Impression sérigraphique de faux profits par Mear One

Description

« False Profits », sérigraphie en édition limitée à 10 couleurs sur papier Coventry Rag 290 g/m² à bords frangés, par Mear One, artiste de rue graffiti, art pop moderne.

Édition limitée à 85 exemplaires, signée et numérotée, 2014. Sérigraphie d'art de 20 x 27 cm.

L'estampe sérigraphique « False Profits » de Mear One s'impose comme une œuvre majeure du pop art, du street art et du graffiti. Alors que les frontières entre le street art et l'art traditionnel s'estompent, les créations de Mear One, et notamment « False Profits », incarnent un puissant point de rencontre entre critique sociale et expression artistique. Caractérisée par la finesse de ses détails et la force de son imagerie, cette sérigraphie offre au spectateur un regard brut et sans concession sur le capitalisme, le matérialisme et les conséquences d'une société axée sur le profit. En explorant son œuvre, on découvre que Mear One déploie un langage visuel singulier, puisant son inspiration dans l'effervescence des rues de Los Angeles et nourri par sa compréhension des enjeux et événements mondiaux. Cette sérigraphie, en particulier, tire parti de sa riche palette de couleurs et de ses contrastes saisissants pour souligner les inégalités et les tensions inhérentes à la société contemporaine. La nature même de cette œuvre, en tant que sérigraphie, implique un processus d'impression méticuleux, où des couches de couleur sont ajoutées une à une pour produire l'image finale. Cette technique reflète la profondeur et la richesse de sens inhérentes à l'œuvre. À l'instar de nombreux artistes de rue et de graffiti, le travail de Mear One transcende souvent la simple esthétique, visant à susciter le débat et à remettre en question les normes établies. « False Profits » ne fait pas exception. En replaçant cette œuvre dans le contexte plus large du pop art, du street art et du graffiti, on apprécie non seulement sa prouesse technique, mais aussi sa capacité à refléter la société, ses imperfections, ses défis et l'impérieuse nécessité d'introspection et de changement.

Cette sérigraphie est inspirée d'une fresque que j'ai réalisée en 2012 près de Brick Lane, dans le quartier de Shoreditch, à l'est de Londres. Intitulée à l'origine « Liberté pour l'humanité », cette œuvre a suscité une vive polémique à l'époque. Réalisée entièrement à la bombe de peinture, la fresque représentait un groupe d'hommes blancs, vieux, gros et décrépits, jouant au Monopoly aux dépens de la classe ouvrière. Ma critique des cartels bancaires a provoqué la réaction habituelle des conservateurs londoniens, qui se sont empressés de comploter pour la faire disparaître. Mais la BBC avait déjà diffusé la controverse grandissante. Un débat houleux a duré environ quatre semaines, jusqu'à ce que les autorités locales fassent effacer la fresque, réduisant ainsi le message au silence et empêchant le débat d'atteindre un public plus large. Le message était trop fort pour certains, mais je sais qu'il était opportun et pertinent, et qu'il fallait le dire. Face à la crise économique mondiale et à l'effondrement des systèmes financiers à travers le monde, nous avons besoin d'une réflexion critique plus poussée, capable de résister à cette situation flagrante. « Le mépris de l’humanité. » – Mear One

Fiche produit

$235.00

    « False Profits », sérigraphie en édition limitée à 10 couleurs sur papier Coventry Rag 290 g/m² à bords frangés,... En savoir plus

    • Impression sérigraphique de faux profits par Mear One
    • Année : 2014
    • Taille : 20 x 27
    • Signé : Oui
    • Édition de : 85
    • Feuille d'or, sérigraphie, sérigraphie 11 couleurs sur Papier Coventry Rag 290 g/m², frangé à la main
    • Artiste : Mear One
    Faites une offre pour une œuvre d'art !Faites une offre pour une œuvre d'art !
    Envoyez-nous un message !

    Description

    « False Profits », sérigraphie en édition limitée à 10 couleurs sur papier Coventry Rag 290 g/m² à bords frangés, par Mear One, artiste de rue graffiti, art pop moderne.

    Édition limitée à 85 exemplaires, signée et numérotée, 2014. Sérigraphie d'art de 20 x 27 cm.

    L'estampe sérigraphique « False Profits » de Mear One s'impose comme une œuvre majeure du pop art, du street art et du graffiti. Alors que les frontières entre le street art et l'art traditionnel s'estompent, les créations de Mear One, et notamment « False Profits », incarnent un puissant point de rencontre entre critique sociale et expression artistique. Caractérisée par la finesse de ses détails et la force de son imagerie, cette sérigraphie offre au spectateur un regard brut et sans concession sur le capitalisme, le matérialisme et les conséquences d'une société axée sur le profit. En explorant son œuvre, on découvre que Mear One déploie un langage visuel singulier, puisant son inspiration dans l'effervescence des rues de Los Angeles et nourri par sa compréhension des enjeux et événements mondiaux. Cette sérigraphie, en particulier, tire parti de sa riche palette de couleurs et de ses contrastes saisissants pour souligner les inégalités et les tensions inhérentes à la société contemporaine. La nature même de cette œuvre, en tant que sérigraphie, implique un processus d'impression méticuleux, où des couches de couleur sont ajoutées une à une pour produire l'image finale. Cette technique reflète la profondeur et la richesse de sens inhérentes à l'œuvre. À l'instar de nombreux artistes de rue et de graffiti, le travail de Mear One transcende souvent la simple esthétique, visant à susciter le débat et à remettre en question les normes établies. « False Profits » ne fait pas exception. En replaçant cette œuvre dans le contexte plus large du pop art, du street art et du graffiti, on apprécie non seulement sa prouesse technique, mais aussi sa capacité à refléter la société, ses imperfections, ses défis et l'impérieuse nécessité d'introspection et de changement.

    Cette sérigraphie est inspirée d'une fresque que j'ai réalisée en 2012 près de Brick Lane, dans le quartier de Shoreditch, à l'est de Londres. Intitulée à l'origine « Liberté pour l'humanité », cette œuvre a suscité une vive polémique à l'époque. Réalisée entièrement à la bombe de peinture, la fresque représentait un groupe d'hommes blancs, vieux, gros et décrépits, jouant au Monopoly aux dépens de la classe ouvrière. Ma critique des cartels bancaires a provoqué la réaction habituelle des conservateurs londoniens, qui se sont empressés de comploter pour la faire disparaître. Mais la BBC avait déjà diffusé la controverse grandissante. Un débat houleux a duré environ quatre semaines, jusqu'à ce que les autorités locales fassent effacer la fresque, réduisant ainsi le message au silence et empêchant le débat d'atteindre un public plus large. Le message était trop fort pour certains, mais je sais qu'il était opportun et pertinent, et qu'il fallait le dire. Face à la crise économique mondiale et à l'effondrement des systèmes financiers à travers le monde, nous avons besoin d'une réflexion critique plus poussée, capable de résister à cette situation flagrante. « Le mépris de l’humanité. » – Mear One


    Activisme et protestation Papier beaux-arts Coventry Rag Vert Papier à la main Maire un Argent liquide Orange Émeutes et troubles civils

    Footer image

    © 2025 Sprayed Paint Art Collection, Commerce électronique propulsé par Shopify

      • Amazon
      • American Express
      • Apple Pay
      • Bancontact
      • Diners Club
      • Discover
      • Google Pay
      • iDEAL
      • Mastercard
      • PayPal
      • Shop Pay
      • Visa

      Connexion

      Vous avez oublié votre mot de passe ?

      Vous n'avez pas encore de compte ?
      Créer un compte