Le mal absolu

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  • Marilyn Pure Joy Oxblood Silkscreen Print by Pure Evil

    Pure Evil Sérigraphie Marilyn Pure Joy Oxblood par Pure Evil

    Sérigraphie 3 couleurs Marilyn Pure Joy Oxblood par Pure Evil, tirée à la main sur papier d'art Somerset Fine Art Paper 300 g/m² à bords frangés, édition limitée. Édition limitée signée et numérotée 2025 (à déterminer). Format de l'œuvre : 16x20. Sérigraphie représentant l'actrice hollywoodienne Marilyn Monroe stylisée en bleu turquoise, rose et bordeaux. Marilyn Pure Joy Oxblood par Pure Evil dans l'art pop art et graffiti de rue « Marilyn Pure Joy Oxblood » est une sérigraphie audacieuse en édition limitée (2025) de Charles Uzzell-Edwards, artiste reconnu dans le milieu de l'art contemporain sous le pseudonyme de « Pure Evil ». Imprimée en trois couleurs et tirée à la main sur un papier d'art Somerset 300 g/m² à bords frangés, cette œuvre de 40,6 x 50,8 cm s'inscrit dans la continuité de la série de portraits de l'artiste, qui rend hommage aux icônes historiques à travers le prisme de la subversion moderne. Marilyn Monroe, sans doute l'un des visages les plus reconnaissables de l'histoire de la culture populaire, est ici représentée dans un contraste saisissant de rose bordeaux et de blanc, avec des reflets glacés et le motif en larme, signature de « Pure Evil », qui se déverse vers le bas dans un contraste visuel saisissant. La palette de couleurs utilisée transforme Monroe, d'icône nostalgique, en un sujet poignant d'introspection, révélant la coexistence de la célébrité et de la fragilité. Recontextualiser les icônes dans la tradition du pop art de rue Cette œuvre puise dans le langage du pop art traditionnel et les codes du street art, mêlant esthétique de la haute couture et commentaire incisif. Pure Evil utilise la sérigraphie dans la lignée d'Andy Warhol, mais explore des territoires émotionnels plus sombres en introduisant la larme noire, un motif récurrent dans son œuvre. La larme n'est pas seulement un élément stylistique, mais aussi un procédé narratif, suggérant le deuil d'une innocence perdue ou une critique de la façon dont la célébrité consume l'individualité. En plaçant Monroe dans une teinte rouge bordeaux saturée, l'estampe souligne le drame, la sensualité et l'intensité émotionnelle, conférant une nouvelle profondeur à une figure souvent idéalisée et aplatie par la culture commerciale. Le rôle de la couleur et de la technique d'impression dans l'impact émotionnel La palette rouge sang de bœuf joue un rôle central dans la manière dont cette version de la série Pure Joy communique l'urgence et la tristesse. Elle s'écarte des palettes chaudes et traditionnelles d'Hollywood, généralement utilisées pour représenter Monroe. Le rouge profond suggère la passion, l'obsession, voire la violence en filigrane. Se détachant sur des fonds blancs éclatants et des détails ombrés, la silhouette de Monroe devient encore plus obsédante. L'impression sérigraphique, avec ses contours nets et ses superpositions précises, renforce la dualité entre maîtrise esthétique et chaos émotionnel. Le bord frangé du papier Somerset ajoute une dimension tactile et physique qui ancre l'œuvre, faisant le lien entre sa présence digne d'une galerie et ses racines dans les pratiques urbaines du pochoir. Le commentaire du mal pur à travers le portrait de célébrités La réinterprétation de Marilyn Monroe par Pure Evil dépasse le simple remix culturel. Elle dénonce avec subtilité la manière dont les médias de masse instrumentalisent la beauté, l'iconographie et l'exploitation émotionnelle. L'image de Monroe, jadis auréolée d'un glamour discret, nous fixe désormais du regard, révélant une tension complexe entre attrait et traumatisme. La teinte bordeaux exprime sa vulnérabilité humaine sans altérer sa puissance symbolique. Charles Uzzell-Edwards, alias Pure Evil, a développé un style reconnaissable entre tous, fusionnant le graffiti et la précision de la sérigraphie. Avec l'édition « Marilyn Pure Joy Oxblood », il contribue à un débat plus large au sein du street art et du graffiti, invitant le public à s'interroger sur ce qui se cache derrière l'image de la célébrité et à en mesurer les conséquences.

    $550.00

  • Marilyn Pure Joy Aqua Silkscreen Print by Pure Evil

    Pure Evil Sérigraphie Marilyn Pure Joy Aqua par Pure Evil

    Sérigraphie 3 couleurs Marilyn Pure Joy Aqua par Pure Evil, tirée à la main sur papier d'art Somerset Fine Art Paper 300 g/m² à bords frangés, édition limitée. Édition limitée signée et numérotée 2025 (à déterminer). Format de l'œuvre : 16x20. Sérigraphie représentant l'actrice hollywoodienne Marilyn Monroe stylisée en bleu turquoise. Marilyn Pure Joy Aqua par Pure Evil, une œuvre d'art pop art et graffiti de rue « Marilyn Pure Joy Aqua » est une sérigraphie en édition limitée de 2025, créée par Pure Evil, figure britannique du street art pop et du graffiti, de son vrai nom Charles Uzzell-Edwards. Cette œuvre, réalisée dans une palette d'un bleu turquoise éclatant, est imprimée à la main sur un papier d'art Somerset 300 g/m² à bords frangés, grâce à trois couches de sérigraphie. Mesurant 40,6 x 50,8 cm, elle fait partie d'une série consacrée à l'actrice hollywoodienne iconique Marilyn Monroe. L'utilisation audacieuse de la couleur unie, du contraste élevé et du motif de larme emblématique de Pure Evil reflète une synthèse délibérée entre l'iconographie des célébrités et les thèmes de la perte et du poids émotionnel. La larme, épaisse et noire, coule de l'un des yeux de Monroe et s'écoule vers le bas, divisant en deux le portrait par ailleurs glamour. Ce motif de larme, récurrent dans la plupart des portraits de l'artiste, joue un rôle crucial dans la transformation de l'imagerie populaire en un commentaire chargé d'émotion. La signification culturelle de Marilyn Monroe réinventée Cette œuvre ancre Marilyn Monroe non pas comme une figure figée de la beauté des années 1950, mais comme un symbole culturel d'une pertinence intemporelle. Dans la réinterprétation de Pure Evil, Monroe devient un vecteur de réflexion sur les effets isolants et souvent dévastateurs de la célébrité. Son image, l'une des plus reconnaissables de l'histoire moderne, est dépouillée de son artifice cinématographique et réinterprétée dans une esthétique inspirée du graffiti. L'utilisation du bleu turquoise adoucit le portrait tout en créant une étrange vitalité. L'image n'appartient plus seulement au Hollywood nostalgique ; elle investit désormais le paysage visuel de l'art contestataire, des collages et des murs de galeries, enracinés dans la culture urbaine contemporaine. Cette transformation est essentielle à la manière dont l'héritage de Monroe continue d'être façonné par les nouvelles générations d'artistes visuels. Les mécanismes de l'esthétique pop urbaine Le pop art urbain et le graffiti se nourrissent du remixage de l'iconographie publique. En utilisant des techniques de sérigraphie traditionnellement associées aux beaux-arts tout en conservant un langage visuel ancré dans la subversion urbaine, Pure Evil brouille les frontières entre symbolisme commercial et expression brute. Le choix du papier Somerset, réputé pour sa qualité d'archivage exceptionnelle, témoigne du double intérêt de l'artiste pour les collectionneurs d'art et son esprit contestataire. Les aplats bleu turquoise confèrent une impression d'uniformité, mais la fabrication artisanale garantit à chaque tirage un caractère unique. Cette convergence entre le processus et le message permet au spectateur d'appréhender l'image familière de Marilyn Monroe d'une manière plus profonde et personnelle. Le langage émotionnel du mal absolu à travers la couleur et la forme Dans « Marilyn Pure Joy Aqua », l'émotion est transmise par le contraste et la soustraction. La simplicité du choix des couleurs – un fond bleu et blanc épuré, avec des ombres d'un noir profond – concentre l'attention sur la gravité émotionnelle de l'œuvre. La larme qui coule de l'œil de Monroe n'est pas un ornement, mais un élément central du récit. Elle suggère une douleur non résolue, l'exploitation de la beauté et la frontière floue entre admiration et objectification. À travers cette sérigraphie, Pure Evil utilise le visage de Monroe comme icône et comme support, créant une œuvre à la fois introspective et provocatrice. Cette pièce témoigne du dialogue constant entre la culture populaire et l'expression urbaine, et de la manière dont les techniques issues du graffiti peuvent transformer même les sujets les plus familiers en puissants vecteurs d'introspection.

    $550.00

  • Marilyn Pure Joy Yellow Silkscreen Print by Pure Evil

    Pure Evil Sérigraphie jaune Marilyn Pure Joy par Pure Evil

    Sérigraphie 3 couleurs Marilyn Pure Joy Yellow par Pure Evil, tirée à la main sur papier d'art Somerset Fine Art Paper 300 g/m² à bords frangés, édition limitée. Édition limitée signée et numérotée 2025 (à déterminer). Format de l'œuvre : 16x20. Sérigraphie représentant l'actrice hollywoodienne Marilyn Monroe stylisée en noir et jaune. Marilyn Pure Joy Yellow par Pure Evil, une œuvre d'art pop art et graffiti de rue « Marilyn Pure Joy Yellow » est une sérigraphie artisanale en trois couleurs, créée par l'artiste londonien Pure Evil, de son vrai nom Charles Uzzell-Edwards. Imprimée sur un papier d'art Somerset 300 g/m² à grain frangé, cette édition signée et numérotée de 2025 exemplaires capture l'essence de l'iconographie pop et du minimalisme émotionnel à travers le prisme unique du commentaire urbain. Mesurant 40,6 x 50,8 cm, l'œuvre présente un portrait stylisé de la légende hollywoodienne Marilyn Monroe, rendu dans des tons de noir et de jaune doux, sur lequel se superpose le motif de la larme emblématique de Pure Evil : une épaisse ligne noire jaillissant d'un œil et traversant verticalement le papier. Ce procédé visuel saisissant est devenu la marque de fabrique de l'artiste et constitue une forme puissante de commentaire au sein du street art et du graffiti. L'icône pop réinventée à travers le prisme du graffiti Pure Evil recontextualise Marilyn Monroe, non plus comme une déesse du cinéma à la perfection irréprochable, mais comme un symbole brisé de glamour et de vulnérabilité. Plutôt que de privilégier le réalisme, le portrait embrasse la stylisation et l'abstraction, permettant ainsi de réinterpréter le mythe de la figure. Les touches de jaune dans les cheveux évoquent les canons de beauté du milieu du XXe siècle, tandis que les contrastes monochromes saisissants soulignent un sentiment de perte ou de distorsion. Il ne s'agit pas simplement d'une célébration de la célébrité, mais d'une méditation sur son prix. La larme noire verticale, récurrente dans l'œuvre de Pure Evil, n'est pas un simple ornement. Elle évoque les thèmes du traumatisme, de la fragilité et de la perte d'identité liés au culte des célébrités. En mêlant esthétique du graffiti et sujets de la culture pop, cette œuvre déstabilise la nostalgie et invite à repenser la mémoire collective. Matériaux d'art contemporain à vocation urbaine Bien qu'ancrée dans la tradition du street art, cette sérigraphie est imprimée selon des techniques et avec des matériaux dignes des beaux-arts. Le papier Somerset 300 g/m² et les bords frangés à la main témoignent de la maîtrise de l'artiste par le système des galeries, tout en conservant des références visuelles issues du milieu urbain. Les contours marqués, l'application à la manière d'un pochoir et la palette saturée puisent leur inspiration dans l'esthétique graphique du graffiti. Chaque tirage est réalisé à la main, ce qui confère à chaque édition une subtile variation et une authenticité uniques. Ce travail artisanal affirme que, même si l'imagerie s'inspire d'une iconographie produite en masse, l'exécution est profondément intentionnelle et personnelle. Simplicité émotionnelle et symbolisme dans l'art urbain contemporain L'œuvre « Marilyn Pure Joy Yellow » de Pure Evil s'inscrit dans un débat contemporain plus large sur les dimensions émotionnelles de l'iconographie dans le street art et le graffiti. La force émotionnelle de l'œuvre est accentuée par sa sobriété formelle : une palette de couleurs restreinte, une géométrie audacieuse et le geste symbolique solitaire d'une larme. À l'ère du numérique, cette pièce invite le spectateur à ralentir son regard. Elle l'incite à réfléchir aux raisons de notre idolâtrie et à ce que nous ignorons. À travers cette œuvre, Pure Evil enrichit la réflexion sur la célébrité, la fragilité et les répercussions psychologiques qui accompagnent souvent l'ascension culturelle. À la fois hommage et critique, l'œuvre illustre avec force comment la culture urbaine peut imprégner et enrichir le discours de l'art contemporain sans renier ses racines contestataires.

    $550.00

Pure Evil> Pop Artist Graffiti Street Artworks

Le Mal à l'état pur : une voix emblématique du street art pop et du graffiti.

Charles Uzzell-Edwards, alias Pure Evil, est une figure emblématique du street art et du graffiti contemporains. Né au Royaume-Uni et fils du peintre gallois John Uzzell Edwards, Pure Evil a émergé des scènes underground londoniennes et san-franciscaines, où le skateboard, le punk et le graffiti ont fusionné pour façonner son langage visuel initial. Son œuvre se caractérise par un style graphique distinctif, mêlant souvent portrait et symboles abstraits de perte et de désillusion. L'utilisation récurrente d'une larme coulant des yeux de personnalités célèbres est devenue un élément puissant et reconnaissable de son identité visuelle. Ce motif récurrent n'est pas qu'un simple ornement ; il dénonce la face sombre de la célébrité, la vulnérabilité émotionnelle et les souffrances personnelles dissimulées derrière les figures publiques.

L'alliance de la culture pop et des sous-entendus politiques

L'œuvre de Pure Evil met souvent en scène des célébrités, des membres de la royauté et des figures emblématiques du cinéma, de la politique et de la mode. Pourtant, ces représentations sont rarement empreintes de révérence. En réinterprétant des sujets connus grâce à un procédé de sérigraphie épuré et en y ajoutant délibérément des éléments troublants comme la larme, il redéfinit la célébrité comme un spectacle et une source de souffrance. Ses estampes de personnalités telles que Marilyn Monroe, Elizabeth Taylor et Jackie Kennedy offrent une critique visuelle de la façon dont la société idolâtre la beauté tout en ignorant les tourments intérieurs. Ces compositions reflètent un questionnement plus profond sur la manipulation médiatique et la mémoire historique, ce qui leur confère une grande résonance tant dans le domaine du street art et du graffiti que dans le débat plus large sur l'art contemporain. Ses portraits ne visent pas à déifier, mais à humaniser, éclairant les courants sous-jacents de tristesse ou de fragilité souvent occultés par les récits publics flatteurs.

La sérigraphie comme forme de protestation et de rituel

Pure Evil privilégie la sérigraphie, une technique historiquement liée à l'activisme, à la production de masse et à la répétition visuelle. Cette technique lui permet de transposer l'urgence de la rue dans des éditions limitées et de collection, tout en préservant la force brute et l'audace du graffiti. Son utilisation de la couleur, notamment des néons électriques et des teintes profondément saturées, confère à chaque œuvre une puissance visuelle saisissante. Même dans les tirages en édition limitée, une authenticité brute se dégage, donnant à l'œuvre une place aussi bien sur un mur de la ville que dans une galerie. Chaque sérigraphie est soigneusement conçue pour paraître à la fois intemporelle et contemporaine, à l'image de la complexité des sujets qu'il représente. L'équilibre entre précision et émotion définit sa démarche, où chaque détail contribue à un récit plus vaste, celui de la tension entre le glamour superficiel et la souffrance cachée.

Un héritage par la provocation et le style

Charles Uzzell-Edwards a créé un espace où convergent les techniques des beaux-arts, l'iconographie pop et la rébellion urbaine. Son atelier-galerie, Pure Evil Gallery, situé à Shoreditch, à Londres, est devenu un véritable carrefour pour les nouveaux talents du street art et du graffiti, contribuant à faire évoluer l'héritage de ce langage visuel. En insufflant de l'émotion à des images familières et en proposant une critique par la stylisation plutôt que par la confrontation directe, Pure Evil redéfinit le rapport du public contemporain à la célébrité, à la mode et à la nostalgie. Son œuvre s'oppose à l'esthétique aseptisée du portrait traditionnel et invite à une exploration plus profonde des histoires personnelles dissimulées derrière l'obsession culturelle. De ce fait, Pure Evil est devenu plus qu'un artiste : un commentateur visuel qui reflète la vision fragmentée que la société a des personnes qu'elle idolâtre.

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