles, seulement la lueur d'une présence et la vérité poignante que la beauté, comme la mémoire, peut être à la fois solide et éphémère.
$1,750.00
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Buff Monster Impression sérigraphique en collaboration AP par Buff Monster x Dalek - James Marshall
Sérigraphie collaborative de Buff Monster x Dalek - James Marshall, tirée à la main sur papier d'art, édition limitée. Épreuve d'artiste AP 2019 signée Buff Monster x Dalek - James Marshall & Œuvre marquée AP Format 18x24 Sérigraphie Une fusion de deux styles emblématiques Cette sérigraphie collaborative de Buff Monster et Dalek – James Marshall est une fusion saisissante de deux voix artistiques distinctes dans l'univers du street art et du graffiti. Tirage d'artiste de 2019, mesurant 45,7 x 61 cm et réalisé à la main sur papier d'art de qualité supérieure, réunit les personnages fondants emblématiques de Buff Monster et les designs épurés et futuristes de Dalek. Il en résulte une composition visuellement électrisante où des figures surréalistes et dégoulinantes fusionnent avec la géométrie structurée de l'univers Space Monkey de Dalek. Signée par les deux artistes et portant la mention « Épreuve d'artiste », cette sérigraphie en édition limitée incarne l'énergie créative qui caractérise leur collaboration. L'œuvre est une collision vibrante entre les créatures glacées fondantes de Buff Monster et le personnage robotique aux yeux écarquillés de Dalek. La figure centrale, aux membres allongés et au sourire mécanique, brandit une lance chargée des monstres fondants à un œil emblématiques de Buff Monster, chacun rendu avec un souci du détail surréaliste et dégoulinant. Au-dessus, une forme sphérique massive et fondante fait écho au thème de la fluidité et du chaos maîtrisé. Le contraste entre l'esthétique organique et visqueuse de Buff Monster et la précision graphique et soignée de Dalek crée un dialogue visuel dynamique. La palette de rose vif, de jaune et de beige confère à la composition un caractère ludique tout en y insufflant une touche d'absurdité surréaliste. Le meilleur du street art pop et du graffiti Cette collaboration fusionne avec brio l'énergie débordante du street art et la technique raffinée du graphisme pop. Les créatures glacées fondantes de Buff Monster, connues pour leur charme cartoonesque et leurs formes dégoulinantes, s'intègrent parfaitement au personnage de Dalek, inspiré du Singe de l'Espace. Le contraste entre les formes fondues et exagérées et le trait précis de Dalek apporte un équilibre inattendu à l'ensemble. La structure de la composition, avec ses superpositions nettes et ses aplats de couleurs vives, reflète la fascination de Dalek pour la précision et la répétition. Quant aux éléments dégoulinants et aux éclaboussures de peinture libres, ils évoquent l'esthétique murale urbaine caractéristique de Buff Monster. Ce jeu entre structure et fluidité fait écho à l'essence même du graffiti, où des contours nets et précis interagissent avec les textures imprévisibles de la rue. Cette collaboration repousse les limites du street art et du graffiti, embrassant à la fois le chaos et la maîtrise dans une même image. Technique de sérigraphie artisanale et attrait pour les collectionneurs Cette sérigraphie artisanale témoigne de la maîtrise technique des deux artistes. La superposition des encres, la précision du repérage et le mélange méticuleux des couleurs confèrent à l'estampe une qualité supérieure à celle d'une reproduction numérique. Chaque couche d'encre est appliquée avec intention, préservant ainsi les textures et l'éclat de l'œuvre. La qualité tactile de la sérigraphie permet aux coulures de Buff Monster et aux lignes fluides de Dalek de coexister d'une manière que l'impression numérique ne saurait pleinement reproduire. Les épreuves d'artiste bénéficient d'un niveau d'exclusivité particulier, étant des tirages de test ou des versions préliminaires précédant l'édition principale. Signée par Buff Monster et Dalek, cette estampe possède une valeur de collection inestimable. Son tirage limité contribue à sa rareté, en faisant une pièce recherchée par les fans des deux artistes et les collectionneurs appréciant la fusion de styles artistiques différents. Une collaboration qui redéfinit l'art urbain contemporain La sérigraphie collaborative Buff Monster x Dalek témoigne de la puissance de la collaboration artistique. Elle unit deux langages créatifs distincts : les formes ludiques et chaotiques de Buff Monster et l’esthétique structurée et futuriste de Dalek. Il en résulte une œuvre à la fois nostalgique et novatrice, mêlant des éléments du surréalisme cartoon classique à l’iconographie urbaine moderne. L’utilisation de la répétition, des couleurs vives et des styles contrastés met en lumière la tension ludique entre structure et fluidité. La composition est vivante, chaque forme et chaque figure géométrique interagissant de manière à captiver le regard. Cette sérigraphie est bien plus qu’une simple rencontre entre deux artistes ; c’est une célébration de la façon dont différents récits visuels peuvent s’unir pour créer quelque chose d’entièrement nouveau. Pour les amateurs de street art et de graffiti, cette pièce représente une fusion passionnante de deux voix influentes de la scène.
$850.00
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Risk Rock Cercles de dommages collatéraux Peinture en aérosol originale Peinture mixte par Risk Rock
« Dommages collatéraux », une peinture originale technique mixte (aérosol, sable, paillettes, acrylique) sur papier épais, réalisée par Risk, artiste de rue et de graffiti moderne. Cercles de dommages collatéraux, 2018 - Possédez une œuvre originale à risque ! Originale (peinture en aérosol, acrylique sur papier épais, paillettes, texture granuleuse et sableuse qui capte la lumière) Taille : 22 x 30 pouces Date de création : 2018 Œuvre originale – Chaque pièce est unique, signée à la main.
$2,442.00
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Kilian Eng (DW Design) Collision Giclee Print par Kilian Eng (DW Design)
Œuvre d'art Collision, impression giclée en édition limitée sur papier Photo Rag blanc brillant par l'artiste de graffiti de la culture pop Kilian Eng (DW Design). Impression sur papier (Photo Rag Bright White 310 g/m²) 17 po H x 24 po L. L'artiste suédois Kilian Eng (DW Design) possède un style et un langage visuel uniques, parfois qualifiés de rétro-futuristes. « Je m'intéresse beaucoup à la création d'environnements dans mon travail. Je suis fasciné par l'architecture – ancienne, futuriste, fantastique – et j'intègre donc souvent des bâtiments ou des structures. Les personnages qui peuplent les images sont plongés dans ces décors inattendus. » – Kilian Eng
$214.00
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Nate Duval Colonel Corn Giclee Print par Nate Duval
Œuvre d'art Colonel Corn Pop, tirage giclée en édition limitée sur papier FineArt, par l'artiste moderne Nate Duval. Édition limitée à 100 exemplaires, signée et numérotée, 2014. Format de l'œuvre : 11 x 14 pouces. « Le colonel Corn, un homme qui mérite votre plus grand respect. » – Nate Duval
$40.00
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Crash- John Matos Color East Coast Legends Canbot Canz par Crash - John Matos x Czee13
Figurine robot en bombe de peinture Color East Coast Legends 5oz Canbot Canz Pop Graffiti Art Toy par Crash - John Matos x Czee13 Édition limitée. Édition limitée 2023 à 100 exemplaires. Neuf en boîte. Dimensions : 3 x 5,5. Blanc, rouge, jaune, bleu et turquoise. Robot Crash Graffiti Canz Canbot, bombe de peinture en aérosol, jouet artistique. Crash - Le Canbot coloré de John Matos : un hommage à l'art du graffiti La collection Color East Coast Legends Canbot est un vibrant hommage à la culture graffiti, magistralement conçue par le célèbre artiste de rue John « Crash » Matos en collaboration avec Czee13. Sortie en 2023 en édition limitée, cette collection comprend 100 figurines uniques en forme de bombes de peinture, incarnant l'esprit du pop graffiti sous une forme tangible. Le Canbot n'est pas qu'un simple jouet en vinyle : c'est une véritable toile qui révèle le style graffiti distinctif de Crash, transposé en un objet tridimensionnel qui capture l'essence même de l'innovation du street art. Chaque Canbot, mesurant 7,6 x 14 cm, est orné d'un mélange dynamique de couleurs – blanc, rouge, jaune, bleu et turquoise – signature de l'œuvre de Crash. Les éclaboussures et les coulures de peinture sur le corps du robot évoquent la nature imprévisible et fluide de la peinture en aérosol, un clin d'œil aux racines urbaines de l'artiste sur la côte Est américaine. Ces Canbots rendent hommage à la scène graffiti, en incarnant son histoire et son énergie sous forme de figurines de collection. La vision de Crash dans le street art pop et la culture des objets de collection John Matos, plus connu sous son pseudonyme de graffeur « Crash », est une figure emblématique du street art. Son œuvre, présente aussi bien dans le métro que sur les murs des galeries, a largement contribué à populariser le graffiti. La série Canbot fusionne cet héritage urbain avec l'engouement croissant pour les objets de collection, alliant collection et authenticité. Chaque Canbot, neuf dans sa boîte et orné de l'image iconique de l'artiste, offre un fragment du mouvement graffiti à apprécier dans les foyers et les collections du monde entier. Le caractère collector du Canbot reflète la transition du street art, passé d'expressions éphémères sur les murs des villes à des pièces maîtresses du monde de l'art. Il témoigne de l'évolution de la perception du graffiti et célèbre son statut de forme d'expression créative respectée et recherchée. À travers cette série en édition limitée, Crash continue d'alimenter le débat autour du street art, de sa valeur et de sa place dans la culture contemporaine. L'impact de l'héritage artistique de John Matos L'influence de John Matos sur la scène du graffiti et ses liens avec la culture populaire est incommensurable. Sa série Color East Coast Legends Canbot témoigne de son engagement constant à repousser les limites du street art et de ses interactions avec le public. En transposant l'esthétique vibrante de son art urbain dans des Canbots, Matos offre un nouveau médium à son travail et invite un public plus large à s'imprégner de l'esprit du street art. Le caractère limité de ces objets d'art, associé à leurs finitions réalisées à la main, fait de chaque Canbot une œuvre unique, à l'image du caractère singulier du graffiti. Par ses couleurs audacieuses et ses formes expressives, l'œuvre de Matos questionne et redéfinit le graffiti, lui assurant une place de choix aussi bien dans la rue qu'au sein de la riche culture populaire.
$291.00
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Oso De Agua GICLEE AP Impression Giclée par ARTIST
Achetez TITLE Pop Street Artwork Limited Edition Giclee Print sur MEDIUM par Urban Graffiti Modern Artist ARTIST. 2022 Édition limitée signée et numérotée de XXX Taille de l'œuvre XXXX INFO
$533.00
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Takashi Murakami TM/KK Ensemble de planches à roulettes ComplexCon x Dobtopus par Takashi Murakami TM/KK
ComplexCon x Dobtopus Octopus Deck Set Impression d'art en édition limitée avec transfert de pigments d'archives sur planche de skateboard naturelle par l'artiste de street art Takashi Murakami TM/KK. Coffret de 3 planches (2017). Sorti lors de la ComplexCon 2017, le coffret de planches de skate Takashi Murakami Octopus met en scène le célèbre motif de la pieuvre de Murakami sur trois planches qui, une fois exposées côte à côte, forment une image cohérente. Ce coffret est sorti le 4 novembre 2017. ComplexCon x Dobtopus Octopus Deck Set par Takashi Murakami : La puissance des personnages dans l’art pop urbain et le graffiti Le set de planches de skateboard ComplexCon x Dobtopus Octopus de Takashi Murakami est une édition limitée d'art, créée en collaboration avec ComplexCon en 2017. Ce set de trois planches en bois naturel de 20 x 79 cm (8 x 31 pouces) présente une impression pigmentaire d'archive unique qui s'étend sur les trois panneaux pour former une composition unifiée. Sorti le 4 novembre 2017, ce set capture l'univers visuel coloré et expressif de Murakami, à la croisée de l'art commercial, du design de collection et de la culture subversive. Avec ses couleurs vives, ses lignes précises et ses détails surréalistes, le motif Dobtopus illustre la capacité de Murakami à fusionner mythologie, manga et produits dérivés en une œuvre cohérente, à l'image du Street Pop Art et du graffiti. Cette pièce présente une représentation fragmentaire et ludique de la pieuvre inspirée de Mr. Dob, personnage récurrent et emblématique de l'œuvre de Murakami. La forme de la pieuvre ajoute une touche de fantaisie et un attrait monstrueux, avec ses yeux tourbillonnants, ses dents acérées et ses tentacules rendus par de doux dégradés et des lignes saturées. Des motifs circulaires et des expressions faciales exagérées parsèment l'image, contribuant à l'esthétique déroutante et aux multiples yeux caractéristique du travail de Murakami. Chaque panneau de la terrasse devient un fragment de chaos et de ravissement, soulignant les multiples personnalités et l'énergie débordante de la créature. Le fond en bois naturel permet au motif hyper-coloré de flotter à la surface, créant une tension unique entre tradition matérielle et profusion visuelle. ComplexCon comme plateforme pour l'art, la culture et l'identité urbaine Sortie lors de ComplexCon, événement culturel annuel qui unit mode, musique, art et design, cette série de planches de skate illustre le rôle de Murakami comme trait d'union entre les beaux-arts et les mouvements urbains populaires. Plutôt que d'isoler son travail dans les galeries, Murakami déploie sa présence grâce à des formats accessibles et des collaborations intersectorielles. À ComplexCon, où la culture hype et l'art contemporain se rencontrent, cette planche s'est imposée comme une pièce maîtresse, ancrée dans la tradition des éditions limitées streetwear, mais sublimée par la profondeur conceptuelle et l'héritage visuel de l'artiste. En réalisant cette œuvre sous forme de triptyque sur planches de skate, Murakami lui confère à la fois sa fonction d'œuvre murale et d'objet culturel. Les planches de skate demeurent un support privilégié du Street Pop Art et du graffiti en raison de leur dualité : des outils utilitaires réinventés en surfaces artistiques. Ici, elles deviennent la toile idéale pour le langage visuel explosif de Murakami, ancrant ainsi les planches dans le lexique esthétique de la contre-culture moderne. Culture des personnages et spectacle émotionnel dans le langage visuel de Murakami L'utilisation par Murakami du personnage de Dobtopus témoigne de son obsession pour l'exagération émotionnelle, la mutation faciale et les identités hybrides. Cette figure tentaculaire, aux yeux concentriques et aux larges sourires presque mécaniques, bouleverse les attentes traditionnelles en matière de personnages. Elle ne se contente pas d'être une mascotte, mais reflète la saturation médiatique, la surcharge informationnelle et la fluidité de l'identité. En déployant le motif sur trois niveaux, Murakami joue avec la fragmentation et l'unité : le spectateur doit prendre du recul pour appréhender l'image dans son ensemble, à l'image de la société contemporaine qui n'accède souvent à la clarté que par la concentration collective. Ces attributs sont au cœur de la sensibilité du Street Pop Art et du graffiti. La profusion visuelle, la fantaisie agressive et la superposition de messages font écho aux techniques des artistes urbains qui recouvrent les paysages urbains de personnages et de tags conçus pour provoquer et marquer les esprits. L'œuvre de Murakami, bien que plus léchée et raffinée, conserve cette urgence et cette force. Ses personnages, notamment Dob, sont devenus des totems contemporains, à la fois ludiques et inquiétants, mignons et chaotiques. L'impact mondial de Murakami et l'art du skate en tant qu'archive culturelle Takashi Murakami, né au Japon en 1962, continue de façonner le paysage international du street art et du graffiti en combinant savoir-faire traditionnel et production de masse. Le set de cartes ComplexCon x Dobtopus Octopus est l'aboutissement de son engagement de toujours envers une narration visuelle à plusieurs niveaux. À la fois objet de collection, spectacle pop et miroir philosophique, il a rejoint, depuis sa sortie en 2017, une collection d'objets témoignant de la manière dont les artistes questionnent et transforment la signification des matériaux, des personnages et des valeurs culturelles. Ce set ne se contente pas d'afficher une image : il incarne la fusion, propre à Murakami, d'animation, d'angoisse et de spiritualité sur une surface autrefois dédiée à la rébellion et au divertissement. Le Dobtopus nage au milieu des flammes de l'attention et du bruit, réaffirmant la puissance de l'image immobile. Murakami nous rappelle que même les objets les plus commerciaux peuvent devenir sacrés, imprégnés de couleurs, d'humour et d'un chaos savamment orchestré qui ne cesse d'observer.
$1,500.00
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Guggimon Conceal N Bury - Mode EDC SuperGuggi
Conceal N Bury - Figurine de collection Fashion EDC SuperGuggi Janky SuperPlastic en vinyle édition limitée, œuvre d'art urbain, par l'artiste Guggimon. Édition limitée fabriquée en 2021. Hauteur : 20 cm. Avec son masque Guggi emblématique, sa hache et son sac rempli de lessive parfumée à la lavande, ce psychopathe de 20 cm est le complice idéal de tous les crimes de la mode.
$256.00
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Czee13 Cookie Cat Crew - Tony Tiger Canbot Canz Art Toy par Czee13
Cookie Cat Crew - Tony Tiger Canbot Canz, jouet de collection en vinyle en édition limitée, œuvre d'art réalisée par Czee13, graffeur de rue. Découvrez la Cookie Cat Crew, créée par Czee13, artiste de rue britannique de renommée internationale ! Voici le petit dernier de la famille Canzee : la Cookie Cat Crew ! Cette nouvelle figurine reprend le corps adorable des figurines Canzee classiques, avec une tête sculptée irrésistible et une grenouillère à l'effigie d'un chaton ! Mesurant environ 12,5 cm et dotée d'une tête articulée, vous allez adorer ce nouveau membre de la famille ! Ce modèle est limité à 100 exemplaires.
$200.00
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Cornbread- Darryl McCray Cornbread The Legend Blue Yellow Archival Print par Cornbread- Darryl McCray
Cornbread The Legend - Estampe d'art en édition limitée, pigments d'archivage bleus et jaunes, sur papier beaux-arts, par l'artiste de graffiti pop moderne Cornbread - Darryl McCray. Cornbread The Legend (Bleu et Jaune) 2021 Tirage en édition limitée 50,8 x 41,9 cm (20 x 16,5 pouces) : Impression pigmentaire d'archives sur papier beaux-arts. Format : 50,8 x 41,9 cm (20 x 16,5 pouces). Tirage limité à 7 exemplaires. Signé et numéroté à la main par l'artiste.
$217.00
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Patrick Connan Cornetto Trilogy Hot Fuzz Lithographie Print par Patrick Connan
Cornetto Trilogy - Lithographie Hot Fuzz en édition limitée sur papier mat GF Smith Absolute Naturalis 250 g/m² par Patrick Connan, artiste de rue pop et graffiti urbain. Lithographie sur papier GF Smith Absolute Naturalis mat 250 g/m² avec encres d'archivage. Tirage limité à 20 exemplaires. Format A2 (420 mm x 594 mm / 16,5 x 23,4 pouces). Signée, numérotée et estampillée.
$103.00
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Patrick Connan Cornetto Trilogy Shaun of the Dead Lithographie Print par Patrick Connan
Trilogie Cornetto - Shaun of the Dead Lithographie en édition limitée sur papier mat GF Smith Absolute Naturalis 250 g/m² par Patrick Connan, artiste de rue pop et graffiti urbain. Lithographie sur papier GF Smith Absolute Naturalis mat 250 g/m² avec encres d'archivage. Tirage limité à 20 exemplaires. Format A2 (420 mm x 594 mm / 16,5 x 23,4 pouces). Signée, numérotée et estampillée.
$103.00
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Patrick Connan Cornetto Trilogy The Worlds End Lithographie Print par Patrick Connan
Trilogie Cornetto - Le Bout du Monde Lithographie Édition Limitée Œuvre d'art sur papier mat GF Smith Absolute Naturalis 250 g/m² par Patrick Connan, un artiste de rue pop et de graffiti urbain. Lithographie sur papier GF Smith Absolute Naturalis mat 250 g/m² avec encres d'archivage. Tirage limité à 20 exemplaires. Format A2 (420 mm x 594 mm / 16,5 x 23,4 pouces). Signée, numérotée et estampillée.
$103.00
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Saber Étiquette autocollante spéciale quarantaine coronavirus, illustration originale de Saber
Quarantaine liée au coronavirus : œuvre originale et multi-tags, réalisée au marqueur/dessin sur une étiquette d'avertissement par la légende du graffiti Saber, artiste de rue urbain. Marqueur signé 2020 Original Coronavirus Quarantine Jaune Biohazard Slap Up Graffiti Art Tag 7x5 Multi Tagged on High Visibility Virus Covid-19 Warning Label Rouge, Violet et Argent Marqueur. Faire face à une crise mondiale grâce au pop art urbain L'œuvre originale de Saber, « Coronavirus Quarantine », réalisée au marqueur et recouverte de multiples tags, capture l'esprit d'une époque dominée par la pandémie. Signée et datant de 2020, cette œuvre est bien plus qu'un simple graffiti : c'est un document historique qui immortalise un moment où le monde était aux prises avec le défi sans précédent de la COVID-19. Saber, figure influente de la scène graffiti, s'empare d'une étiquette jaune fluo de risque biologique, symbole désormais omniprésent du virus, et la transforme en une toile. Ses dimensions, 18 x 13 cm, peuvent paraître modestes, mais son impact est immense. Par l'utilisation de tags vibrants et chaotiques qui se superposent à l'avertissement clair « Coronavirus Quarantine », Saber détourne le message alarmiste de l'étiquette, invitant à une réflexion sur la nature de la pandémie qui dépasse la simple peur et la prudence. Cette œuvre constitue un commentaire profond sur les enjeux mondiaux durant la crise de la COVID-19. Les tags de l'artiste de graffiti détournent l'usage des étiquettes d'avertissement, objets censés signaler un danger et inciter à l'obéissance. Ces tags, souvent perçus comme un acte de rébellion dans l'espace public, remettent ici en question le discours dominant sur la pandémie en conférant une dimension individuelle et humaine à l'étiquette d'avertissement, par nature impersonnelle et clinique. L'impact de l'art de Saber dans le contexte du pop art urbain Dans le contexte du street art, l'œuvre « Coronavirus Quarantine » de Saber se distingue comme un reflet poignant de notre époque. Le street art a toujours eu cette capacité unique à interpeller son public de manière directe et urgente. Ici, l'œuvre exprime visuellement l'angoisse collective, la confusion et la résilience vécues pendant les périodes de confinement. La juxtaposition de tags de graffiti formels, presque anarchiques, dans l'œuvre de Saber témoigne de la nature incontrôlée de la réaction du public face à la pandémie : ordre et désordre, obéissance et rébellion. L'année 2020 restera marquée par ses bouleversements majeurs en matière de santé, d'économie et de société à l'échelle mondiale. Dans ce contexte, le street art et les graffitis comme celui de Saber deviennent des symboles de résistance et des témoignages de la résilience humaine. L'étiquette « risque biologique », autrefois simple panneau fonctionnel, est recontextualisée en une œuvre d'art qui provoque, interroge et perdure, à l'image de l'esprit humain face aux épreuves de la pandémie. Saber, l'artiste américain à l'origine de cette œuvre marquante, a une fois de plus prouvé pourquoi il est considéré comme une légende du graffiti. Sa capacité à capter l'air du temps et à le traduire en un art à la fois provocateur et introspectif garantit la pertinence et la résonance de son travail, non seulement au sein de la communauté du street art, mais aussi auprès de ceux qui découvrent son art dans ces mêmes espaces publics si profondément transformés par la pandémie de coronavirus.
$70.00
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Ron English- POPaganda Affiche sérigraphiée pour skateboard Count Calorie Cereal Killers par Ron English - POPaganda
Planche de skateboard Count Calorie - Cereal Killers en édition limitée, sérigraphiée par l'artiste de la culture pop urbaine Ron English - POPaganda. Livré avec du ruban adhésif pour platine.
$204.00
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Denial- Daniel Bombardier Covid No 19 Bleue Archival Print par Denial- Daniel Bombardier
Covid No 19 - Bleue, tirage pigmentaire d'archive en édition limitée sur papier d'art MOAB 290 g/m² par Graffiti Pop Art et Street Artist Denial. Édition limitée 2021 signée et numérotée à 19 exemplaires : Gel hydroalcoolique Chanel Bleue Covid-19 (variante Virus). Tirage pigmentaire d'archives numéroté, signé et estampillé au verso sur papier d'art MOAB 290 g/m², format 45,7 x 61 cm. Le déni face à la COVID-19 : Le marketing de luxe à l’ère des crises mondiales « COVID No. 19 » de Denial est une saisissante estampe pigmentaire d'archives, éditée en 2021 à seulement 19 exemplaires, chacun signé, numéroté et estampillé à la main sur papier d'art MOAB 290 g/m². L'œuvre s'approprie la forme d'un flacon de parfum Chanel N° 5, remplaçant son étiquette iconique par un nom de produit fictif : Gel hydroalcoolique COVID No. 19. D'une précision numérique extrême, l'image reconfigure l'esthétique de la haute couture pour commenter les absurdités du consumérisme à l'ère de la pandémie. Le flacon de gel hydroalcoolique est présenté avec toute l'autorité visuelle d'un produit de luxe, transformant un objet de première nécessité en une parodie de statut et de désir. Au cœur de cette œuvre se trouve une observation culturelle brutale : lors d'une crise sanitaire mondiale, les outils de survie du quotidien – comme le gel hydroalcoolique et les masques – ont été érigés en symboles d'identité, de mode et d'accès économique. La réinterprétation par Denial du parfum Chanel en un produit de consommation à l'ère du virus confronte de front cette transformation. Cette œuvre ne se contente pas de parodier le luxe ; elle révèle comment les systèmes marketing peuvent absorber les traumatismes, les reconditionner et les revendre au public. L’étiquetage, à la manière de Chanel, est à la fois clinique et élégant, un clin d’œil à la façon dont le minimalisme visuel masque souvent la manipulation des entreprises. L'esthétique commerciale comme arme subversive La stratégie artistique de Denial repose sur le vol et la recontextualisation du langage commercial. Avec COVID No. 19, l'utilisation de lignes vectorielles nettes, de reflets lumineux réalistes et d'un design de produit précis imite la publicité jusqu'à la tromperie. Cette imitation est intentionnelle. Le spectateur est d'abord censé percevoir l'image comme authentique – tirée d'un magazine de mode ou d'une campagne de cosmétiques – avant que l'ironie du slogan ne lui apparaisse clairement. La dissonance entre la forme et le contenu invite à une critique de la tendance capitaliste à esthétiser la souffrance. Cette méthodologie visuelle s'inscrit pleinement dans l'esprit du Street Pop Art et du graffiti. Les racines de Denial dans la communication publique non autorisée et la subversion des images subculturelles demeurent présentes, même si l'œuvre se présente sous une forme d'art contemporain. L'absence de coulures de peinture ou de textures rugueuses n'atténue en rien la rébellion. Au contraire, elle réinterprète le langage graphique de la persuasion commerciale pour le subvertir de l'intérieur. Ce qui ressemble à une présentation de produit est, en réalité, une accusation visuelle. Ce n'est pas la pandémie en elle-même qui est critiquée, mais la manière dont elle est présentée. Le pop art urbain comme documentation de la pandémie COVID No. 19 fonctionne à la fois comme une satire et un témoignage historique. L'œuvre saisit un moment culturel où les outils de survie sont devenus des symboles de luxe, où la rareté était synonyme d'exclusivité et où le marketing s'étendait jusqu'aux fournitures médicales. L'œuvre de Denial illustre la manière dont les crises modernes sont non seulement vécues, mais aussi commercialisées : comment la peur de la maladie a été filtrée par les mêmes systèmes qui vendent beauté, mode et art de vivre. Le flacon de gel hydroalcoolique devient un symbole non de protection, mais de consommation. En fusionnant l'iconographie de la mode avec la réalité d'une pandémie mondiale, Denial oblige le spectateur à repenser les frontières entre design et éthique, entre marketing et survie. La simplicité visuelle de COVID No. 19 dissimule une critique subtile de la rapidité avec laquelle l'esthétique commerciale peut vider les événements de leur sens. Dans la lignée du street art et du graffiti, cette œuvre retourne les symboles familiers contre eux-mêmes, révélant la fragilité des apparences face à l'urgence humaine.
$313.00
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Denial- Daniel Bombardier Covid No 19 Juane Archival Print par Denial - Daniel Bombardier
Covid No 19 - Juane, tirage pigmentaire d'archives en édition limitée sur papier d'art MOAB 290 g/m² par Graffiti Pop Art et Street Artist Denial. Édition limitée 2021 signée et numérotée à 19 exemplaires. Gel hydroalcoolique Chanel inspiré du virus Covid-19. Tirage pigmentaire d'archives sur papier MOAB Fine Art 290 g/m², numéroté, signé et estampillé au verso. Format : 45,7 x 61 cm. Le déni face à la COVID-19 : Le marketing de luxe à l’ère des crises mondiales « COVID No. 19 » de Denial est une saisissante estampe pigmentaire d'archives, éditée en 2021 à seulement 19 exemplaires, chacun signé, numéroté et estampillé à la main sur papier d'art MOAB 290 g/m². L'œuvre s'approprie la forme d'un flacon de parfum Chanel N° 5, remplaçant son étiquette iconique par un nom de produit fictif : Gel hydroalcoolique COVID No. 19. D'une précision numérique extrême, l'image reconfigure l'esthétique de la haute couture pour commenter les absurdités du consumérisme à l'ère de la pandémie. Le flacon de gel hydroalcoolique est présenté avec toute l'autorité visuelle d'un produit de luxe, transformant un objet de première nécessité en une parodie de statut et de désir. Au cœur de cette œuvre se trouve une observation culturelle brutale : lors d'une crise sanitaire mondiale, les outils de survie du quotidien – comme le gel hydroalcoolique et les masques – ont été érigés en symboles d'identité, de mode et d'accès économique. La réinterprétation par Denial du parfum Chanel en un produit de consommation à l'ère du virus confronte de front cette transformation. Cette œuvre ne se contente pas de parodier le luxe ; elle révèle comment les systèmes marketing peuvent absorber les traumatismes, les reconditionner et les revendre au public. L’étiquetage, à la manière de Chanel, est à la fois clinique et élégant, un clin d’œil à la façon dont le minimalisme visuel masque souvent la manipulation des entreprises. L'esthétique commerciale comme arme subversive La stratégie artistique de Denial repose sur le vol et la recontextualisation du langage commercial. Avec COVID No. 19, l'utilisation de lignes vectorielles nettes, de reflets lumineux réalistes et d'un design de produit précis imite la publicité jusqu'à la tromperie. Cette imitation est intentionnelle. Le spectateur est d'abord censé percevoir l'image comme authentique – tirée d'un magazine de mode ou d'une campagne de cosmétiques – avant que l'ironie du slogan ne lui apparaisse clairement. La dissonance entre la forme et le contenu invite à une critique de la tendance capitaliste à esthétiser la souffrance. Cette méthodologie visuelle s'inscrit pleinement dans l'esprit du Street Pop Art et du graffiti. Les racines de Denial dans la communication publique non autorisée et la subversion des images subculturelles demeurent présentes, même si l'œuvre se présente sous une forme d'art contemporain. L'absence de coulures de peinture ou de textures rugueuses n'atténue en rien la rébellion. Au contraire, elle réinterprète le langage graphique de la persuasion commerciale pour le subvertir de l'intérieur. Ce qui ressemble à une présentation de produit est, en réalité, une accusation visuelle. Ce n'est pas la pandémie en elle-même qui est critiquée, mais la manière dont elle est présentée. Le pop art urbain comme documentation de la pandémie COVID No. 19 fonctionne à la fois comme une satire et un témoignage historique. L'œuvre saisit un moment culturel où les outils de survie sont devenus des symboles de luxe, où la rareté était synonyme d'exclusivité et où le marketing s'étendait jusqu'aux fournitures médicales. L'œuvre de Denial illustre la manière dont les crises modernes sont non seulement vécues, mais aussi commercialisées : comment la peur de la maladie a été filtrée par les mêmes systèmes qui vendent beauté, mode et art de vivre. Le flacon de gel hydroalcoolique devient un symbole non de protection, mais de consommation. En fusionnant l'iconographie de la mode avec la réalité d'une pandémie mondiale, Denial oblige le spectateur à repenser les frontières entre design et éthique, entre marketing et survie. La simplicité visuelle de COVID No. 19 dissimule une critique subtile de la rapidité avec laquelle l'esthétique commerciale peut vider les événements de leur sens. Dans la lignée du street art et du graffiti, cette œuvre retourne les symboles familiers contre eux-mêmes, révélant la fragilité des apparences face à l'urgence humaine.
$313.00
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Denial- Daniel Bombardier Covid No 19 Mauve Archival Print par Denial - Daniel Bombardier
Covid No 19 - Tirage pigmentaire d'archive en édition limitée mauve sur papier d'art MOAB 290 g/m² par Graffiti Pop Art et Street Artist Denial. Édition limitée 2021, signée et numérotée à 19 exemplaires. Gel hydroalcoolique Chanel, variante mauve Covid-19. Tirage pigmentaire d'archives sur papier MOAB Fine Art 290 g/m², numéroté, signé et estampillé au verso. Format : 45,7 x 61 cm. Le déni face à la COVID-19 : Le marketing de luxe à l’ère des crises mondiales « COVID No. 19 » de Denial est une saisissante estampe pigmentaire d'archives, éditée en 2021 à seulement 19 exemplaires, chacun signé, numéroté et estampillé à la main sur papier d'art MOAB 290 g/m². L'œuvre s'approprie la forme d'un flacon de parfum Chanel N° 5, remplaçant son étiquette iconique par un nom de produit fictif : Gel hydroalcoolique COVID No. 19. D'une précision numérique extrême, l'image reconfigure l'esthétique de la haute couture pour commenter les absurdités du consumérisme à l'ère de la pandémie. Le flacon de gel hydroalcoolique est présenté avec toute l'autorité visuelle d'un produit de luxe, transformant un objet de première nécessité en une parodie de statut et de désir. Au cœur de cette œuvre se trouve une observation culturelle brutale : lors d'une crise sanitaire mondiale, les outils de survie du quotidien – comme le gel hydroalcoolique et les masques – ont été érigés en symboles d'identité, de mode et d'accès économique. La réinterprétation par Denial du parfum Chanel en un produit de consommation à l'ère du virus confronte de front cette transformation. Cette œuvre ne se contente pas de parodier le luxe ; elle révèle comment les systèmes marketing peuvent absorber les traumatismes, les reconditionner et les revendre au public. L’étiquetage, à la manière de Chanel, est à la fois clinique et élégant, un clin d’œil à la façon dont le minimalisme visuel masque souvent la manipulation des entreprises. L'esthétique commerciale comme arme subversive La stratégie artistique de Denial repose sur le vol et la recontextualisation du langage commercial. Avec COVID No. 19, l'utilisation de lignes vectorielles nettes, de reflets lumineux réalistes et d'un design de produit précis imite la publicité jusqu'à la tromperie. Cette imitation est intentionnelle. Le spectateur est d'abord censé percevoir l'image comme authentique – tirée d'un magazine de mode ou d'une campagne de cosmétiques – avant que l'ironie du slogan ne lui apparaisse clairement. La dissonance entre la forme et le contenu invite à une critique de la tendance capitaliste à esthétiser la souffrance. Cette méthodologie visuelle s'inscrit pleinement dans l'esprit du Street Pop Art et du graffiti. Les racines de Denial dans la communication publique non autorisée et la subversion des images subculturelles demeurent présentes, même si l'œuvre se présente sous une forme d'art contemporain. L'absence de coulures de peinture ou de textures rugueuses n'atténue en rien la rébellion. Au contraire, elle réinterprète le langage graphique de la persuasion commerciale pour le subvertir de l'intérieur. Ce qui ressemble à une présentation de produit est, en réalité, une accusation visuelle. Ce n'est pas la pandémie en elle-même qui est critiquée, mais la manière dont elle est présentée. Le pop art urbain comme documentation de la pandémie COVID No. 19 fonctionne à la fois comme une satire et un témoignage historique. L'œuvre saisit un moment culturel où les outils de survie sont devenus des symboles de luxe, où la rareté était synonyme d'exclusivité et où le marketing s'étendait jusqu'aux fournitures médicales. L'œuvre de Denial illustre la manière dont les crises modernes sont non seulement vécues, mais aussi commercialisées : comment la peur de la maladie a été filtrée par les mêmes systèmes qui vendent beauté, mode et art de vivre. Le flacon de gel hydroalcoolique devient un symbole non de protection, mais de consommation. En fusionnant l'iconographie de la mode avec la réalité d'une pandémie mondiale, Denial oblige le spectateur à repenser les frontières entre design et éthique, entre marketing et survie. La simplicité visuelle de COVID No. 19 dissimule une critique subtile de la rapidité avec laquelle l'esthétique commerciale peut vider les événements de leur sens. Dans la lignée du street art et du graffiti, cette œuvre retourne les symboles familiers contre eux-mêmes, révélant la fragilité des apparences face à l'urgence humaine.
$313.00
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Denial- Daniel Bombardier Covid No 19 Orange Archival Print par Denial - Daniel Bombardier
Covid No 19 - Tirage pigmentaire d'archive en édition limitée orange sur papier d'art MOAB 290 g/m² par Graffiti Pop Art et Street Artist Denial. Édition limitée 2021, signée et numérotée à 19 exemplaires, représentant le désinfectant pour les mains Chanel orange inspiré du virus Covid-19. Tirage pigmentaire d'archives sur papier MOAB Fine Art 290 g/m², numéroté, signé et estampillé au verso. Format : 45,7 cm x 61 cm. Le déni du COVID n° 19 Orange : Consumérisme, peur et satire dans le pop art urbain L'œuvre « COVID No. 19 Orange » de Denial illustre la collision entre crise sanitaire et image de marque de luxe à travers le prisme du street art et du graffiti. Créée en 2021, au plus fort de l'angoisse liée à la pandémie mondiale, cette impression pigmentaire d'archives de 45,7 x 61 cm a été réalisée sur papier d'art MOAB 290 g/m² en édition limitée à 19 exemplaires. Chaque pièce est signée, numérotée et estampillée à la main au verso, ce qui renforce son caractère exclusif. Au centre de la composition, un flacon de parfum Chanel N° 5 est réinventé et transformé en gel hydroalcoolique portant l'inscription « COVID No. 19 ». Sur un fond orange vif, l'image interpelle immédiatement le regard tout en livrant une critique culturelle incisive. L'élégance du flacon, son bouchon à pompe chromé et son étiquette blanche minimaliste rappellent les codes visuels des publicités de haute couture. Pourtant, le texte modifié de l'étiquette – « parfum » remplacé par « gel hydroalcoolique », « Paris » par « pandémie » – transforme le luxe en absurde. La référence à Chanel évoque des aspirations de sophistication et de richesse, mais Denial instrumentalise ce symbolisme pour dénoncer la marchandisation de la peur. Dans ce monde, même un virus mortel est transformé en produit de luxe. Le gel hydroalcoolique devient un accessoire de mode, fétichisé par son design, au détriment du coût humain sous-jacent. Quand la logique du graffiti rencontre l'ironie capitaliste Denial, artiste de rue canadien connu pour son détournement du langage publicitaire et des marques de luxe, utilise la clarté graphique et l'humour comme outils de subversion. Son œuvre s'inspire souvent des codes visuels des entreprises – typographie épurée, rendu de produits, couleurs des panneaux d'affichage – mais les réinterprète dans un esprit anticapitaliste. Dans « COVID No. 19 Orange », l'arme de la critique est l'illusion du désir. Le fond orange évoque l'urgence et la vigilance, à l'instar d'un panneau de danger ou d'un écran d'alerte, tout en contrastant avec le minimalisme froid de la bouteille. L'effet est à la fois ludique et dérangeant. Ce type de satire s'inscrit dans la tradition du graffiti comme moyen de communication contestataire. Bien que l'œuvre soit réalisée avec des matériaux d'art et des techniques d'impression de qualité galerie, son message fonctionne comme un graffiti culturel, étiquetant l'esthétique des entreprises de vérités subversives. Le lissage de l'image imite les systèmes mêmes qu'elle critique, brouillant la frontière entre participation et protestation. Le spectateur est d'abord attiré par l'illusion du glamour avant d'en percevoir le vide sous-jacent. Le pop art urbain comme commentaire social à l'ère de la pandémie L'utilisation du terme COVID n° 19 au lieu de n° 5 imite habilement les conventions de dénomination pharmaceutique et le marketing de l'industrie de la mode. Ce jeu de miroirs linguistiques est essentiel à l'impact de l'œuvre, soulignant comment le langage marketing s'infiltre même dans les aspects les plus tragiques de la vie publique. La pandémie n'est pas qu'une simple crise sanitaire : elle est rebaptisée, revendue et réinventée à travers le prisme de la consommation. L'œuvre d'art, en l'occurrence, fait office de capsule temporelle d'une époque marquée par la panique et la marchandisation. « COVID n° 19 Orange » incarne l'essence du street art et du graffiti en utilisant des symboles culturels familiers pour confronter des réalités dérangeantes. Le déni ne présente pas le virus comme un ennemi biologique, mais comme un spectacle marchandisé. La réinterprétation par l'artiste du flacon de parfum Chanel est plus qu'une parodie : c'est une affirmation que même une catastrophe peut être transformée en produit de luxe. L'œuvre critique la société de consommation et renvoie l'image du public qui la consomme, interrogeant non seulement ce que nous achetons, mais aussi ce qui nous est vendu.
$313.00
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Denial- Daniel Bombardier Covid No 19 Rose Archival Print par Denial - Daniel Bombardier
Covid No 19 - Rose, édition limitée, impression pigmentaire d'archives sur papier d'art MOAB 290 g/m² par Graffiti Pop Art et Street Artist Denial. Édition limitée 2021 signée et numérotée à 19 exemplaires : Gel hydroalcoolique Chanel Rose Covid-19 (variante Virus). Tirage pigmentaire d'archives sur papier MOAB Fine Art 290 g/m², numéroté, signé et estampillé au verso. Format : 45,7 x 61 cm. Le déni face à la COVID-19 : Le marketing de luxe à l’ère des crises mondiales « COVID No. 19 » de Denial est une saisissante estampe pigmentaire d'archives, éditée en 2021 à seulement 19 exemplaires, chacun signé, numéroté et estampillé à la main sur papier d'art MOAB 290 g/m². L'œuvre s'approprie la forme d'un flacon de parfum Chanel N° 5, remplaçant son étiquette iconique par un nom de produit fictif : Gel hydroalcoolique COVID No. 19. D'une précision numérique extrême, l'image reconfigure l'esthétique de la haute couture pour commenter les absurdités du consumérisme à l'ère de la pandémie. Le flacon de gel hydroalcoolique est présenté avec toute l'autorité visuelle d'un produit de luxe, transformant un objet de première nécessité en une parodie de statut et de désir. Au cœur de cette œuvre se trouve une observation culturelle brutale : lors d'une crise sanitaire mondiale, les outils de survie du quotidien – comme le gel hydroalcoolique et les masques – ont été érigés en symboles d'identité, de mode et d'accès économique. La réinterprétation par Denial du parfum Chanel en un produit de consommation à l'ère du virus confronte de front cette transformation. Cette œuvre ne se contente pas de parodier le luxe ; elle révèle comment les systèmes marketing peuvent absorber les traumatismes, les reconditionner et les revendre au public. L’étiquetage, à la manière de Chanel, est à la fois clinique et élégant, un clin d’œil à la façon dont le minimalisme visuel masque souvent la manipulation des entreprises. L'esthétique commerciale comme arme subversive La stratégie artistique de Denial repose sur le vol et la recontextualisation du langage commercial. Avec COVID No. 19, l'utilisation de lignes vectorielles nettes, de reflets lumineux réalistes et d'un design de produit précis imite la publicité jusqu'à la tromperie. Cette imitation est intentionnelle. Le spectateur est d'abord censé percevoir l'image comme authentique – tirée d'un magazine de mode ou d'une campagne de cosmétiques – avant que l'ironie du slogan ne lui apparaisse clairement. La dissonance entre la forme et le contenu invite à une critique de la tendance capitaliste à esthétiser la souffrance. Cette méthodologie visuelle s'inscrit pleinement dans l'esprit du Street Pop Art et du graffiti. Les racines de Denial dans la communication publique non autorisée et la subversion des images subculturelles demeurent présentes, même si l'œuvre se présente sous une forme d'art contemporain. L'absence de coulures de peinture ou de textures rugueuses n'atténue en rien la rébellion. Au contraire, elle réinterprète le langage graphique de la persuasion commerciale pour le subvertir de l'intérieur. Ce qui ressemble à une présentation de produit est, en réalité, une accusation visuelle. Ce n'est pas la pandémie en elle-même qui est critiquée, mais la manière dont elle est présentée. Le pop art urbain comme documentation de la pandémie COVID No. 19 fonctionne à la fois comme une satire et un témoignage historique. L'œuvre saisit un moment culturel où les outils de survie sont devenus des symboles de luxe, où la rareté était synonyme d'exclusivité et où le marketing s'étendait jusqu'aux fournitures médicales. L'œuvre de Denial illustre la manière dont les crises modernes sont non seulement vécues, mais aussi commercialisées : comment la peur de la maladie a été filtrée par les mêmes systèmes qui vendent beauté, mode et art de vivre. Le flacon de gel hydroalcoolique devient un symbole non de protection, mais de consommation. En fusionnant l'iconographie de la mode avec la réalité d'une pandémie mondiale, Denial oblige le spectateur à repenser les frontières entre design et éthique, entre marketing et survie. La simplicité visuelle de COVID No. 19 dissimule une critique subtile de la rapidité avec laquelle l'esthétique commerciale peut vider les événements de leur sens. Dans la lignée du street art et du graffiti, cette œuvre retourne les symboles familiers contre eux-mêmes, révélant la fragilité des apparences face à l'urgence humaine.
$313.00
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Denial- Daniel Bombardier Impression d'archives Covid No 19 Rouge par Denial - Daniel Bombardier
Covid No 19 - Rouge Édition Limitée Tirage Pigmentaire d'Archives sur Papier Beaux-Arts MOAB 290 g/m² par Graffiti Pop Art et Street Artist Denial. Édition limitée 2021, signée et numérotée à 19 exemplaires : Rouge Covid19 Chanel, désinfectant pour les mains inspiré du virus. Tirage pigmentaire d'archives sur papier MOAB Fine Art 290 g/m², numéroté, signé et estampillé au verso. Format : 45,7 cm x 61 cm. Le déni face à la COVID-19 : Le marketing de luxe à l’ère des crises mondiales « COVID No. 19 » de Denial est une saisissante estampe pigmentaire d'archives, éditée en 2021 à seulement 19 exemplaires, chacun signé, numéroté et estampillé à la main sur papier d'art MOAB 290 g/m². L'œuvre s'approprie la forme d'un flacon de parfum Chanel N° 5, remplaçant son étiquette iconique par un nom de produit fictif : Gel hydroalcoolique COVID No. 19. D'une précision numérique extrême, l'image reconfigure l'esthétique de la haute couture pour commenter les absurdités du consumérisme à l'ère de la pandémie. Le flacon de gel hydroalcoolique est présenté avec toute l'autorité visuelle d'un produit de luxe, transformant un objet de première nécessité en une parodie de statut et de désir. Au cœur de cette œuvre se trouve une observation culturelle brutale : lors d'une crise sanitaire mondiale, les outils de survie du quotidien – comme le gel hydroalcoolique et les masques – ont été érigés en symboles d'identité, de mode et d'accès économique. La réinterprétation par Denial du parfum Chanel en un produit de consommation à l'ère du virus confronte de front cette transformation. Cette œuvre ne se contente pas de parodier le luxe ; elle révèle comment les systèmes marketing peuvent absorber les traumatismes, les reconditionner et les revendre au public. L’étiquetage, à la manière de Chanel, est à la fois clinique et élégant, un clin d’œil à la façon dont le minimalisme visuel masque souvent la manipulation des entreprises. L'esthétique commerciale comme arme subversive La stratégie artistique de Denial repose sur le vol et la recontextualisation du langage commercial. Avec COVID No. 19, l'utilisation de lignes vectorielles nettes, de reflets lumineux réalistes et d'un design de produit précis imite la publicité jusqu'à la tromperie. Cette imitation est intentionnelle. Le spectateur est d'abord censé percevoir l'image comme authentique – tirée d'un magazine de mode ou d'une campagne de cosmétiques – avant que l'ironie du slogan ne lui apparaisse clairement. La dissonance entre la forme et le contenu invite à une critique de la tendance capitaliste à esthétiser la souffrance. Cette méthodologie visuelle s'inscrit pleinement dans l'esprit du Street Pop Art et du graffiti. Les racines de Denial dans la communication publique non autorisée et la subversion des images subculturelles demeurent présentes, même si l'œuvre se présente sous une forme d'art contemporain. L'absence de coulures de peinture ou de textures rugueuses n'atténue en rien la rébellion. Au contraire, elle réinterprète le langage graphique de la persuasion commerciale pour le subvertir de l'intérieur. Ce qui ressemble à une présentation de produit est, en réalité, une accusation visuelle. Ce n'est pas la pandémie en elle-même qui est critiquée, mais la manière dont elle est présentée. Le pop art urbain comme documentation de la pandémie COVID No. 19 fonctionne à la fois comme une satire et un témoignage historique. L'œuvre saisit un moment culturel où les outils de survie sont devenus des symboles de luxe, où la rareté était synonyme d'exclusivité et où le marketing s'étendait jusqu'aux fournitures médicales. L'œuvre de Denial illustre la manière dont les crises modernes sont non seulement vécues, mais aussi commercialisées : comment la peur de la maladie a été filtrée par les mêmes systèmes qui vendent beauté, mode et art de vivre. Le flacon de gel hydroalcoolique devient un symbole non de protection, mais de consommation. En fusionnant l'iconographie de la mode avec la réalité d'une pandémie mondiale, Denial oblige le spectateur à repenser les frontières entre design et éthique, entre marketing et survie. La simplicité visuelle de COVID No. 19 dissimule une critique subtile de la rapidité avec laquelle l'esthétique commerciale peut vider les événements de leur sens. Dans la lignée du street art et du graffiti, cette œuvre retourne les symboles familiers contre eux-mêmes, révélant la fragilité des apparences face à l'urgence humaine.
$313.00
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Denial- Daniel Bombardier Covid No 19 Sarcelle Archival Print par Denial- Daniel Bombardier
Covid No 19 - Sarcelle Limited Edition Archival Pigment Print sur papier d'art MOAB 290 g/m² par Graffiti Pop Art et Street Artist Denial. Édition limitée 2021 signée et numérotée à 19 exemplaires : Sarcelle Covid19 Chanel, désinfectant pour les mains inspiré du virus. Tirage pigmentaire d'archives sur papier MOAB Fine Art 290 g/m², numéroté, signé et estampillé au verso. Format : 45,7 cm x 61 cm. Le déni face à la COVID-19 : Le marketing de luxe à l’ère des crises mondiales « COVID No. 19 » de Denial est une saisissante estampe pigmentaire d'archives, éditée en 2021 à seulement 19 exemplaires, chacun signé, numéroté et estampillé à la main sur papier d'art MOAB 290 g/m². L'œuvre s'approprie la forme d'un flacon de parfum Chanel N° 5, remplaçant son étiquette iconique par un nom de produit fictif : Gel hydroalcoolique COVID No. 19. D'une précision numérique extrême, l'image reconfigure l'esthétique de la haute couture pour commenter les absurdités du consumérisme à l'ère de la pandémie. Le flacon de gel hydroalcoolique est présenté avec toute l'autorité visuelle d'un produit de luxe, transformant un objet de première nécessité en une parodie de statut et de désir. Au cœur de cette œuvre se trouve une observation culturelle brutale : lors d'une crise sanitaire mondiale, les outils de survie du quotidien – comme le gel hydroalcoolique et les masques – ont été érigés en symboles d'identité, de mode et d'accès économique. La réinterprétation par Denial du parfum Chanel en un produit de consommation à l'ère du virus confronte de front cette transformation. Cette œuvre ne se contente pas de parodier le luxe ; elle révèle comment les systèmes marketing peuvent absorber les traumatismes, les reconditionner et les revendre au public. L’étiquetage, à la manière de Chanel, est à la fois clinique et élégant, un clin d’œil à la façon dont le minimalisme visuel masque souvent la manipulation des entreprises. L'esthétique commerciale comme arme subversive La stratégie artistique de Denial repose sur le vol et la recontextualisation du langage commercial. Avec COVID No. 19, l'utilisation de lignes vectorielles nettes, de reflets lumineux réalistes et d'un design de produit précis imite la publicité jusqu'à la tromperie. Cette imitation est intentionnelle. Le spectateur est d'abord censé percevoir l'image comme authentique – tirée d'un magazine de mode ou d'une campagne de cosmétiques – avant que l'ironie du slogan ne lui apparaisse clairement. La dissonance entre la forme et le contenu invite à une critique de la tendance capitaliste à esthétiser la souffrance. Cette méthodologie visuelle s'inscrit pleinement dans l'esprit du Street Pop Art et du graffiti. Les racines de Denial dans la communication publique non autorisée et la subversion des images subculturelles demeurent présentes, même si l'œuvre se présente sous une forme d'art contemporain. L'absence de coulures de peinture ou de textures rugueuses n'atténue en rien la rébellion. Au contraire, elle réinterprète le langage graphique de la persuasion commerciale pour le subvertir de l'intérieur. Ce qui ressemble à une présentation de produit est, en réalité, une accusation visuelle. Ce n'est pas la pandémie en elle-même qui est critiquée, mais la manière dont elle est présentée. Le pop art urbain comme documentation de la pandémie COVID No. 19 fonctionne à la fois comme une satire et un témoignage historique. L'œuvre saisit un moment culturel où les outils de survie sont devenus des symboles de luxe, où la rareté était synonyme d'exclusivité et où le marketing s'étendait jusqu'aux fournitures médicales. L'œuvre de Denial illustre la manière dont les crises modernes sont non seulement vécues, mais aussi commercialisées : comment la peur de la maladie a été filtrée par les mêmes systèmes qui vendent beauté, mode et art de vivre. Le flacon de gel hydroalcoolique devient un symbole non de protection, mais de consommation. En fusionnant l'iconographie de la mode avec la réalité d'une pandémie mondiale, Denial oblige le spectateur à repenser les frontières entre design et éthique, entre marketing et survie. La simplicité visuelle de COVID No. 19 dissimule une critique subtile de la rapidité avec laquelle l'esthétique commerciale peut vider les événements de leur sens. Dans la lignée du street art et du graffiti, cette œuvre retourne les symboles familiers contre eux-mêmes, révélant la fragilité des apparences face à l'urgence humaine.
$313.00
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Denial- Daniel Bombardier Impression d'archives Covid No 19 Verte par Denial - Daniel Bombardier
Covid No 19 - Verte Limited Edition Archival Pigment Print on 290gsm MOAB Fine Art Paper by Graffiti Pop Art and Street Artist Denial. Édition limitée 2021 signée et numérotée à 19 exemplaires : Gel hydroalcoolique Chanel Verte Covid-19 (variante Virus). Tirage pigmentaire d'archives numéroté, signé et estampillé au verso sur papier d'art MOAB 290 g/m², format 45,7 x 61 cm. Le déni face à la COVID-19 : Le marketing de luxe à l’ère des crises mondiales « COVID No. 19 » de Denial est une saisissante estampe pigmentaire d'archives, éditée en 2021 à seulement 19 exemplaires, chacun signé, numéroté et estampillé à la main sur papier d'art MOAB 290 g/m². L'œuvre s'approprie la forme d'un flacon de parfum Chanel N° 5, remplaçant son étiquette iconique par un nom de produit fictif : Gel hydroalcoolique COVID No. 19. D'une précision numérique extrême, l'image reconfigure l'esthétique de la haute couture pour commenter les absurdités du consumérisme à l'ère de la pandémie. Le flacon de gel hydroalcoolique est présenté avec toute l'autorité visuelle d'un produit de luxe, transformant un objet de première nécessité en une parodie de statut et de désir. Au cœur de cette œuvre se trouve une observation culturelle brutale : lors d'une crise sanitaire mondiale, les outils de survie du quotidien – comme le gel hydroalcoolique et les masques – ont été érigés en symboles d'identité, de mode et d'accès économique. La réinterprétation par Denial du parfum Chanel en un produit de consommation à l'ère du virus confronte de front cette transformation. Cette œuvre ne se contente pas de parodier le luxe ; elle révèle comment les systèmes marketing peuvent absorber les traumatismes, les reconditionner et les revendre au public. L’étiquetage, à la manière de Chanel, est à la fois clinique et élégant, un clin d’œil à la façon dont le minimalisme visuel masque souvent la manipulation des entreprises. L'esthétique commerciale comme arme subversive La stratégie artistique de Denial repose sur le vol et la recontextualisation du langage commercial. Avec COVID No. 19, l'utilisation de lignes vectorielles nettes, de reflets lumineux réalistes et d'un design de produit précis imite la publicité jusqu'à la tromperie. Cette imitation est intentionnelle. Le spectateur est d'abord censé percevoir l'image comme authentique – tirée d'un magazine de mode ou d'une campagne de cosmétiques – avant que l'ironie du slogan ne lui apparaisse clairement. La dissonance entre la forme et le contenu invite à une critique de la tendance capitaliste à esthétiser la souffrance. Cette méthodologie visuelle s'inscrit pleinement dans l'esprit du Street Pop Art et du graffiti. Les racines de Denial dans la communication publique non autorisée et la subversion des images subculturelles demeurent présentes, même si l'œuvre se présente sous une forme d'art contemporain. L'absence de coulures de peinture ou de textures rugueuses n'atténue en rien la rébellion. Au contraire, elle réinterprète le langage graphique de la persuasion commerciale pour le subvertir de l'intérieur. Ce qui ressemble à une présentation de produit est, en réalité, une accusation visuelle. Ce n'est pas la pandémie en elle-même qui est critiquée, mais la manière dont elle est présentée. Le pop art urbain comme documentation de la pandémie COVID No. 19 fonctionne à la fois comme une satire et un témoignage historique. L'œuvre saisit un moment culturel où les outils de survie sont devenus des symboles de luxe, où la rareté était synonyme d'exclusivité et où le marketing s'étendait jusqu'aux fournitures médicales. L'œuvre de Denial illustre la manière dont les crises modernes sont non seulement vécues, mais aussi commercialisées : comment la peur de la maladie a été filtrée par les mêmes systèmes qui vendent beauté, mode et art de vivre. Le flacon de gel hydroalcoolique devient un symbole non de protection, mais de consommation. En fusionnant l'iconographie de la mode avec la réalité d'une pandémie mondiale, Denial oblige le spectateur à repenser les frontières entre design et éthique, entre marketing et survie. La simplicité visuelle de COVID No. 19 dissimule une critique subtile de la rapidité avec laquelle l'esthétique commerciale peut vider les événements de leur sens. Dans la lignée du street art et du graffiti, cette œuvre retourne les symboles familiers contre eux-mêmes, révélant la fragilité des apparences face à l'urgence humaine.
$313.00
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Vandul Baskets Cowboy Killers Marlboro Pointure 46 (12 US) de Vandul
Paire de chaussures/baskets Cowboy Killers Marlboro, pointure 12, boîte personnalisée Vandul, édition limitée, objet d'art rare, vêtement, œuvre d'art de collection. Chaussures Vandul édition limitée 2023, pointure 46 (12 US), inspirées des paquets de cigarettes Marlboro. Neuves dans leur boîte d'origine, jamais portées. Emballage comme neuf. Cowboy Killers de Vandul : une affirmation audacieuse dans le monde des chaussures streetwear L'édition limitée 2023 de la basket Cowboy Killers Marlboro Cigarette, pointure 46 (taille 12 US), signée Vandul, est une fusion provocatrice entre la culture streetwear et le pop art. Cette pièce de collection, dont le design s'inspire du paquet iconique de cigarettes Marlboro, incarne un mélange de style urbain audacieux et de critique de la société de consommation. Neuve, elle est présentée dans un coffret au design soigné qui souligne le souci du détail et l'engagement de l'artiste envers son concept. Vandul, figure emblématique du street art et du graffiti, utilise la chaussure comme support pour explorer les thèmes du consumérisme, de l'addiction et du pouvoir d'attraction des marques. Ces baskets, véritables œuvres d'art, interrogent l'omniprésence de la publicité et la manière dont l'imagerie des marques infiltre et influence la conscience collective. Jamais portées et conservées dans leur emballage d'origine, elles constituent autant une déclaration de style qu'un accessoire de mode, invitant à une réflexion sur les liens entre identité, culture de consommation et expression artistique. L'œuvre de Vandul invite celui ou celle qui la porte à s'interroger sur les implications du marketing, tout en s'appropriant et en réinterprétant un logo familier pour en faire une création inédite et artistiquement significative. En somme, les baskets Cowboy Killers de Vandul témoignent du pouvoir du street art à affirmer une position, à métamorphoser l'ordinaire en extraordinaire et à susciter la réflexion à travers des objets du quotidien. Ces baskets ne sont pas de simples vêtements : elles sont un sujet de conversation, une œuvre d'art à porter qui porte en elle une critique culturelle et l'héritage de l'innovation du street art.
$333.00
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Zane Thomas Cowgirls #2 Sérigraphie par Zane Thomas
Cowgirls #2 Édition limitée 3 couleurs, sérigraphie artisanale sur papier beaux-arts par Zane Thomas, artiste de rue graffiti, art pop moderne. Édition limitée à 50 exemplaires, signée et numérotée, 2013. Format : 8,5 x 11 pouces. L'expression artistique des cowgirls par Zane Thomas « Cowgirls », une sérigraphie artisanale en trois couleurs, en édition limitée, signée Zane Thomas, incarne l'énergie audacieuse et dynamique du pop art urbain et du graffiti. Créée en 2013 dans le cadre d'une édition signée et numérotée de 50 exemplaires, cette œuvre fusionne références à la culture pop et force brute de l'art urbain. Mesurant 21,6 x 27,9 cm, la composition capture l'esprit de rébellion, d'indépendance et de force que l'image de la cowgirl symbolise depuis longtemps dans la culture américaine. Par l'utilisation de lignes affirmées, de figures stylisées et d'une palette de couleurs soigneusement choisie, Thomas insuffle une nouvelle vie à ce motif traditionnel tout en conservant son esthétique distinctive inspirée du graffiti. La symbolique de la cowgirl dans l'art pop urbain et le graffiti La cowgirl est un puissant symbole de résilience, de liberté et d'individualité, ce qui en fait un sujet idéal pour le street art et le graffiti. Dans cette estampe, Zane Thomas s'approprie l'iconographie de l'Ouest américain tout en la réinterprétant à travers un prisme contemporain. En intégrant des aplats de couleurs audacieux, des lignes exagérées et une composition expressive, l'œuvre fait le lien entre l'esthétique western classique et la culture visuelle urbaine moderne. La figure de la cowgirl résonne avec les thèmes de la rébellion et de l'indépendance, en accord avec l'esprit contestataire du street art. Cette réinterprétation visuelle remet en question les récits traditionnels tout en célébrant la force et l'assurance incarnées par la cowgirl. Le savoir-faire derrière la sérigraphie artisanale La sérigraphie est un procédé qui permet de créer des compositions vibrantes et nuancées, ce qui en fait un médium idéal pour une œuvre comme « Cowgirls ». La composition en trois couleurs met en valeur la capacité de Thomas à créer profondeur et mouvement avec une palette restreinte. Les techniques d'impression artisanales confèrent à chaque pièce une dimension unique, garantissant ainsi l'unicité de chaque tirage. La précision requise pour la superposition des différentes couleurs d'encre renforce l'impact visuel de l'œuvre, soulignant les contrastes marqués et les contours précis. Cette maîtrise technique témoigne du savoir-faire de Thomas, qui marie avec brio les méthodes d'impression traditionnelles à l'énergie brute du graffiti. L'impact culturel des cowgirls par Zane Thomas « Cowgirls » est une œuvre marquante du street art et du graffiti, puisant son inspiration dans l'imagerie historique et les mouvements artistiques contemporains. En intégrant des thèmes western à l'art urbain, Zane Thomas crée un dialogue visuel entre passé et présent, tradition et rébellion. Cette œuvre remet en question la perception traditionnelle de la cowgirl en l'inscrivant dans une esthétique moderne inspirée du graffiti, renforçant ainsi son statut d'icône culturelle. Faisant partie d'une série en édition limitée, elle revêt une importance particulière pour les collectionneurs sensibles à la fusion de thèmes classiques et du langage dynamique et en constante évolution du street art.
$134.00
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Brandalism & Brandalised Crayon Shooter LA Sculpture en polystone doré par Brandalised
Crayon Shooter - LA Gold, édition limitée, statue en polystone, œuvre d'art réalisée par un artiste de rue graffeur et artiste pop moderne, Brandalised. Statue Mighty Jaxx en polystone de 25 cm de haut, signée par l'artiste, édition limitée 2021 La tristesse qui se lit sur son visage souligne la fin apparente de son innocence. Pourquoi manie-t-il une mitrailleuse alors qu'il devrait dessiner avec des crayons de couleur ? Ne manquez pas cette occasion unique d'acquérir cette œuvre d'art exceptionnelle. Pour tout achat, une boîte de crayons de couleur dorés est offerte.
$533.00
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Shepard Fairey- OBEY Sérigraphie Cream & Gold Sedation in Bloom de Shepard Fairey - OBEY
Sérigraphie Cream & Gold Sedation in Bloom de Shepard Fairey - OBEY Tirée à la main sur papier d'art Cream Speckletone, édition limitée. Artiste de la culture pop Obey. 2021 Signé par Shepard Fairey - OBEY & Édition limitée numérotée de 150 exemplaires. Dimensions de l'œuvre : 18 x 24. Série d'estampes sérigraphiques « Sedation in Bloom ». « J'ai initialement créé ce motif de coquelicot dans le cadre d'une collaboration avec l'artiste Gordon Cheung. Dans notre œuvre, nous abordions le meurtre tragique de Vincent Chin et l'utilisation historique d'images et de symboles anti-asiatiques dans la culture occidentale. Le coquelicot est une fleur magnifique aux multiples interprétations symboliques, telles que la paix, la mort, le sommeil et la sédation. J'intègre souvent des motifs floraux et décoratifs à mon art pour captiver le regard et rendre les concepts complexes plus accessibles. Cependant, l'attrait décoratif peut endormir les consciences et les détourner de problèmes sociaux plus importants. Qu'il s'agisse de divertissement, d'alcool, de drogues ou de consommation ostentatoire, je pense que la sédation est une cause majeure de complaisance et d'ignorance sur les plans social et politique. Ces estampes « Sedation In Bloom » ont une double fonction : offrir une échappatoire décorative et nous rappeler de rester vigilants ! » – Shepard Fairey – OBEY. Le point de rencontre fascinant du pop art urbain et de l'activisme Au panthéon du street art contemporain, la sérigraphie « Cream & Gold Sedation in Bloom » de Shepard Fairey s'impose comme une œuvre aussi saisissante visuellement que profonde sur le plan conceptuel. L'artiste américain Frank Shepard Fairey, né le 15 février 1970 à Charleston, en Caroline du Sud, est une figure emblématique de ce mouvement artistique, alliant son expertise en graphisme à un engagement politique aigu. L'œuvre présentée ici fait partie de la série limitée « Sedation in Bloom », reconnaissable à son tirage artisanal sur papier d'art de qualité supérieure, à la teinte crème mouchetée. Résonance symbolique dans la série de sérigraphies de Fairey L'œuvre de Shepard Fairey exploite souvent la puissance des symboles pour communiquer des récits sociaux complexes. « Cream & Gold Sedation in Bloom » ne fait pas exception : sa toile de 45,7 x 61 cm est richement ornée de coquelicots d'une teinte dorée éclatante sur fond crème. Ce choix de couleur n'est pas qu'esthétique ; l'or véhicule un sentiment de valeur et de rareté, et, juxtaposé à la notion de sédation, il invite à une réflexion plus profonde sur ce que la société considère comme précieux par rapport à ce qu'elle utilise pour fuir la réalité. Chacune des 150 pièces de cette série porte la signature unique de Shepard Fairey, garantissant aux collectionneurs son authenticité et l'implication directe de l'artiste. Le thème de la sédation, reflété par l'imagerie du coquelicot, est une métaphore de la façon dont la société s'anesthésie face aux problèmes sociaux et politiques urgents. Collaboration créative et critique sociale par l'art L'œuvre de Shepard Fairey, ornée de motifs de coquelicots, est née de sa collaboration avec l'artiste sino-britannique Gordon Cheung. Leurs efforts communs visaient à commenter le meurtre tragique de Vincent Chin et à dénoncer la persistance de l'imagerie anti-asiatique dans la culture occidentale. Dans ce contexte, les estampes de la série « Sedation in Bloom » dépassent le simple cadre de l'art décoratif ; elles invitent à la réflexion, incitant le spectateur à prendre conscience des courants sous-jacents de complaisance culturelle et de xénophobie qui persistent au sein de la société contemporaine. L'œuvre « Sedation in Bloom » aux teintes crème et or illustre ainsi un puissant dualisme inhérent au pop art urbain et au graffiti : à la fois vecteur de beauté et outil de sensibilisation. L'œuvre de Shepard Fairey se dresse comme un emblème du potentiel du street art à servir d'appel à la vigilance sociale, incitant le public à une prise de conscience accrue dans un paysage culturel trop enclin à l'endormir dans la passivité par ses distractions superficielles. À travers cette série d'estampes, Fairey nous rappelle que le véritable trésor se trouve dans l'éveil collectif et la quête de la vérité face à l'anesthésie sociale.
$676.00
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Denial- Daniel Bombardier Credit Limit Bank of Ugh-Merica Archival Print par Denial- Daniel Bombardier
Limite de crédit - Bank of Ugh-Merica Tirage d'art pigmentaire d'archives en édition limitée sur papier d'art MOAB 290 g/m² par Legend Street Art et Modern Pop Culture Artist Denial. Limite de crédit - Bank of Ugh-Merica. Œuvre d'art sur le thème de la carte de crédit. Numérotée, signée, tamponnée au verso, édition limitée à 25 exemplaires, 24 x 18 pouces, impression pigmentaire d'archives sur papier d'art MOAB 290 g/m². Limite de crédit : Refus de la Banque d'Ugh-Merica « Credit Limit : Bank of Ugh-Merica » est une puissante estampe d'art pigmentaire de qualité archivistique, créée par Daniel Bombardier, alias Denial, artiste de street art, pop art et culture contemporaine. Tirée à seulement 25 exemplaires, cette œuvre reflète la critique acerbe que Denial adresse au consumérisme et aux systèmes financiers qui dominent la vie moderne. Imprimée sur papier d'art MOAB 290 g/m², cette pièce de 61 x 46 cm (24 x 18 pouces) combine couleurs vives, références à la culture pop et imagerie satirique pour interroger la perception du spectateur sur la richesse, le crédit et les valeurs sociétales. Chaque estampe est signée, numérotée et estampillée au verso, ce qui en fait une pièce de collection très recherchée par les amateurs de street art, de pop art et de graffiti. Le commentaire visuel sur le consumérisme Credit Limit : Bank of Ugh-Merica transforme le design emblématique d'une carte de crédit en une critique acerbe du système financier et de la société de consommation américaine. La figure centrale – une femme au visage peint du drapeau américain – symbolise l'attrait et le fardeau du patriotisme, intimement liés à l'identité économique. Son expression exagérée traduit la désillusion, reflétant le poids émotionnel de l'endettement et de la dépendance financière. Le remplacement du logo habituel de la carte de crédit par la version satirique de Denial met en lumière le décalage entre les promesses de prospérité et les réalités des inégalités économiques. Cette œuvre illustre à merveille la capacité du pop art urbain à délivrer un commentaire social pertinent grâce à des codes visuels familiers. L'approche du déni face à l'art de la culture pop moderne L'artiste canadien Daniel Bombardier s'est fait connaître en critiquant la société de consommation, la politique et les normes sociales à travers son art urbain pop et ses graffitis. Son œuvre « Credit Limit : Bank of Ugh-Merica » illustre parfaitement son style caractéristique, alliant des éléments graphiques audacieux à des thèmes qui invitent à la réflexion. En s'appropriant l'imagerie de la carte de crédit – symbole de richesse et de statut social –, « Denial » invite le spectateur à reconsidérer les systèmes qu'il tient pour acquis. Son souci du détail, de l'impression pigmentaire d'archives d'une netteté exceptionnelle au papier d'art MOAB de haute qualité, garantit la clarté et l'impact du message. La pertinence culturelle de la limite de crédit Cette œuvre trouve un écho particulier à une époque où les débats sur les inégalités économiques, l'endettement et les habitudes de consommation sont plus que jamais d'actualité. « Credit Limit : Bank of Ugh-Merica » critique non seulement les structures qui perpétuent les inégalités, mais interroge également l'obsession culturelle pour la richesse matérielle et le pouvoir financier. Son édition limitée renforce son importance et en fait une œuvre à la fois artistique et culturelle. Témoignant de la capacité de Denial à fusionner humour, critique et culture pop en une œuvre cohérente et percutante, elle atteste du pouvoir durable du street art et du graffiti pour remettre en question les normes sociales.
$385.00
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Faile Stilettos Cromie, sérigraphie de Faile
Sérigraphie Cromie Stilettos par Faile, imprimée à la main en 6 couleurs sur papier d'art en coton, édition limitée. Édition limitée signée et numérotée de 2023 (20 exemplaires). Œuvre d'art de 27,56 x 39,37 pouces. Sérigraphie représentant une femme punk avec un couteau à cran d'arrêt. Mélange saisissant de dynamisme et d'audace, la sérigraphie « Cromie Stilettos » de Faile s'impose comme une œuvre emblématique du pop art et du street art contemporains. Créée en 2023, cette impression artisanale en six couleurs sur papier d'art 100 % coton de haute qualité capture l'essence de l'esthétique moderne à travers un savoir-faire traditionnel. Tirée à seulement 20 exemplaires signés et numérotés, cette édition limitée mesure 70 x 100 cm, une pièce maîtresse pour tout collectionneur ou amateur d'art. L'image centrale, représentant une femme punk brandissant un couteau à cran d'arrêt, est non seulement saisissante visuellement, mais aussi porteuse d'un message fort. Elle résonne avec les thèmes de l'émancipation, de la rébellion et de l'énergie brute et authentique de la vie urbaine. Le choix des couleurs, la complexité des motifs et le jeu d'ombres et de lumières témoignent du talent exceptionnel de Faile pour tisser des récits complexes à travers ses images. Le fond, baigné de couleurs vibrantes et orné de motifs complexes, confère une profondeur supplémentaire au portrait, invitant le spectateur à s'attarder et à s'immerger davantage dans l'histoire qui se déploie sur la toile. Pour les connaisseurs du pop art et du street art, la sérigraphie « Cromie Stilettos » témoigne de l'évolution du genre. Elle repousse les limites, bouscule les conventions et suscite le dialogue. Le talent de Faile pour fusionner motifs culturels et thèmes contemporains fait de cette œuvre non seulement un régal pour les yeux, mais aussi un chef-d'œuvre qui invite à la réflexion.
$4,814.00
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Marly Mcfly Impression d'archives surdimensionnée de couronne par Marly Mcfly
Crown - Tirage d'art en édition limitée grand format, réalisé à partir de pigments d'archives sur papier Moab Entrada 290 g/m² par l'artiste Marly Mcfly, légende du street art pop et du graffiti. Édition limitée 2022, signée et numérotée, à 27 exemplaires. Format : 20x20 pouces.
$298.00
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Copyright Crying Woman HPM Pochoir Sérigraphie par Copyright
Femme qui pleure, œuvre d'art, pochoir à la peinture en aérosol HPM, sérigraphie sur papier d'art Fabriano, peinture réalisée par un artiste de la culture pop urbaine, ©. Édition limitée signée et numérotée de 25 exemplaires (2019). Œuvre d'art sérigraphiée au pochoir, format 19,75 x 27,5 pouces, représentant Wonder Woman en gros plan sur son visage en pleurs. Dans le vaste univers du street art et de la pop culture, une œuvre en particulier, « Crying Woman », créée par le célèbre artiste de rue Copyright, marque les esprits. Réalisée en 2019, cette œuvre exploite la puissance des techniques de pochoir à la bombe aérosol combinées à la sérigraphie, toutes deux appliquées sur la riche texture du papier Fabriano Fine Art. Ses dimensions, 50 x 70 cm, servent de support à un portrait poignant de Wonder Woman, en gros plan intime, capturant un moment d'émotion brute où les larmes coulent librement sur son visage. Ce qui rend cette œuvre encore plus exclusive, c'est son édition limitée. Seuls 25 exemplaires ont été produits, faisant de chacun une pièce précieuse. Chaque exemplaire porte la signature de Copyright, authentifiant son authenticité et affirmant sa place dans l'histoire de la pop culture. Le choix de représenter Wonder Woman, emblème de force, de résilience et d'émancipation, dans un état de vulnérabilité est à la fois saisissant et paradoxal. Elle souligne la nature complexe de l'humanité, où même les plus puissants ne sont pas insensibles aux émotions et aux moments de fragilité. Le choix du médium par Copyright est également révélateur. La peinture aérosol au pochoir, intrinsèquement liée au graffiti, confère une certaine crudité, une authenticité brute qui fait écho aux émotions exprimées. La sérigraphie, quant à elle, introduit une touche de finesse, contrastant et complétant à la fois le travail au pochoir. Le papier Fabriano, avec son riche héritage et sa texture délicate, offre un support qui confère à l'œuvre un charme intemporel. À travers « Crying Woman », Copyright offre non seulement un régal visuel, mais initie également un dialogue sur la vulnérabilité, la force et l'interaction entre les émotions et les médiums contrastés dans l'univers de l'art urbain.
$450.00
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MMont Crystal Be @ rbrick Feuille d'or Dessin Original Peinture par MMont
Œuvre d'art Crystal Bearbrick, graphite sur papier superposé à de la feuille d'or sur carton, réalisée par l'artiste de la culture pop urbaine MMont. Dessin original signé de 2021, technique mixte, graphite et feuille d'or, encadré, format 9 x 12 pouces. Crystal Bearbrick par MMont. Graphite sur papier, recouvert de feuilles d'or sur carton. Nature morte représentant la collaboration Baccarat/Bearbrick. 23 x 30 cm (encadré). Provenance : Chicago.
$367.00
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Sheefy McFly- Tashif Turner Crystal Cranium Printers Select Edition Sérigraphie par Sheefy McFly - Tashif Turner
Crystal Cranium - Édition limitée Printers Select, sérigraphie artisanale 5 couleurs avec rouleau arc-en-ciel sur panneau holographique en verre perlé 10 pt par Sheefy McFly - Tashif Turner, artiste de street art rare et célèbre du pop art. Édition limitée à 100 exemplaires, signée et numérotée, 2021. Format de l'œuvre : 18 x 24 pouces. Sérigraphie signée en 9 couleurs sur papier d'art Colorplan Citrine 290 g/m² ; format : 45,7 x 61 cm ; sortie : 6 août 2021 ; tirage : 100 exemplaires
$533.00
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Nicer- Hector Nazario Impression d'archive PP « Tasse de bière » par Nicer-Hector Nazario
Impression d'archives « Cup of Beer PP Printer Proof » par Nicer - Hector Nazario, édition limitée sur papier d'art Moab Entrada 290 g/m², œuvre d'art moderne d'un artiste pop. Épreuve d'imprimeur PP 2021 Signée et marquée PP Édition limitée Œuvre d'art Format 17x14 Pigment d'archivage Beaux-Arts. L'essence créative de « Cup of Beer » de Nicer - Hector Nazario « Cup of Beer » est une épreuve d'artiste (PP) sur papier d'art qui capture l'essence vibrante et dynamique du pop art urbain et du graffiti. Créée par Nicer-Hector Nazario, membre incontournable du légendaire collectif Tats Cru, cette œuvre de 2021 illustre parfaitement son style unique et sa philosophie artistique. L'œuvre, mesurant 35,5 x 43 cm, est imprimée sur papier d'art Moab Entrada 290 g/m². Ce papier est réputé pour sa capacité à restituer les couleurs avec clarté et profondeur, sublimant ainsi l'impact visuel de cette œuvre d'art pigmentaire d'art. Symbolisme et technique dans l'œuvre de Nicer L'œuvre « Cup of Beer » de Nicer juxtapose l'image ludique d'un homme savourant une bière en toute simplicité à la typographie stylisée et audacieuse typique du graffiti. Cette estampe reflète les nuances culturelles et l'esthétique urbaine qui caractérisent le travail de Nicer depuis des décennies. Son recours à la caricature pour dépeindre les moments joyeux et insouciants de la vie urbaine est souligné par la minutie et le souci du détail qu'il apporte à son œuvre. Le choix du sujet, associé à la forme du graffiti, révèle une célébration du quotidien, un thème souvent exploré dans le pop art. L'estampe n'est pas une simple image statique ; elle dialogue avec le spectateur, offrant un aperçu des aspects communautaires et accessibles de la culture urbaine. Les couleurs vives et l'illustration expressive de « Cup of Beer » sont caractéristiques du mouvement pop art urbain, où le mélange d'éléments graphiques et de motifs urbains crée un langage qui parle à un public diversifié. L'œuvre de Nicer incarne l'esprit du graffiti en tant que forme d'art intrinsèquement publique et engageante, invitant à l'interaction et à la réflexion. L'influence de Nicer sur le street art et la culture pop La contribution de Nicer au monde du street art dépasse largement sa maîtrise technique. Figure influente de la scène graffiti, son œuvre a joué un rôle déterminant dans l'intégration du dynamisme du street art au domaine des beaux-arts. « Cup of Beer », à l'instar de la plupart de ses créations, illustre la richesse culturelle du milieu urbain et le potentiel du graffiti, de ses origines subversives à son statut de forme d'art reconnue. En signant et en marquant chaque exemplaire de « Cup of Beer », Nicer garantit l'authenticité et la valeur de collection de son œuvre, témoignant de l'intérêt croissant porté au graffiti sur le marché de l'art. Son héritage a ouvert la voie aux générations futures d'artistes de rue, plaidant pour la reconnaissance et le respect du street art pop au sein de la communauté artistique. À travers des œuvres comme « Cup of Beer », Nicer-Hector Nazario continue de bousculer les perceptions, de célébrer la culture urbaine et de repousser les limites du street art pop et du graffiti. Son dévouement à son art et ses contributions constantes au monde de l'art confirment son statut de pionnier et d'innovateur du mouvement street art.
$357.00
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Tim Doyle Sérigraphie Cybertronic Spree par Tim Doyle
Affiche de concert en édition limitée de Cybertronic Spree Music, impression sérigraphique artisanale en 6 couleurs sur papier d'art par Tim Doyle pour le groupe The Cybertronic Spree Transformers. Édition limitée à 100 exemplaires, signée et numérotée, 2014. Dimensions de l'œuvre : 18 x 24 pouces.
$229.00
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DKNG Sérigraphie D'oh par DKNG
D'oh Édition Limitée Série ICON Impression Sérigraphique Manipulée à la Main en 4 Couleurs sur Papier Beaux-Arts par DKNG Artiste de Rue Graffiti Art Pop Moderne. Hommage télévisuel aux Simpsons sur leur canapé. Chaque film en possède une. Un accessoire, un décor ou un lieu emblématique. Quelque chose qui, en une seule image, peut représenter tout le film. L'équipe de designers Dan Kuhlken et Nathan Goldman, alias DKNG, nomme ces images « Icônes », et elles sont au cœur de leur toute première exposition personnelle à la Gallery 1988 West de Los Angeles. Intitulée simplement ICON, l'exposition présente 50 œuvres mettant en scène des lieux et des objets iconiques issus de vos films et séries préférés de tous les temps. Chaque œuvre, de petit format (30 cm de côté), représente un élément qui résume un film entier. Et bien sûr, chacune est réalisée dans le style distinctif de DKNG : lumineux, géométrique et pourtant riche en détails.
$159.00
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Sam Spratt Impression d'archives Daenerys par Sam Spratt
Tirages pigmentaires d'archives en édition limitée Daenerys sur papier d'art naturel de musée 310 g/m² par Sam Spratt, artiste de rue graffiti, art pop moderne. « Cette œuvre a été peinte numériquement en mars dernier à l'aide d'une tablette Wacom Cintiq, de l'esquisse à la finition. Vous remarquerez peut-être le mouvement assez prononcé des cheveux. J'en suis très fier. J'ai vu la série en entier. Si j'avais lu les livres, je saurais que ses yeux devraient être violets et ses cheveux plus argentés. Elle semblait être la moins susceptible de mourir et donc l'œuvre d'art serait immortelle, mais je n'ai pas lu les livres, alors je peux me tromper complètement. » – Sam Spratt
$187.00
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Melissa A Mitchell Impression d'archives Dalma par Melissa A Mitchell
Estampe d'art en édition limitée Dalma Archival Pigment Fine Edition sur papier Moab Entrada 290 g/m² à bords frangés à la main par l'artiste Melissa A Mitchell, légende du street art pop graffiti. Édition limitée à 35 exemplaires, signée et numérotée, 2022. Tirage pigmentaire d'archive sur papier d'art Moab Entrada 290 g/m² à bords frangés à la main. Format : 12 x 12 pouces. « Dalma », une estampe en édition limitée de l'artiste Melissa A. Mitchell, incarne l'énergie vibrante et l'esprit rebelle caractéristiques du street art et du graffiti. Tirée à seulement 35 exemplaires signés et numérotés, cette œuvre exclusive capture l'essence de l'influence du pop art sur l'esthétique urbaine contemporaine. L'œuvre, mesurant 30,5 x 30,5 cm, est imprimée avec des pigments d'archivage sur un papier d'art Moab Entrada 290 g/m² à bords frangés, un support reconnu pour sa qualité et sa durabilité exceptionnelles, garantissant ainsi la longévité de l'œuvre. L'art de Melissa A. Mitchell est reconnu pour son explosion de couleurs et de motifs. Ce véritable festin visuel transporte le spectateur dans un univers où les frontières traditionnelles entre les formes artistiques s'estompent. Dans « Dalma », on perçoit le chaos harmonieux typique du street art, où des formes géométriques nettes s'entrecroisent avec des motifs organiques, créant une tension dynamique à la fois saisissante et stimulante. L'audace de la couleur, signature du style de Mitchell, amplifie l'impact de l'œuvre, en faisant une pièce maîtresse qui se démarque dans toute collection. Cette œuvre ne se contente pas d'être accrochée au mur ; elle capte le regard, exigeant une attention particulière et suscitant le dialogue. Elle célèbre le parcours du street art, des marges des paysages urbains aux murs polis des galeries et des collections privées. Les bords irréguliers de l'estampe évoquent subtilement la nature brute et souvent improvisée du graffiti, tandis que le processus méticuleux de sa création témoigne du savoir-faire abouti qui caractérise aujourd'hui le street art. Les collectionneurs de « Dalma » de Mitchell n'acquièrent pas seulement une estampe ; ils possèdent un fragment du récit qui retrace l'évolution du street art. Chaque estampe est un écho vibrant du pouls des rues, une œuvre marquante qui reflète l'énergie et l'esprit d'un mouvement qui a façonné la conscience culturelle collective et a été façonné par elle. À travers des œuvres comme « Dalma », Melissa A. Mitchell continue d'asseoir sa place de figure incontournable du monde de l'art, brouillant les frontières entre la nature éphémère du street art et la permanence des beaux-arts.
$217.00
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Jamie Reid Damn Them All Giclee Print par Jamie Reid
Impression giclée en édition limitée « Damn Them All » de l'artiste Jamie Reid, spécialiste du graffiti pop culture. Édition limitée à 300 exemplaires, signée et numérotée, 2019. Dimensions de l'œuvre : 24,1 x 27,6 pouces. « Damn Them All » de Jamie Reid est une œuvre magistrale et évocatrice qui incarne avec force l'essence de la culture pop, du graffiti et du street art. Créée en 2019, cette œuvre témoigne de l'influence durable de Reid dans le domaine de l'art contemporain, offrant un mélange captivant de couleurs vives, d'éléments de collage complexes et d'un commentaire socio-politique incisif. Tirée en édition limitée à seulement 300 exemplaires, cette œuvre est une impression giclée impeccable sur papier Hahnemühle Bamboo 290 g/m² de qualité supérieure. Ce choix méticuleux du support garantit non seulement la longévité de l'œuvre, mais accentue également la vivacité de ses détails. Chaque exemplaire est signé et numéroté à la main par Reid, faisant de chaque tirage une pièce de collection unique. Se pencher sur l'histoire de l'œuvre apporte un éclairage fascinant. Elle s'inspire d'un collage original créé par Reid pour un article du magazine The Guardian, qui explorait en profondeur les thèmes du républicanisme. De plus, cette image iconique trouve un écho particulier auprès des amateurs de punk, puisqu'elle figurait sur la pochette de « God Save the Queen » des Sex Pistols (1977), un titre qui a bouleversé les fondements de l'establishment britannique. Chaque détail, de la juxtaposition audacieuse de symboles culturels aux sous-entendus rebelles, incarne l'esprit d'une époque où l'art et la musique cherchaient à défier les normes sociales. Mesurant 61,2 x 70,1 cm, « Damn Them All » est non seulement un régal pour les yeux, mais aussi un témoignage historique, illustrant le talent exceptionnel de Jamie Reid pour mêler art et discours culturel et politique. Tirage limité à 300 exemplaires, imprimé sur papier bambou Hahnemühle 290 g/m², signé et numéroté. Image utilisée pour la couverture de l'album « God Save the Queen » des Sex Pistols en 1977. « Damn Them All » est une reproduction giclée en édition limitée de Jamie Reid. Inspirée d'un collage original réalisé pour un magazine du Guardian dont le sujet principal était le républicanisme. Tiré à 300 exemplaires sur papier bambou Hahnemühle 290 g/m², cet ouvrage est signé et numéroté par l'artiste. 61,2 x 70 cm (24,1 x 27,6 pouces)
$820.00
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Keith Greiman Dan l'impression d'archivage de l'homme par Keith Greiman
Tirages d'art en édition limitée, pigmentaires et d'archives, sur papier beaux-arts, réalisés par Keith Greiman, artiste de graffiti, de street art et de culture pop, et présentant « Dan the Man ».
$103.00