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  • 100% Pure Fuck You Can Dented Art Object by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier 100% Pure Fuck You Can Dent Art Object par Denial - Daniel Bombardier

    100% Pure Fuck You Can - Boîte de conserve cabossée en édition limitée avec étiquette personnalisée, œuvre d'art sculptée par le légendaire artiste de rue de graffiti Denial. Édition limitée signée de 2019 (100 exemplaires). Boîte de conserve cabossée avec étiquette « 100% Pure Fuck You ». Numérotée et signée, 2019, 7,6 x 11,4 cm. 100% Pure Fuck You Can – Sculpture de conserve bosselée en édition limitée par Denial « 100% Pure Fuck You Can » est une œuvre sculpturale en édition limitée, créée en 2019 par Denial, artiste de rue et graffeur de renom. Cette pièce, signée et numérotée à 100 exemplaires, représente une véritable boîte de conserve cabossée, recouverte d'une étiquette personnalisée. Mesurant 7,6 x 11,4 cm, cette œuvre offre une critique satirique de la société de consommation, de la production de masse et de l'absurdité du marketing. L'étiquette jaune vif, associée à son texte provocateur et à son esthétique industrielle, transforme un objet ordinaire en une œuvre puissante de street art et de graffiti. Denial, artiste canadien reconnu pour son commentaire social incisif et son humour irrévérencieux, utilise les emballages commerciaux comme support pour remettre en question les idéaux consuméristes. Cette œuvre imite les emballages alimentaires traditionnels, mais remplace les informations nutritionnelles et le logo habituels par un message agressif qui se moque du vide du marketing et des choix des consommateurs. La phrase imprimée sur la boîte, associée à une typographie de type avertissement et à un texte noir gras, oblige le spectateur à se confronter à l'absurdité du consumérisme aveugle et de la fidélité aveugle aux marques. L'impact du déni sur le street art et le graffiti Denial, de son vrai nom Daniel Joseph Bombardier, est un artiste canadien reconnu pour son approche audacieuse qui fusionne art urbain et beaux-arts. Né à Windsor, en Ontario, il s'est fait connaître pour ses installations, ses pochoirs et ses sérigraphies qui interpellent et critiquent le capitalisme, la publicité et le contrôle étatique. Son art est fortement influencé par la culture pop, la publicité vintage et les techniques du design commercial du milieu du XXe siècle, qu'il réinterprète pour livrer un commentaire social incisif. L'œuvre « 100% Pure Fuck You Can » illustre parfaitement sa capacité à subvertir les attentes par l'humour et un design épuré. Le message, à la fois simple et provocateur, associé à la date de péremption artificielle de septembre 1976, suggère une critique des systèmes obsolètes et de la finitude idéologique. En transformant un produit alimentaire courant en œuvre d'art, Denial invite le public à s'interroger sur ses habitudes de consommation, sa fidélité aux marques et l'absurdité des emballages qui dissimulent souvent la véritable nature de leur contenu. L'utilisation des conserves dans l'art urbain contemporain Les conserves ont joué un rôle important dans l'art urbain et le pop art contemporains, souvent utilisées comme métaphore de la production de masse et de la société de consommation. Des artistes comme Andy Warhol ont transformé la célèbre boîte de soupe Campbell's en icône du pop art, métamorphosant un produit alimentaire banal en une œuvre digne d'une galerie. « Denial » pousse ce concept plus loin en détournant complètement la notion de marque, remplaçant l'imagerie commerciale familière par des déclarations brutes et sans concession. La boîte cabossée est un choix délibéré, renforçant le thème de l'imperfection et du rejet des biens de consommation immaculés. L'acte d'endommager un objet traditionnellement associé à la conservation et à la longévité ajoute une dimension ironique supplémentaire à l'œuvre. Cette dégradation intentionnelle reflète les imperfections de la société, de l'industrie et du capitalisme moderne, faisant de cette œuvre une déclaration visuelle et conceptuelle plutôt qu'une simple pièce décorative. Valeur de collection et pertinence culturelle des œuvres en édition limitée de Denial L'œuvre « 100% Pure Fuck You Can » de Denial est une pièce de collection très recherchée, s'inscrivant dans le mouvement du Street Pop Art et du graffiti. Tirée à seulement 100 exemplaires, chaque canette, signée et numérotée, constitue un témoignage unique de la culture urbaine contemporaine. Son travail est exposé dans des galeries et des collections privées du monde entier, et son utilisation d'un message subversif et d'un impact visuel saisissant lui vaut souvent d'être comparé à celui d'artistes comme Banksy et Shepard Fairey. Cette sculpture de conserve illustre parfaitement la démarche de Denial : provocatrice, humoristique et n'hésitant pas à susciter la réflexion. Qu'elle soit exposée seule ou intégrée à une collection d'art urbain, cette œuvre capture l'essence de la critique moderne d'une société régie par la production de masse et le marketing superficiel. L'alliance d'une esthétique industrielle brute et d'un commentaire conceptuel incisif fait de cette édition limitée une œuvre phare de l'art contemporain influencé par le pop art et le graffiti.

    $125.00

  • Acid Test Results Blotter Paper Archival Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Acid Test Results Blotter Paper Archival Print par Denial - Daniel Bombardier

    Résultats de tests à l'acide - Papier buvard - Édition limitée - Impression pigmentaire d'archives sur papier buvard perforé par Denial - Œuvre d'art LSD inspirée de la culture pop. En 2000, il adopte le pseudonyme « DENIAL » pour tourner en dérision la publicité, la politique et les messages médiatiques que la société contemporaine refuse souvent d'admettre. Depuis, il mène une campagne mondiale d'art urbain, avec plus de 500 000 autocollants, affiches et fresques murales, utilisant les caractères alphanumériques « D3N!@L ». Conçu comme un moyen de promouvoir l'absurde, DENIAL remet également en question les notions traditionnelles de graffiti et d'art public par ses subversions visuelles audacieuses et souvent satiriques. Denial s'est imposé comme l'une des figures les plus marquantes de la pop art contemporaine. Toujours aussi pertinent, il s'attache à susciter la réflexion. Son travail explore depuis longtemps les limites de l'appropriation culturelle, qu'il utilise pour subvertir la valeur des produits culturels inscrits dans la mémoire collective occidentale. En d'autres termes, son œuvre invite le spectateur à réinventer notre société dystopique afin de la confronter, l'humour et l'ironie étant ses principaux outils.

    $385.00

  • Alternative Medicine Archival Skateboard Deck by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Alternative Medicine Archive Skateboard Deck par Denial - Daniel Bombardier

    Impression d'art en édition limitée sur planche de skateboard naturelle pressée à froid, réalisée par l'artiste de street art Denial, spécialisée dans la médecine alternative et utilisant des pigments d'archivage. Impression par transfert pigmentaire d'archives sur planche de skate en bois naturel pressé à froid. Dimensions : 8,25 x 31,875 pouces. Sortie : 14 juillet 2021. Denial s'est imposé comme l'une des figures les plus marquantes de la pop art contemporaine. Toujours aussi pertinent, il s'attache à susciter la réflexion. Son travail explore depuis longtemps les limites de l'appropriation culturelle, qu'il utilise pour subvertir la valeur des produits culturels inscrits dans la mémoire collective occidentale. En d'autres termes, son œuvre invite le spectateur à réinventer notre société dystopique afin de la confronter, l'humour et l'ironie étant ses principaux outils.

    $466.00

  • American Daydream Foil Silkscreen Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Sérigraphie American Daydream Foil par Denial - Daniel Bombardier

    American Daydream - Édition limitée Foil - Sérigraphie artisanale 9 couleurs sur papier d'art holographique Lava Foil 10 pt par l'artiste Denial. Édition limitée à 30 exemplaires, signée et numérotée, 2021. Sérigraphie 9 couleurs sur papier d'art holographique Lava Foil 10 pt. Format : 45,7 x 61 cm. Sortie : 9 mars 2021. « American Daydream » de Denial et son reflet dans l’art pop urbain et le graffiti modernes « American Daydream - Foil », de l'artiste Denial, est une œuvre puissante, à la croisée du street art, du pop art et du graffiti, mêlant esthétique commerciale et subversion. Sortie le 9 mars 2021, cette édition limitée est une pièce majeure qui interroge la nature de la culture américaine et la marchandisation du rêve américain. Tirée à seulement 30 exemplaires, cette sérigraphie artisanale en 9 couleurs, imprimée sur un papier d'art holographique 10 pt à effet lave, témoigne de l'exclusivité et de la précision du travail de Denial. Mesurant 45,7 x 61 cm, « American Daydream - Foil » est un spectacle visuel saisissant, sublimé par son fond réfléchissant à effet lave, créant un jeu dynamique de lumière et de couleurs qui interpelle le spectateur. L'utilisation du papier holographique à effet lave est particulièrement marquante, métaphore des multiples facettes, souvent contradictoires, de la psyché américaine. L'œuvre de Denial capture l'essence du pop art par l'utilisation d'un style bande dessinée familier juxtaposé à une palette psychédélique qui semble se transformer et scintiller au gré des mouvements du spectateur. L'œuvre met en scène une figure féminine en pleurs, motif récurrent du pop art, évoquant le décalage émotionnel entre la réalité et la quête du bonheur dans le cadre du rêve américain. Le style caractéristique de Denial intègre des éléments graphiques audacieux et un sens aigu de l'ironie. En utilisant la sérigraphie, une technique popularisée dans le pop art par des artistes comme Andy Warhol, Denial renoue avec les racines du mouvement tout en repoussant ses limites grâce à des matériaux et des thèmes modernes. Commentaire contemporain à travers l'art en édition limitée « American Daydream - Foil » de Denial est bien plus qu'une œuvre visuellement saisissante ; c'est un commentaire sur le vernis lisse de la vie américaine et les complexités sous-jacentes que dissimule cette façade. Chacune des 30 estampes est signée et numérotée par l'artiste, ce qui lui confère une authenticité et une valeur de collection très prisées dans les milieux du street art et du graffiti. Les collectionneurs et les admirateurs du travail de Denial apprécient les qualités esthétiques de ses estampes et les messages stimulants qu'elles véhiculent. Le caractère limité de l'édition d'« American Daydream - Foil » symbolise la transition du street art, passant des fresques éphémères aux œuvres d'art convoitées. La décision de Denial de publier une édition aussi restreinte souligne sa volonté de préserver l'exclusivité et l'intégrité de l'œuvre. Ce principe est souvent au cœur du street art et du graffiti. Entre les mains des collectionneurs, ces estampes ne sont pas de simples objets décoratifs, mais des artefacts culturels qui capturent un moment précis et un sentiment ou une critique particulière. L'œuvre de Denial illustre parfaitement l'évolution du street art et du graffiti vers une forme qui reflète et critique la culture dont elle est issue. « American Daydream - Foil » se présente comme un miroir de la société, reflétant la complexité de l'expérience américaine à travers le prisme du pop art. C'est une réflexion audacieuse sur la nature des rêves et de la réalité, le consumérisme et la place de l'individu au sein de la société. Son édition limitée lui assure un statut unique et recherché dans le monde dynamique de l'art contemporain.

    $676.00

  • American Daydream PP Foil Silkscreen Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Sérigraphie American Daydream PP Foil par Denial - Daniel Bombardier

    American Daydream - Foil PP Printer Proof Limited Edition 9 Color Hand-Tiged Silkscreen Print on 10pt Lava Foil Holographic Fine Art Paper by Artist Denial. Épreuve d'impression PP Printers 2021, signée et marquée PP, édition limitée, sérigraphie 9 couleurs sur papier beaux-arts holographique Lava Foil 10 pt, format : 45,7 x 61 cm (18 x 24 pouces), sortie le 9 mars 2021 Le « rêve américain-feuillet » du déni dans le paysage du pop art et du graffiti urbain « American Daydream-Foil », de l'artiste Denial (alias Daniel Bombardier), est une œuvre saisissante qui capture l'esprit du street art et du graffiti. Tirage d'art en édition limitée (épreuve d'imprimeur), cette sérigraphie artisanale en 9 couleurs est une pièce rare et de collection, sortie le 9 mars 2021. L'utilisation d'un papier d'art holographique 10 pt « lave foil » confère à l'œuvre une qualité hypnotique, sa surface réfléchissante créant une impression de profondeur et de mouvement qui renforce son impact visuel. Ses dimensions généreuses (45,7 x 61 cm) permettent de saisir pleinement les détails complexes et les couleurs vibrantes propres à Denial. Chaque exemplaire de cette édition limitée est signé et marqué « PP » par l'artiste, attestant de son exclusivité et de son implication directe dans le processus de création et de validation. Les effets holographiques du papier métallisé interagissent avec l'encre sérigraphique, créant une œuvre dynamique qui se transforme selon le point de vue du spectateur et la lumière ambiante. Le travail de Denial aborde souvent la société de consommation, la politique et les médias, et « American Daydream-Foil » ne fait pas exception. L'image d'un visage de femme, évoquant le style pop art classique popularisé par des artistes comme Roy Lichtenstein, est recouverte d'un motif éblouissant qui révèle et dissimule ses traits. Ce jeu suggère la tension entre la réalité et les rêves fabriqués vendus à la société, un thème récurrent dans l'œuvre de Denial et une critique percutante qui trouve un écho profond dans le street art et le graffiti. Surfaces réfléchissantes et reflets sociétaux dans l'art du déni La surface réfléchissante de « American Daydream-Foil » est un miroir au sens propre comme au figuré, invitant le spectateur à s'interroger sur ses perceptions et les constructions sociales qui les façonnent. L'utilisation du papier aluminium par Denial est particulièrement évocatrice : elle attire le regard et suggère l'attrait et la superficialité du rêve américain. La façon dont l'apparence de l'œuvre change selon la lumière et l'angle de vue peut être interprétée comme une métaphore de la nature changeante de ce rêve et de la quête illusoire du bonheur au sein de la culture américaine contemporaine. Le tirage limité et le statut d'épreuve d'artiste (PP) de l'œuvre rehaussent sa valeur sur le marché de l'art, en faisant une pièce recherchée par les collectionneurs de street art, de graffiti et de pop art moderne. La mention PP indique que cette édition particulière a servi à vérifier la qualité avant le tirage final ; elle est souvent conservée par l'artiste à titre personnel ou vendue à des collectionneurs avertis qui apprécient la rareté et l'authenticité de ces épreuves. « American Daydream-Foil » de Denial enrichit avec force le paysage du street art et du graffiti. Cette œuvre fait le lien entre les origines rebelles du street art et les techniques raffinées de l'impression d'art, créant ainsi un texte à la fois engagé et spectaculaire. À l'image de la plupart des créations de Denial, « American Daydream-Foil » est riche de sens, invitant le spectateur à dépasser les apparences et à s'interroger sur la dimension culturelle qui l'entoure. Dans l'art contemporain, cette pièce illustre avec éclat comment les motifs traditionnels du pop art et les techniques modernes peuvent s'unir pour donner naissance à une œuvre qui reflète et interagit avec la société dont elle est issue.

    $951.00

  • American Daydream Silkscreen Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Sérigraphie American Daydream par Denial - Daniel Bombardier

    American Daydream, édition limitée, sérigraphie artisanale 9 couleurs sur papier d'art Coventry Rag 290 g/m² par Denial Graffiti Street Artist, art pop moderne. En 2012, DENIAL a lancé « Free 4 All Walls », le plus important projet d'art public du genre dans le sud-ouest de l'Ontario. Ce programme, financé par le gouvernement, a permis à des artistes du monde entier d'embellir et de redynamiser les murs publics de Windsor. Il a connu un immense succès en soutenant la communauté locale et en promouvant l'importance du street art dans la société contemporaine. Dans l'univers de Denial, la mémoire est essentielle, car elle constitue le fondement de son œuvre. Elle invite le public, par une approche nostalgique, à s'y intéresser. De ce fait, son art est à la fois familier et troublant, car il révèle les aspects les plus dérangeants de la société, ceux que nous refusons d'admettre. Malgré son histoire controversée, le graffiti est de moins en moins perçu comme une forme de vandalisme.

    $385.00

  • American Expression Silkscreen Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Sérigraphie d'expression américaine par Denial - Daniel Bombardier

    Édition limitée American Expression, sérigraphie artisanale 6 couleurs sur papier d'art French Speckletone 300 g/m² par Denial Graffiti Street Artist, art pop moderne. En 2000, il adopte le pseudonyme « DENIAL » pour tourner en dérision la publicité, la politique et les messages médiatiques que la société contemporaine refuse souvent d'admettre. Depuis, il mène une campagne mondiale d'art urbain, avec plus de 500 000 autocollants, affiches et fresques murales, utilisant les caractères alphanumériques « D3N!@L ». Conçu comme un moyen de promouvoir l'absurde, DENIAL remet également en question les notions traditionnelles de graffiti et d'art public par ses subversions visuelles audacieuses et souvent satiriques. Denial est un artiste canadien qui expérimente avec l'aérosol et le pochoir. Ses principaux centres d'intérêt sont la société de consommation, la politique et la condition humaine dans la société contemporaine. Face à la popularité croissante du graffiti aux États-Unis et en Europe, les graffeurs devaient faire preuve d'une originalité toujours plus grande pour se démarquer. Leurs signatures sont devenues plus grandes, plus stylisées et plus colorées.

    $385.00

  • And Then Things Got Better Archival Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Et puis les choses se sont améliorées Impression d'archives par Denial - Daniel Bombardier

    Et puis les choses se sont améliorées. Tirages pigmentaires d'archives en édition limitée sur papier beaux-arts 330 g/m² par Denial Graffiti Street Artist Modern Pop Art. Édition limitée 2020, signée et numérotée à 25 exemplaires. Format de l'œuvre : 24 x 24 pouces. Et puis, le déni a amélioré les choses – Une déclaration d'espoir audacieuse dans l'art urbain pop et le graffiti « And Then Things Got Better » est une estampe pigmentaire d'archive saisissante, créée en 2020 par l'artiste pop urbaine canadienne Denial. Mesurant 61 x 61 cm et imprimée sur papier d'art de 330 g/m², cette œuvre a été éditée à seulement 25 exemplaires, signés et numérotés. Elle évoque immédiatement l'esthétique des bandes dessinées classiques, tout en la subvertissant par une approche moderne. Le portrait en gros plan d'une femme, rendu en fort contraste par des contours noirs marqués, des lèvres rose vif, des yeux vert intense et des textures de points Ben-Day, capture l'intensité émotionnelle caractéristique de Denial. La bande supérieure jaune porte le titre, imprimé en lettres capitales façon bande dessinée : « And Then Things Got Better ». Cette simple phrase, associée au regard dramatique de la femme et à sa joue striée de larmes, exprime un flot d'émotions contradictoires : soulagement, incrédulité et douleur persistante. La composition est figée dans ce moment psychologique précis où le changement commence à s'amorcer, mais où la guérison est encore en cours. Le langage subversif du pop art du déni Denial, de son vrai nom Daniel Bombardier, est un artiste de rue et de galerie de renommée internationale. Son œuvre critique le consumérisme, la propagande et les normes sociales avec humour et un impact visuel saisissant. Reconnu pour son mélange de techniques issues du graffiti, de la signalétique et du design de masse, Denial puise largement dans l'héritage du pop art pour ses estampes et installations, tout en y insufflant une urgence urbaine. Dans « And Then Things Got Better », il utilise un format popularisé par les pionniers du pop art des années 1960, mais le réinterprète pour aborder non pas le mélodrame romantique, mais la résilience et la transformation psychologique. L'expression de la femme ne traduit pas une tristesse superficielle, mais plutôt une profonde introspection, une confrontation sincère avec une expérience personnelle ou collective. Par un texte minimaliste et des images fortes, Denial souligne que le changement, lorsqu'il survient, est complexe et incertain, mais qu'il mérite d'être accueilli. Exécution technique et qualité d'impression Chaque tirage de cette édition limitée est réalisé par impression pigmentaire haute résolution sur papier beaux-arts 330 g/m², un support de qualité muséale reconnu pour sa texture, sa fidélité des couleurs et sa longévité. L'utilisation d'encres pigmentaires garantit la vivacité des bleus, des noirs et des roses éclatants, qui conservent leur éclat au fil du temps. Le grammage du papier confère à l'œuvre une richesse tactile et une consistance qui renforcent sa dimension émotionnelle. Chaque exemplaire, signé et numéroté à la main par l'artiste, devient bien plus qu'une simple reproduction : une pièce unique et personnelle, témoin de l'évolution du catalogue de Denial. La précision du trait, notamment dans les cheveux et les lettres, illustre la maîtrise du rythme et du contraste visuels par Denial. Cette œuvre s'intègre harmonieusement aussi bien dans des intérieurs urbains que dans des galeries d'art plus classiques. Et puis les choses se sont améliorées avec l'art pop et graffiti de rue contemporain. Cette œuvre illustre parfaitement l'esprit du Street Pop Art et du graffiti en fusionnant iconographie pop et profondeur émotionnelle moderne. Si de nombreuses œuvres du genre privilégient l'ironie ou la satire, l'estampe de Denial trouve un espace pour la sincérité sans rien perdre de sa force graphique. Elle célèbre la capacité des artistes pop contemporains à utiliser les codes de la bande dessinée et l'esthétique urbaine non seulement à des fins critiques, mais aussi pour raconter des histoires émouvantes. Le message de l'œuvre est simple, mais le contexte qui l'entoure – bouleversements sociaux, développement personnel, détresse psychologique – lui confère une résonance profonde. Denial parvient à allier l'immédiateté graphique du street art à la puissance structurée du pop, donnant voix à l'espoir qui émerge souvent discrètement après la tempête. « And Then Things Got Better » n'est pas seulement une affirmation ; c'est une question, une parenthèse, et un rappel visuel de la résilience par l'art.

    $493.00

  • And Then Things Got Better Autumn Archival Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Et puis les choses se sont améliorées Impression d'archives d'automne par Denial - Daniel Bombardier

    Et puis les choses se sont améliorées - Tirages pigmentaires d'archives en édition limitée d'automne sur papier beaux-arts 330 g/m² par Denial Graffiti Street Artist Modern Pop Art. Édition limitée 2021 signée et numérotée à 25 exemplaires. Format : 24x24. Variante automne. Et puis les choses se sont améliorées – Édition Automne par Denial dans le domaine du street art pop et du graffiti « Et puis les choses se sont améliorées – Automne » est une estampe pigmentaire d'archive en édition limitée de 2021, réalisée par l'artiste canadien Denial. Cette œuvre s'inscrit dans sa série en cours qui réinterprète l'univers visuel de la bande dessinée à travers le prisme du pop art urbain contemporain. Mesurant 61 x 61 cm et imprimée sur un papier d'art épais de 330 g/m², cette variante est l'une des 25 seules, signées et numérotées, offrant aux collectionneurs une perspective rare et automnale au sein de la collection. L'édition Automne capture la palette et l'émotion de cette saison grâce à une harmonie de couleurs chaudes et terreuses, mêlant orange, ambre et reflets dorés. La femme au centre de la composition, dont le visage est défini par des lignes audacieuses et une mèche de cheveux spectaculaire, lève les yeux au ciel, mêlant un optimisme prudent à la fatigue post-orage. Au-dessus d'elle, la désormais iconique légende « Et puis les choses se sont améliorées » se détache sur un fond jaune-orangé, faisant écho à la fois à la tradition de la bande dessinée et à la transformation saisonnière. Émotions saisonnières et couleurs symboliques L'esthétique de l'édition Automne reflète les émotions souvent associées à cette saison : la réflexion, le changement et le lâcher-prise. Des teintes orange brûlé profond remplacent les tons froids des versions précédentes, insufflant une chaleur émotionnelle qui suggère une force intérieure forgée dans l'adversité. Les yeux, les lèvres et les cheveux du personnage sont saturés de rouges rouille et de bruns dorés, évoquant les feuilles mortes et les ciels changeants. Ce changement de couleur modifie l'atmosphère de l'œuvre sans en altérer la structure, témoignant de la maîtrise de Denial en matière de modulation émotionnelle grâce à un design minimaliste. La légende, à la fois affirmation et question, invite le spectateur à se demander si la situation s'est réellement améliorée ou si le calme n'est que passager. L'édition Automne se situe dans la pause émotionnelle qui précède un nouveau cycle, utilisant la métaphore du déclin et du renouveau saisonniers comme toile de fond à l'introspection. La voix du déni dans l'art urbain pop et le graffiti Daniel Bombardier, alias Denial, évolue depuis longtemps à la croisée de l'art public et de la critique commerciale. Ses œuvres sont reconnues pour leur fusion de la force du graffiti et de l'accessibilité de l'imagerie pop. La série « And Then Things Got Better » explore les nuances psychologiques à travers le style visuel familier des héroïnes de bande dessinée. Chaque édition de la série possède une charge émotionnelle particulière grâce à son utilisation de la couleur, et la variante Automne est l'une des plus introspectives et profondes. L'œuvre de Denial invite constamment à l'interprétation, et son recours à l'ironie, à la juxtaposition et à la nostalgie le positionne comme une figure majeure du street art et du graffiti contemporains. L'édition Automne illustre cet équilibre en offrant une sérénité visuelle teintée d'une complexité émotionnelle, permettant au spectateur de projeter sa propre expérience sur la scène. Technique d'impression et valeur de collection L'édition Automne est réalisée avec des encres pigmentaires d'archivage, garantissant la longévité et l'éclat de sa palette automnale. Le papier beaux-arts de 330 g/m² apporte épaisseur et texture, permettant aux nuances de demi-teintes et aux contrastes marqués d'apparaître nets et tactiles. Chaque tirage est signé et numéroté individuellement par Denial, confirmant son statut d'édition d'art limitée. Avec seulement 25 exemplaires disponibles, l'édition Automne offre une interprétation visuelle unique au sein de la série. Elle séduira les collectionneurs d'œuvres de Denial ainsi que les amateurs de street art et de graffiti, sensibles aux messages percutants enveloppés d'une esthétique nostalgique. Cette édition évoque les séquelles émotionnelles de la lutte, nous rappelant que même dans les moments de calme et d'incertitude, l'espoir d'une amélioration est permis.

    $385.00

  • And Then Things Got Better Hate Archival Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier And Then Things Got Better Hate Archival Print par Denial - Daniel Bombardier

    Et puis les choses se sont améliorées - Tirages pigmentaires d'archives en édition limitée « Hate » sur papier beaux-arts 330 g/m² par Denial Graffiti Street Artist Modern Pop Art. Édition limitée 2021 signée et numérotée à 25 exemplaires. Format de l'œuvre : 24x24. Variante « Hate ». Et puis les choses se sont améliorées – Édition Haine par Denial dans l'art pop et graffiti de rue Et puis les choses se sont améliorées – Hate est une estampe pigmentaire d'archive, saisissante et chargée d'émotion, créée en 2021 par Denial, artiste canadien de graffiti et de pop art, de son vrai nom Daniel Bombardier. Tirée en édition limitée à seulement 25 exemplaires signés et numérotés, cette œuvre mesure 61 x 61 cm et est imprimée sur un papier d'art de qualité musée de 330 g/m². Reconnu pour ses visuels provocateurs et son esthétique audacieuse, ancrée dans la critique de la société de consommation, Denial utilise le langage visuel de la bande dessinée pour explorer la complexité psychologique à travers une iconographie pop accessible. Dans cette variante de Hate, la palette de couleurs est réduite à des nuances de gris, remplaçant la chaleur et l'éclat des autres versions par une neutralité glaçante. Le texte descriptif, en gris acier, donne le ton émotionnel, tandis que la figure féminine centrale – rendue uniquement en noir, blanc et gris clair – exprime une angoisse silencieuse, saisie en pleine réflexion ou au lendemain d'un bouleversement émotionnel. La distinction esthétique et émotionnelle de la variante haineuse Cette version de l'œuvre emblématique de Denial ne se limite pas à un simple changement de couleur ; il s'agit d'un réajustement délibéré du ton et du message. La palette de gris évoque le détachement, la froideur et l'engourdissement, suggérant un état psychologique consécutif à un traumatisme ou à un effondrement émotionnel. Le visage de la femme, inspiré des héroïnes de bandes dessinées pop du milieu du XXe siècle, paraît figé et dépourvu de chaleur – un contraste intentionnel qui traduit la répression émotionnelle plutôt que la catharsis. La légende « Et puis les choses se sont améliorées », interprétée à travers le prisme de l'édition Hate, devient profondément ironique. Elle peut suggérer une répression, une colère ou une résignation masquées par une façade de guérison. Le visage sans larmes, le regard fuyant et l'absence de couleurs saturées transforment l'image en une réflexion sur le silence et la distance qui suivent souvent une forte tension personnelle ou sociale. Le commentaire du déni à travers le minimalisme dans l'art urbain pop et le graffiti Depuis longtemps, Denial utilise l'esthétique des médias de masse pour dénoncer la propagande, la manipulation émotionnelle et les illusions véhiculées par les messages commerciaux et culturels. Dans cette variante intitulée « Hate », il réduit l'image à sa structure essentielle pour exposer une contradiction émotionnelle. La netteté du trait, les textures de points Ben-Day et les ombrages monochromes renforcent les racines graphiques de son style, tandis que la sobriété de l'exécution invite le spectateur à se concentrer sur le ton et la posture plutôt que sur la couleur. La participation de Denial à l'exposition « Street Pop Art & Graffiti Artwork » comprend des interventions murales et des tirages d'art en édition limitée. Chaque format reflète sa mission principale : perturber la perception et susciter la réflexion grâce à des procédés visuels empruntés à la publicité et à la culture populaire. Cette œuvre, bien que plus sobre dans sa palette, est l'une des plus chargées en tension émotionnelle. Elle capture l'essence même du déni – non seulement le pseudonyme de l'artiste, mais aussi le comportement humain – où les sentiments sont enfouis sous des déclarations publiques. Qualité de fabrication et valeur de collection de l'édition Hate Imprimée avec des encres pigmentaires sur un papier beaux-arts sans acide de 330 g/m², l'édition Hate est conçue pour préserver à la fois son intégrité visuelle et sa longévité. La texture du papier permet aux nuances de gris d'atteindre des variations subtiles, tandis que la précision de l'impression met en valeur chaque ligne et chaque demi-teinte. Chaque exemplaire est signé et numéroté par l'artiste, attestant de sa valeur en tant que pièce de collection au sein de l'œuvre plus vaste de Denial. Le choix de proposer cette variante en édition limitée à 25 exemplaires renforce son exclusivité et sa pertinence, notamment pour les collectionneurs sensibles aux récits émotionnels du pop art. Véritable manifeste du Street Pop Art et du graffiti, l'édition Hate nous rappelle que même les images les plus audacieuses peuvent véhiculer des messages discrets et latents. Elle témoigne visuellement de ces moments où le monde prétend que tout va mieux, mais où le corps et le visage, eux, n'oublient rien.

    $385.00

  • And Then Things Got Better Love Archival Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier And Then Things Got Better Love Archival Print par Denial - Daniel Bombardier

    Et puis les choses se sont améliorées - Tirages pigmentaires d'archives en édition limitée sur papier beaux-arts 330 g/m² par Denial Graffiti Street Artist Modern Pop Art. Édition limitée 2021 signée et numérotée à 25 exemplaires. Format de l'œuvre : 24x24. Variante « Love ». Et puis les choses se sont améliorées – Édition Amour par Denial dans le domaine du pop art et du graffiti urbain « And Then Things Got Better – Love » est une estampe pigmentaire d'archive de 2021 de l'artiste canadien de graffiti et de street pop Denial, présentée comme une variante spéciale de sa célèbre série inspirée de la bande dessinée. Cette œuvre en édition limitée mesure 61 x 61 cm et est imprimée sur papier beaux-arts 330 g/m² avec des encres pigmentaires de qualité muséale. Tirée à seulement 25 exemplaires signés et numérotés, la variante « Love » se distingue par sa palette soigneusement ajustée, qui remplace les couleurs primaires vives de l'original par des teintes douces et chargées d'émotion. Le passage saisissant aux roses et aux violets adoucit l'esthétique générale tout en conservant le trait net et contrasté qui caractérise le style de Denial. La phrase emblématique imprimée dans le panneau supérieur – « And Then Things Got Better » – demeure l'élément central de l'œuvre, placée au-dessus du visage d'une femme, les yeux rougis par les larmes, rendu dans un style pop art audacieux. Avec sa peau pâle et ses lèvres expressives, la silhouette lève les yeux, saisie dans un moment complexe entre tristesse et espoir. Couleur, émotion et narration visuelle dans la variante amoureuse Dans cette édition, Denial réinterprète la dimension émotionnelle de son œuvre originale en utilisant des tons pastel de rose et de violet, créant ainsi une atmosphère de vulnérabilité émotionnelle qui se superpose à une force visuelle. La variante Love évoque directement le chagrin d'amour et la guérison, où la douceur des couleurs reflète tendresse et sensibilité. Les cheveux de la femme, désormais d'un violet profond, contrastent fortement avec son teint pâle et ses lèvres discrètes. La légende, teintée de rose au lieu de jaune, insuffle une douceur romantique qui confère à la même phrase une dimension plus personnelle et profonde. Là où l'original proclamait la survie, cette variante la murmure, suggérant un chemin plus lent et plus intime vers la guérison émotionnelle. L'expression du visage de la femme reste celle d'une force face à l'adversité, mais cette version invite le spectateur à un dialogue plus intime et plus silencieux avec la résilience. La voix du déni dans l'art pop et le graffiti urbains modernes Denial, de son vrai nom Daniel Bombardier, repousse sans cesse les limites du street art et du graffiti avec des projets comme la série « And Then Things Got Better ». Son œuvre synthétise la structure de la bande dessinée, l'esthétique de la propagande et un langage satirique pour créer une identité visuelle unique, profondément ancrée dans la culture du street art. Si Denial est connu pour ses installations publiques de grande envergure et ses commentaires politiques percutants, des œuvres comme cette estampe témoignent de sa capacité à exprimer des nuances émotionnelles. La variante « Love » illustre particulièrement bien comment des compositions influencées par le pop art peuvent se muer en réflexions visuelles profondément intimes. Elle reflète la vulnérabilité humaine, tout en conservant l'immédiateté et la force propres au street art. L'engagement de Denial envers le savoir-faire artisanal, manifesté par son utilisation constante de matériaux de qualité archivistique et de formats en édition limitée, confère à chaque pièce un statut de pièce de collection. Qualité et potentiel de collection de l'édition Love Cette variante est imprimée avec des encres pigmentaires d'archivage sur un papier sans acide de 330 g/m², garantissant longévité et éclat des couleurs. La texture en pointillés imite la méthode d'impression Ben-Day, popularisée par les bandes dessinées du milieu du XXe siècle, ancrant l'œuvre dans la tradition du pop art tout en lui conférant une force narrative contemporaine. Chaque exemplaire est signé et numéroté par l'artiste, attestant de son authenticité et de sa rareté. Tirée à seulement 25 exemplaires, la variante « Love » est devenue une pièce de collection très recherchée, alliant nostalgie visuelle et profondeur émotionnelle. Le soin méticuleux apporté par Denial au concept et à la réalisation fait de cette œuvre un exemple parfait de la façon dont le street art, le pop art et le graffiti peuvent conjuguer force visuelle et sincérité. Cette estampe ne parle pas seulement d'un avenir meilleur, mais aussi de la vulnérabilité nécessaire pour croire en un avenir meilleur.

    $385.00

  • And Then Things Got Better Mini Stencil HPM by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier And Then Things Got Better Mini Stencil HPM par Denial - Daniel Bombardier

    Et puis les choses se sont améliorées - Mini, faisant partie de la série True Facts Mini Multiple, œuvre originale peinte à la main (HPM) sur panneau en bois, prête à être accrochée, par Denial Graffiti Street Artist Modern Pop Art. « Mon œuvre évoque un désastre imminent et des thèmes sinistres et grossiers, mais cela ne signifie en aucun cas que je souhaite que cela se produise. J'espère au contraire qu'elle suggère l'absurdité de la situation et montre comment nous pouvons trouver de meilleures solutions pour l'avenir. » – Denial L'art de Denial est profondément politique et social, l'artiste prenant position contre des problématiques telles que le capitalisme, la société de consommation et la publicité. Plus important encore, il est conscient de ses choix et de ses motivations : « Je me considère comme un artiste pop engagé. Mon rapport aux dessins animés et aux illustrations est bien plus simple qu'avec le photoréalisme. » L'humour est un autre aspect essentiel du travail de Denial. Son œuvre est satirique, ce qui signifie, par définition, qu'elle utilise l'humour comme outil de confrontation.

    $954.00

  • And Then Things Got Better Pink Archival Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier And Then Things Got Better Pink Archival Print par Denial - Daniel Bombardier

    Et puis les choses se sont améliorées - Tirages pigmentaires d'archives en édition limitée rose sur papier beaux-arts 330 g/m² par Denial Graffiti Street Artist Modern Pop Art. Édition limitée 2021 signée et numérotée à 25 exemplaires. Format : 24x24. Variante rose. Et puis les choses se sont améliorées – Édition rose par Denial dans le domaine du street art pop et du graffiti « And Then Things Got Better – Pink » est une estampe pigmentaire d'archive de 2021 de l'artiste canadienne Denial, créée dans le cadre d'une série qui réinterprète les cases classiques de la bande dessinée à travers le prisme du pop art moderne. Cette édition est imprimée sur papier beaux-arts 330 g/m² avec des encres pigmentaires de qualité musée et mesure 61 x 61 cm. Publiée en édition limitée et numérotée à 25 exemplaires, la variante rose illustre le style caractéristique de Denial, mélange de critique de la culture pop, de profondeur émotionnelle et d'audace visuelle. La composition capture un gros plan du visage d'une femme de profil, où des roses vibrants remplacent la palette traditionnelle de la bande dessinée pour exprimer une confiance et une transformation personnelle contemporaines. La légende supérieure, « And Then Things Got Better », est écrite en rose tendre avec des lettres noires audacieuses. Ce message, ambigu et puissant, plane au-dessus d'une image chargée d'une tension stylisée, oscillant entre vulnérabilité et reconquête. La palette rose comme architecture émotionnelle La couleur est essentielle à la tonalité émotionnelle de l'édition Rose. Denial remplace les teintes jaunes et bleues originales, typiques de la bande dessinée, par des tons fuchsia intenses et une palette plus chaude qui redéfinit la scène. Le rose profond des lèvres et des cheveux de la femme insuffle une énergie contemporaine tout en conservant l'intensité graphique et épurée propre au pop art. Son regard reste fixé au-delà du spectateur, porteur du poids de l'introspection, du changement et d'une résolution inexprimée. La légende, moins ironique ici que dans d'autres versions, confère à l'œuvre un sentiment de renaissance, façonné par l'identité et l'émancipation. Denial explore souvent la dualité – conflit et guérison, peur et force – et cette estampe manifeste visuellement cette exploration. L'expression sereine de la femme et ses larmes stylisées brouillent les frontières entre récit et design, laissant au spectateur le soin d'interpréter le message : sarcasme, survie, ou les deux. Le commentaire de Denial sur la culture pop dans l'art urbain, le pop art et le graffiti Daniel Bombardier, connu sous le nom de Denial, est un artiste basé à Windsor, en Ontario, et reconnu internationalement pour sa fusion de la culture graffiti et de l'esthétique pop art. Son œuvre utilise souvent la parodie et l'appropriation des codes esthétiques des médias de masse pour questionner les structures politiques, sociales et émotionnelles. « And Then Things Got Better » illustre sa capacité à transformer des formats familiers en un puissant commentaire visuel. Denial puise dans le lexique des bandes dessinées, des publicités et des enseignes, qu'il réinterprète pour aborder des problématiques contemporaines telles que le refoulement des émotions, la résilience et l'éveil personnel. Avec cette édition rose, Denial continue de redéfinir le rôle de l'émotion et du design dans le street art et le graffiti, considérant le pop art non seulement comme une critique, mais aussi comme un vecteur d'expression et d'émancipation. Qualité de fabrication et attrait pour les collectionneurs de l'édition rose Cette édition est réalisée selon des techniques d'impression pigmentaire d'archivage garantissant une stabilité des couleurs éclatantes et une résolution détaillée au fil du temps. Le papier beaux-arts de 330 g/m² offre une surface riche et tactile qui sublime l'intensité du design. Chaque tirage est signé et numéroté par l'artiste, attestant de son authenticité et renforçant son attrait pour les collectionneurs d'art pop et urbain contemporain. Limitée à seulement 25 exemplaires, l'édition Rose confère à cette œuvre rareté une résonance émotionnelle particulière, reflétant le talent unique de Denial pour fusionner des visuels audacieux et une profondeur conceptuelle. Cette œuvre s'inscrit pleinement dans le vaste corpus du Street Pop Art et du graffiti, démontrant comment l'humour, le drame et la couleur peuvent coexister dans une même image pour raconter une histoire à la fois universelle et profondément personnelle. La variante Rose de Denial ne constitue pas une conclusion, mais un instantané saisissant et émouvant d'une transformation en mouvement.

    $385.00

  • And Then Things Got Better Purple Mini Stencil HPM by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier And Then Things Got Better Purple Mini Stencil HPM par Denial - Daniel Bombardier

    Et puis les choses se sont améliorées - Purple Mini, faisant partie de la série True Facts Mini Multiple, œuvre originale peinte à la main (HPM) sur panneau en bois, prête à être accrochée, par Denial Graffiti Street Artist Modern Pop Art. « Mon œuvre évoque un désastre imminent et des thèmes sinistres et grossiers, mais cela ne signifie en aucun cas que je souhaite que cela se produise. J'espère au contraire qu'elle suggère l'absurdité de la situation et montre comment nous pouvons trouver de meilleures solutions pour l'avenir. » – Denial En substance, Denial satirise la réalité que lui et nous vivons à travers certains des symboles les plus emblématiques de la culture occidentale. Il utilise des produits culturels pour dénoncer le système qui les a engendrés. De ce fait, il les recontextualise et les transforme, de produits commerciaux, en un héritage culturel.

    $954.00

  • And Then Things Got Better Summer Archival Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier And Then Things Got Better Summer Archival Print par Denial - Daniel Bombardier

    Et puis les choses se sont améliorées - Tirages pigmentaires d'archives en édition limitée pour l'été sur papier beaux-arts 330 g/m² par Denial Graffiti Street Artist Modern Pop Art. Édition limitée 2021 signée et numérotée à 25 exemplaires. Format de l'œuvre : 24x24. Variante été. Et puis les choses se sont améliorées – Édition d'été par Denial dans le domaine du street art pop et du graffiti « Et puis les choses se sont améliorées – Été » est une estampe pigmentaire d'archives de 2021, créée par l'artiste canadien Denial, alias Daniel Bombardier. Mesurant 61 x 61 cm et imprimée sur un papier d'art de qualité musée de 330 g/m², cette œuvre en édition limitée a été éditée à seulement 25 exemplaires signés et numérotés. La variante « Été » insuffle à la composition originale, inspirée du pop art, une intense chaleur estivale grâce à une palette de rouges vifs et de tons chauds. La composition présente un gros plan d'une figure féminine de style bande dessinée, saisie dans un moment de contemplation dramatique. Son regard se lève tandis que ses cheveux, d'un noir et d'un rouge flamboyant, traversent le cadre. La légende, imprimée en caractères foncés sur un fond rouge désaturé, dit : « Et puis les choses se sont améliorées », une phrase chargée d'une profonde résonance émotionnelle et ouverte à l'interprétation. Couleur et émotion dans la variante estivale Cette édition estivale se caractérise par une palette dominée par des rouges profonds, des beiges chauds et des mauves discrets. Ces couleurs évoquent l'intensité, la transformation et la tension émotionnelle – souvent associées à la croissance personnelle dans des moments de grande intensité. Les yeux et les lèvres rouges du personnage irradient d'intensité, en harmonie avec les reflets flamboyants de sa chevelure. Là où d'autres versions pourraient évoquer l'espoir ou la réflexion, « Été » brûle d'une passion inextinguible, conférant à l'estampe une chaleur émotionnelle proche de l'explosion. L'expression de la femme, comme dans les autres versions, demeure ambiguë – oscillant entre vulnérabilité et défi – mais ici, grâce à l'exacerbation des tons rouges, sa présence se fait plus forte, plus immédiate. La composition suggère la chaleur de la survie, l'instant qui suit l'impact, le calme qui succède à l'embrasement de la confrontation émotionnelle. Le pouvoir conceptuel du déni dans l'art urbain pop et le graffiti Le travail de Daniel Bombardier, sous le pseudonyme de Denial, s'inscrit dans le langage critique du street art, du pop art et du graffiti. Son utilisation audacieuse des formats de la bande dessinée, d'une esthétique consumériste et de phrases chargées d'émotion témoigne d'un environnement culturel saturé de bruit, mais en quête d'authenticité. Dans cette série, Denial utilise la forme familière de la vignette pop art pour explorer comment des messages répétés – personnels et politiques – peuvent perdre ou gagner en signification selon le contexte. La variante estivale illustre sa capacité à fusionner perspicacité psychologique et composition graphique, utilisant la couleur non seulement comme ornement, mais aussi comme élément narratif. Le jeu de tension et de rythme visuel captive le regard, l'invitant à décrypter non seulement le visage du personnage, mais aussi la structure émotionnelle sous-jacente au message. Artisanat, technique et attrait pour les collectionneurs Réalisée avec des encres pigmentaires d'archivage haute résolution, cette estampe garantit une profondeur de couleur et une longévité essentielles aux collectionneurs avertis. Le papier beaux-arts 330 g/m² sublime les qualités tactiles et visuelles, conférant aux rouges une richesse particulière et un contraste saisissant aux lignes noires. Chaque exemplaire est signé et numéroté à la main par Denial, attestant ainsi de l'authenticité et de la rareté de cette édition estivale. Tirée à seulement 25 exemplaires, cette variante se distingue non seulement par son design, mais aussi par sa place au sein d'une collection pointue d'études émotionnelles à travers l'art pop. Elle illustre parfaitement cette confrontation introspective qui rend le Street Pop Art et le graffiti si captivants : personnels, provocateurs et profondément troublants. « And Then Things Got Better » – Summer rayonne de cette vérité : parfois, la guérison n'arrive pas en douceur, mais dans les flammes.

    $385.00

  • And Then Things Got Better Winter Archival Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier And Then Things Got Better Winter Archival Print par Denial - Daniel Bombardier

    Et puis les choses se sont améliorées - Tirages pigmentaires d'archives en édition limitée hivernale sur papier beaux-arts 330 g/m² par Denial Graffiti Street Artist Modern Pop Art. Édition limitée 2021 signée et numérotée à 25 exemplaires. Format : 24x24. Variante hivernale. Et puis les choses se sont améliorées – Édition hivernale par Denial dans le domaine du street art pop et du graffiti « Et puis les choses se sont améliorées – Hiver » est une estampe pigmentaire d'archive en édition limitée de l'artiste canadien Denial, connu sous le nom de Daniel Bombardier. Sortie en 2021, cette édition est l'une des 25 estampes signées et numérotées, mesurant 61 x 61 cm et imprimées sur un papier d'art de qualité musée de 330 g/m². La variante Hiver transforme la composition pop art désormais iconique de Denial en une œuvre d'une clarté émotionnelle glaciale. Remplaçant les tons chauds par des gris froids et des bleus électriques, cette version évoque le calme, l'isolement et la froideur introspective souvent associés aux mois d'hiver. La figure centrale – une femme au style bande dessinée et aux traits nets – est saisie dans un moment de réflexion figée, ses cheveux balayés par des traits bleu givré. La légende « Et puis les choses se sont améliorées » apparaît en lettres noires nettes sur fond bleu, ancrant et complexifiant à la fois l'atmosphère émotionnelle. La couleur comme température émotionnelle dans la variante hivernale L'édition Hiver modifie la tonalité psychologique de la composition originale grâce à sa palette de couleurs soigneusement choisie. La peau en demi-teintes de gris contraste avec les bleus glacés des cheveux, des lèvres et des yeux, plongeant toute la scène dans une atmosphère de suspension émotionnelle. Là où d'autres variantes expriment le feu, l'éclosion ou la chaleur, Hiver instaure le calme. L'expression du personnage reste subtile, son regard levé vers le ciel n'exprimant ni espoir ni désespoir. Elle traduit plutôt la reconnaissance sereine que le changement est arrivé, mais non sans conséquences. Les lèvres bleues et l'œil cerné de larmes suggèrent une force froide et résiliente, évoquant une forme d'endurance silencieuse plutôt que de célébration. La capacité de Denial à utiliser la couleur comme structure narrative permet à cette édition de fonctionner comme une métaphore de l'hiver émotionnel – une période de repli sur soi, d'instinct de survie et de prise de conscience brutale. Le langage populaire et la crédibilité de rue du déni L'œuvre de Denial reste profondément ancrée dans le langage du Street Pop Art et du graffiti, mêlant avec constance esthétique commerciale, iconographie pop et sous-texte émotionnel. La série « And Then Things Got Better » explore les complexités de la survie, de l'identité et de la transformation à travers le format nostalgique des cases de bandes dessinées du milieu du XXe siècle. En associant ces visuels familiers à un contenu émotionnel ambigu, Denial invite les spectateurs à reconsidérer les récits inhérents à la culture populaire. L'édition hivernale, avec sa palette sobre et ses contrastes intenses, approfondit cette question. Elle plonge le spectateur dans une période de réflexion – au sens propre comme au figuré – et l'incite à réévaluer la véritable signification du terme « mieux ». L'ironie, la sincérité et la maîtrise visuelle impeccable dont fait preuve Denial confèrent à son œuvre une pertinence constante, tant dans la rue qu'en galerie. Qualité des matériaux et attrait pour les collectionneurs Imprimée sur papier beaux-arts 330 g/m² avec des encres pigmentaires d'archivage, cette édition promet une vivacité et une précision exceptionnelles. Les points de trame et les lignes d'un noir profond sont rendus avec une précision muséale, conférant à l'œuvre une qualité d'impression intemporelle qui rend hommage à ses racines pop art. Chaque exemplaire est signé à la main et numéroté individuellement par Denial, ajoutant une dimension personnelle à cette édition limitée à 25 exemplaires. L'édition Hiver constitue un chapitre marquant d'une série devenue l'une des plus recherchées de Denial. Pour les amateurs de street art et de graffiti, elle offre un moment de contemplation apaisante au milieu du tumulte visuel actuel. Cette estampe capture cette brève et froide pause entre deux fins et deux nouveaux départs – lorsque les choses se sont améliorées, mais que le dégel ne fait que commencer.

    $385.00

  • And Then Things Got Better- Spring Archival Pigment Print

    Denial- Daniel Bombardier Et puis les choses se sont améliorées - Impression pigmentée d'archivage de printemps

    Et puis les choses se sont améliorées - Tirages pigmentaires d'archives en édition limitée pour le printemps sur papier beaux-arts 330 g/m² par Denial Graffiti Street Artist Modern Pop Art. Édition limitée 2021 signée et numérotée à 25 exemplaires. Format de l'œuvre : 24 x 24. Variante printemps. Et puis les choses se sont améliorées – Édition de printemps par Denial dans le domaine du street art pop et du graffiti « Et puis les choses se sont améliorées – Printemps » est une estampe pigmentaire d'archive en édition limitée de 2021, réalisée par l'artiste pop urbain canadien Denial, alias Daniel Bombardier. Imprimée sur un papier d'art de qualité musée de 330 g/m² et mesurant 61 x 61 cm, cette œuvre fait partie d'une édition signée et numérotée de seulement 25 exemplaires. Parmi les variantes expressives de la série « Et puis les choses se sont améliorées », l'édition Printemps insuffle une énergie nouvelle et une émotion inédite à un format classique inspiré de la bande dessinée. Denial capture le moment psychologique de la transition à travers une figure féminine dessinée en traits contrastés, cadrée serrée en gros plan sur son visage. Ses cheveux, ses yeux et ses lèvres d'un bleu turquoise éclatant contrastent avec la peau crème en demi-teintes, soulignant la clarté et le renouveau, à l'opposé des troubles dépeints dans les versions précédentes de la même composition. Le rôle de la couleur et du message dans la variante printanière L'édition printanière insuffle une nouvelle vie à la scène familière de Denial, empreinte de réflexion et de complexité émotionnelle, grâce à une palette fraîche et apaisante. L'utilisation du turquoise pour les traits du personnage crée une atmosphère réconfortante, à l'image du renouveau saisonnier et d'une sensation de réinitialisation émotionnelle. La légende « Et puis les choses se sont améliorées », écrite en noir sur fond turquoise, change de sens selon l'état d'esprit du spectateur. Dans cette palette de couleurs, la phrase paraît moins ironique et plus empreinte d'un triomphe discret. Le regard levé du personnage et ses lèvres légèrement entrouvertes suggèrent la prise de conscience et l'espoir plutôt que la crise ou les conséquences. Son expression faciale demeure figée dans une tension émotionnelle, une marque de fabrique de l'approche narrative visuelle de Denial. Cette œuvre explore l'équilibre subtil entre fragilité et force, offrant une nouvelle dimension émotionnelle grâce à un changement de ton à la fois discret et puissant. Le déni comme commentaire à travers le langage comique dans l'art urbain pop et le graffiti Denial est une figure majeure du street art et du graffiti contemporains, reconnu pour sa capacité à réinterpréter le vocabulaire visuel de la culture populaire, de la propagande et de la signalétique commerciale en œuvres chargées d'émotion. La série « And Then Things Got Better » témoigne de son talent pour manipuler l'imagerie familière de manière inédite, explorant, par de subtiles variations, les thèmes de la santé mentale, du conditionnement social et de l'évolution personnelle. L'édition printanière conserve la précision du format inspiré de la bande dessinée – textures pointillées Ben-Day, contours épais et traits exagérés – tout en laissant le choix des couleurs exprimer directement la charge émotionnelle sous-jacente. Comme toutes les œuvres de cette série, le format évoque les médias de masse du milieu du XXe siècle, tout en portant l'urgence et l'intimité de la culture urbaine. La juxtaposition de la reproductibilité à grande échelle et de l'authenticité des émotions crée une tension essentielle à l'impact de Denial dans le genre. Qualité de production et importance pour les collectionneurs de l'édition de printemps Cette édition est imprimée avec des encres pigmentaires d'archivage conçues pour une longévité optimale, préservant ainsi la richesse des couleurs et des détails au fil du temps. Le papier beaux-arts de 330 g/m² offre à la fois une grande durabilité et une surface tactile qui sublime la force graphique de l'image. Chaque exemplaire est signé et numéroté à la main par Denial, attestant de son appartenance à une édition très sélective. L'esthétique à la fois douce et audacieuse de la variante Printemps, alliée à sa rareté, en fait une pièce de collection très recherchée sur le marché du pop art et du street art contemporain. Bien plus qu'une simple réinterprétation d'un motif existant, elle constitue un chapitre singulier d'un dialogue visuel sur la résilience et le changement. L'édition Printemps de Denial incarne avec éclat la capacité du Street Pop Art et du Graffiti à exprimer à la fois une réflexion critique et une libération émotionnelle dans un cadre stylisé unique.

    $385.00

  • As Seen on TV Mini Stencil HPM Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Vu à la télé Mini Stencil HPM Print par Denial- Daniel Bombardier

    Vu à la télé - Mini, faisant partie de la série True Facts Mini Multiple, œuvre originale peinte à la main (HPM) sur panneau en bois, prête à être accrochée, par Denial Graffiti Street Artist Modern Pop Art. « Mon œuvre évoque un désastre imminent et des thèmes sinistres et grossiers, mais cela ne signifie en aucun cas que je souhaite que cela se produise. J'espère au contraire qu'elle suggère l'absurdité de la situation et montre comment nous pouvons trouver de meilleures solutions pour l'avenir. » – Denial L'art de Denial est profondément politique et social, l'artiste prenant position contre des problématiques telles que le capitalisme, la société de consommation et la publicité. Plus important encore, il est conscient de ses choix et de ses motivations : « Je me considère comme un artiste pop engagé. Mon rapport aux dessins animés et aux illustrations est bien plus simple qu'avec le photoréalisme. » L'humour est un autre aspect essentiel du travail de Denial. Son œuvre est satirique, ce qui signifie, par définition, qu'elle utilise l'humour comme outil de confrontation.

    $954.00

  • Bambo HPM Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Bambo HPM Print par Denial - Daniel Bombardier

    Estampe en édition limitée, technique mixte, ornée à la main, sur papier cartonné recyclé de 700 g/m², par l'artiste Denial. Œuvre d'art pop contemporaine. Édition limitée à 10 exemplaires, signée et numérotée HPM, embellie à la main. Format : 13 x 19 pouces.

    $374.00

  • Broken Page Mixed Media Wood Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Page brisée Mixed Media Wood Print par Denial- Daniel Bombardier

    Broken Page, œuvre originale peinte à la main, technique mixte multiple à la bombe aérosol sur panneau de bois découpé au laser, prête à être accrochée, par Denial Graffiti Street Artist, art pop moderne. « Mon œuvre évoque un désastre imminent et des thèmes sinistres et grossiers, mais cela ne signifie en aucun cas que je souhaite que cela se produise. J'espère au contraire qu'elle suggère l'absurdité de la situation et montre comment nous pouvons trouver de meilleures solutions pour l'avenir. » – Denial Dans l'univers de Denial, la mémoire est essentielle, car elle constitue le fondement de son œuvre. Elle invite le public, par une approche nostalgique, à s'y intéresser. De ce fait, son art est à la fois familier et troublant, car il révèle les aspects les plus dérangeants de la société, ceux que nous refusons d'admettre. Malgré son histoire controversée, le graffiti est de moins en moins perçu comme une forme de vandalisme.

    $954.00

  • Burger King Archival Skateboard Deck by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Planche de skateboard Burger King Archival par Denial - Daniel Bombardier

    Impression par transfert pigmentaire d'archives en édition limitée Burger King sur planche de skate naturelle pressée à froid, œuvre de l'artiste de la culture pop urbaine Denial. En 2000, il a adopté le pseudonyme « DENIAL » pour tourner en dérision la publicité, la politique et les messages médiatiques que la société contemporaine refuse souvent de voir. Depuis, il mène une campagne de rue mondiale permanente, composée de plus de 500 000 autocollants, pancartes et fresques murales, utilisant les caractères alphanumériques « D3N!@L ». Denial s'est imposé comme l'une des figures les plus marquantes de la pop art contemporaine. Toujours aussi pertinent, il s'attache à susciter la réflexion. Son travail explore depuis longtemps les limites de l'appropriation culturelle, qu'il utilise pour subvertir la valeur des produits culturels inscrits dans la mémoire collective occidentale. En d'autres termes, son œuvre invite le spectateur à réinventer notre société dystopique afin de la confronter, l'humour et l'ironie étant ses principaux outils.

    $505.00

  • Burn Your Wonder Bra OG Archival Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Burn Your Wonder Bra OG AP Archival Print par Denial - Daniel Bombardier

    Burn Your Wonder Bra - Tirage d'art pigmentaire d'archive en édition limitée OG sur papier d'art MOAB 290 g/m² par Legend Street Art et Modern Pop Culture Artist Denial. Épreuve d'artiste AP 2021 signée et marquée AP, tirage en édition limitée Burn Your Wonder Bra - OG, Wonder Woman nue DC Comics Pop Art. Brûlez votre Wonder Bra : une déclaration audacieuse de Denial dans le Street Pop Art « Burn Your Wonder Bra » est une superbe estampe d'art en édition limitée, réalisée en 2021 par Denial, artiste reconnu du street art et de la pop culture contemporaine. Reconnu pour son art provocateur et satirique qui repousse les limites, Denial s'est imposé comme une figure influente des mouvements Street Pop Art et Graffiti. Cette œuvre, initialement une épreuve d'artiste (AP) en édition limitée, signée et marquée par l'artiste, est imprimée sur un papier d'art MOAB premium de 290 g/m², ce qui en fait une pièce de collection très recherchée. Réinterpréter l'imagerie emblématique à travers la culture pop « Burn Your Wonder Bra » rend hommage à la figure classique de Wonder Woman, icône intemporelle de l'histoire de la bande dessinée et de la culture populaire contemporaine. Denial réinterprète ce symbole de force et de féminité avec une touche rebelle et satirique. La composition audacieuse, dans le style des comics, met en scène Wonder Woman dans sa tenue bleue et rouge emblématique, mais avec une représentation impertinente et sans complexe qui remet en question les notions traditionnelles de beauté et de représentation féminine. Cette œuvre reflète le style caractéristique de Denial, mêlant des éléments de l'art de la bande dessinée vintage à un commentaire moderne et engagé. L'inscription « Burn Your Wonder Bra », inscrite en haut de l'œuvre, ajoute une dimension supplémentaire, faisant référence au mouvement féministe des années 1960 et 1970 qui rejetait les attentes de la société envers les femmes. En fusionnant ce contexte historique avec une esthétique pop art, Denial crée un dialogue visuel provocateur sur l'émancipation, la liberté et les rôles de genre dans la société actuelle. L'utilisation de couleurs primaires vives, de contours noirs épais et de techniques d'ombrage en demi-teintes s'inspire des œuvres de Roy Lichtenstein tout en y insufflant la brutalité et l'attitude propres au street art. Le déni : une voix dans l'art pop et graffiti de rue moderne Denial, de son vrai nom Daniel Bombardier, est un artiste canadien qui a marqué la scène artistique internationale. Son œuvre est reconnue pour ses visuels audacieux et colorés, ainsi que pour son commentaire incisif sur la société de consommation, la politique et la culture populaire. En créant un art à la fois visuellement saisissant et intellectuellement stimulant, Denial invite les spectateurs à questionner les normes et les valeurs de la société. Son art puise souvent dans la culture graffiti et les traditions du pop art, ce qui explique son écho auprès du public urbain et des collectionneurs. « Burn Your Wonder Bra » illustre la capacité de Denial à réinterpréter des images familières avec un regard critique. L'œuvre met en lumière son talent pour fusionner les techniques des beaux-arts et les influences du street art, produisant un résultat à la fois rebelle et raffiné. L'édition limitée d'épreuves d'artiste de cette estampe renforce sa rareté et son attrait pour les collectionneurs de street art, de pop art et de graffiti. L'impact du slogan « Burn Your Wonder Bra » sur l'art contemporain « Burn Your Wonder Bra » est une œuvre marquante du mouvement Street Pop Art, témoignant du talent unique de Denial pour fusionner la nostalgie des comics avec les thèmes modernes du féminisme, de la liberté et de la résistance. En utilisant Wonder Woman comme symbole, Denial transforme une figure emblématique de la pop culture en une représentation de la libération et de l'expression de soi. Le titre provocateur invite à rejeter les normes obsolètes et à affirmer son individualité, faisant écho aux problématiques sociales contemporaines. Tirage pigmentaire d'archive de haute qualité sur papier d'art MOAB 290 g/m², il garantit sa durabilité et sa richesse, en faisant une pièce de collection précieuse. Cette œuvre souligne la contribution constante de Denial à l'évolution du Street Pop Art et du graffiti, confirmant son statut d'artiste n'hésitant pas à bousculer les conventions tout en célébrant l'imagerie iconique.

    $575.00

  • Burn Your Wonder Bra OG Archival Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Burn Your Wonder Bra OG Archival Print par Denial - Daniel Bombardier

    Burn Your Wonder Bra - Tirage d'art pigmentaire d'archive en édition limitée OG sur papier d'art MOAB 290 g/m² par Legend Street Art et Modern Pop Culture Artist Denial. Burn Your Wonder Bra - OG, Wonder Woman nue, style pop art DC Comics. Numérotée, signée, tamponnée au verso, édition 2021 limitée à 100 exemplaires, 61 x 61 cm, impression pigmentaire d'archives sur papier d'art MOAB 290 g/m². Brûlez votre Wonder Bra par le déni : une déclaration dans le Street Pop Art « Burn Your Wonder Bra », créée en 2021 par Denial, artiste légendaire de la pop culture et du street art, est une estampe pigmentaire d'archive en édition limitée, audacieuse et provocatrice. Tirée à 100 exemplaires, cette édition est méticuleusement réalisée sur papier d'art MOAB 290 g/m², au format 61 x 61 cm (24 x 24 pouces), et numérotée et signée par l'artiste, avec un tampon au verso. Reconnu pour sa fusion de visuels inspirés de la bande dessinée et de thèmes engagés, le travail de Denial remet en question les normes culturelles tout en embrassant l'esthétique du street art et du graffiti. « Burn Your Wonder Bra » est une représentation audacieuse de l'émancipation, de la rébellion et de la liberté d'expression. Wonder Woman réinventée : Pop Art et commentaire culturel L'œuvre « Burn Your Wonder Bra » de Denial propose une réinterprétation de Wonder Woman, l'un des symboles les plus emblématiques de DC Comics et de la culture populaire. Elle allie nostalgie et provocation, présentant l'héroïne dans une pose audacieuse et libérée. Utilisant des rouges, des bleus et des motifs en demi-teintes noires vibrants, évoquant les bandes dessinées des années 1960, Denial canalise avec brio l'esthétique des pionniers du pop art tout en l'infusant de l'énergie brute du graffiti. Le texte en gras en haut, « Burn Your Wonder Bra », est un clin d'œil satirique au mouvement féministe de la fin des années 1960 et 1970, période durant laquelle les femmes rejetaient symboliquement les normes sociales restrictives. En réinterprétant Wonder Woman nue et sans filtre, Denial brise les représentations conventionnelles des héroïnes, incitant à des réflexions sur l'autonomie, les attentes liées au genre et l'émancipation. Cette combinaison de critique sociale et d'iconographie pop témoigne du talent de Denial pour fusionner des messages forts avec des compositions visuellement saisissantes. Le déni : une voix majeure du street art pop et du graffiti L'artiste canadien Denial, de son vrai nom Daniel Bombardier, est une figure internationale de l'art contemporain, reconnu pour ses œuvres percutantes et sans concession. Ses créations abordent souvent les thèmes de la société de consommation, du genre, de la politique et de la culture populaire avec un humour incisif et une dimension rebelle. Le travail de Denial fusionne les techniques du graffiti et du street art avec la rigueur des beaux-arts, ce qui lui vaut l'admiration des collectionneurs et des amateurs. « Burn Your Wonder Bra » reflète la voix artistique unique de Denial, où la nostalgie des bandes dessinées se mêle à des thèmes subversifs modernes. Par son utilisation audacieuse de la couleur, du trait et d'un texte soigneusement choisi, Denial invite les spectateurs à questionner les normes sociales tout en célébrant l'individualité et la liberté artistique. Une pièce de collection en édition limitée à l'impact durable « Burn Your Wonder Bra » fait partie d'une édition limitée très recherchée de 100 tirages pigmentaires d'archives, témoignant de l'engagement de Denial envers la qualité et le savoir-faire. Imprimée sur papier d'art MOAB 290 g/m², la richesse de sa texture et l'éclat de ses couleurs la distinguent des reproductions pop art traditionnelles. Chaque exemplaire est signé, numéroté et estampillé au verso, ce qui renforce son authenticité et sa valeur en tant qu'œuvre de collection. Cette pièce est un exemple remarquable de street art et de graffiti contemporains, trouvant un écho auprès d'un public sensible à un art qui défie les normes tout en conservant une identité visuelle forte. « Burn Your Wonder Bra » capture la convergence de l'art, de la culture et de la rébellion, confirmant le statut de Denial comme figure majeure du street art contemporain. Elle demeure un puissant message de libération et d'expression, incarnant l'énergie dynamique qui caractérise l'œuvre de Denial.

    $385.00

  • Cash Monster Wood Cut HPM Mixed Media Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Cash Monster Wood Cut HPM Mixed Media Print par Denial - Daniel Bombardier

    Cash Monster, œuvre originale peinte à la main, technique mixte à la bombe aérosol sur panneau de bois découpé au laser, prête à être accrochée, par Denial Graffiti Street Artist, art pop moderne. « Mon œuvre évoque un désastre imminent et des thèmes sinistres et grossiers, mais cela ne signifie en aucun cas que je souhaite que cela se produise. J'espère au contraire qu'elle suggère l'absurdité de la situation et montre comment nous pouvons trouver de meilleures solutions pour l'avenir. » – Denial En substance, Denial satirise la réalité que lui et nous vivons à travers certains des symboles les plus emblématiques de la culture occidentale. Il utilise des produits culturels pour dénoncer le système qui les a engendrés. De ce fait, il les recontextualise et les transforme, de produits commerciaux, en un héritage culturel.

    $2,004.00

  • Cat Face Blotter Paper Archival Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier BUVARD Papier buvard Archival Print par ARTIST

    Achetez TITLE Édition limitée Fine Art Archival Pigment Print Art sur papier buvard perforé. 2022 Édition limitée signée et numérotée de XX Tirage pigmentaire d'archivage sur papier buvard perforé Taille : 7,5 x 7,5 pouces Sortie : 19 avril 2022 Les éditions limitées de buvard sont perforées à la main par Zane Kesey.

    $467.00

  • Cloudy With A Chance Archival Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Cloudy With A Chance Archival Print par Denial - Daniel Bombardier

    « Cloudy With A Chance » - Impression pigmentaire d'archives sur métal avec base en acrylique gravée, œuvre d'art sculptée par l'artiste de rue et de graffiti Denial, légende de la pop moderne. DENIAL est une artiste canadienne dont l'œuvre critique le consumérisme et la condition humaine. Basée à Windsor, en Ontario, DENIAL passe une grande partie de l'année à voyager et à exposer au Canada et aux États-Unis. Elle a notamment présenté des expositions individuelles à Los Angeles, Chicago, Detroit, New York, Toronto et Vancouver. Denial est un artiste canadien qui expérimente avec l'aérosol et le pochoir. Ses principaux centres d'intérêt sont la société de consommation, la politique et la condition humaine dans la société contemporaine. Face à la popularité croissante du graffiti aux États-Unis et en Europe, les graffeurs devaient faire preuve d'une originalité toujours plus grande pour se démarquer. Leurs signatures sont devenues plus grandes, plus stylisées et plus colorées.

    $385.00

  • Coca-Cola Archival Skateboard Deck by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Planche de skateboard Coca-Cola Archival par Denial - Daniel Bombardier

    Impression par transfert pigmentaire d'archives en édition limitée Coca-Cola sur planche de skate naturelle pressée à froid, œuvre de l'artiste de la culture pop urbaine Denial. En 2000, il a adopté le pseudonyme « DENIAL » pour tourner en dérision la publicité, la politique et les messages médiatiques que la société contemporaine refuse souvent de voir. Depuis, il mène une campagne de rue mondiale permanente, composée de plus de 500 000 autocollants, pancartes et fresques murales, utilisant les caractères alphanumériques « D3N!@L ». Dans l'univers de Denial, la mémoire est essentielle, car elle constitue le fondement de son œuvre. Elle invite le public, par une approche nostalgique, à s'y intéresser. De ce fait, son art est à la fois familier et troublant, car il révèle les aspects les plus dérangeants de la société, ceux que nous refusons d'admettre. Malgré son histoire controversée, le graffiti est de moins en moins perçu comme une forme de vandalisme.

    $505.00

  • Covid No 19 Bleue Archival Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Covid No 19 Bleue Archival Print par Denial- Daniel Bombardier

    Covid No 19 - Bleue, tirage pigmentaire d'archive en édition limitée sur papier d'art MOAB 290 g/m² par Graffiti Pop Art et Street Artist Denial. Édition limitée 2021 signée et numérotée à 19 exemplaires : Gel hydroalcoolique Chanel Bleue Covid-19 (variante Virus). Tirage pigmentaire d'archives numéroté, signé et estampillé au verso sur papier d'art MOAB 290 g/m², format 45,7 x 61 cm. Le déni face à la COVID-19 : Le marketing de luxe à l’ère des crises mondiales « COVID No. 19 » de Denial est une saisissante estampe pigmentaire d'archives, éditée en 2021 à seulement 19 exemplaires, chacun signé, numéroté et estampillé à la main sur papier d'art MOAB 290 g/m². L'œuvre s'approprie la forme d'un flacon de parfum Chanel N° 5, remplaçant son étiquette iconique par un nom de produit fictif : Gel hydroalcoolique COVID No. 19. D'une précision numérique extrême, l'image reconfigure l'esthétique de la haute couture pour commenter les absurdités du consumérisme à l'ère de la pandémie. Le flacon de gel hydroalcoolique est présenté avec toute l'autorité visuelle d'un produit de luxe, transformant un objet de première nécessité en une parodie de statut et de désir. Au cœur de cette œuvre se trouve une observation culturelle brutale : lors d'une crise sanitaire mondiale, les outils de survie du quotidien – comme le gel hydroalcoolique et les masques – ont été érigés en symboles d'identité, de mode et d'accès économique. La réinterprétation par Denial du parfum Chanel en un produit de consommation à l'ère du virus confronte de front cette transformation. Cette œuvre ne se contente pas de parodier le luxe ; elle révèle comment les systèmes marketing peuvent absorber les traumatismes, les reconditionner et les revendre au public. L’étiquetage, à la manière de Chanel, est à la fois clinique et élégant, un clin d’œil à la façon dont le minimalisme visuel masque souvent la manipulation des entreprises. L'esthétique commerciale comme arme subversive La stratégie artistique de Denial repose sur le vol et la recontextualisation du langage commercial. Avec COVID No. 19, l'utilisation de lignes vectorielles nettes, de reflets lumineux réalistes et d'un design de produit précis imite la publicité jusqu'à la tromperie. Cette imitation est intentionnelle. Le spectateur est d'abord censé percevoir l'image comme authentique – tirée d'un magazine de mode ou d'une campagne de cosmétiques – avant que l'ironie du slogan ne lui apparaisse clairement. La dissonance entre la forme et le contenu invite à une critique de la tendance capitaliste à esthétiser la souffrance. Cette méthodologie visuelle s'inscrit pleinement dans l'esprit du Street Pop Art et du graffiti. Les racines de Denial dans la communication publique non autorisée et la subversion des images subculturelles demeurent présentes, même si l'œuvre se présente sous une forme d'art contemporain. L'absence de coulures de peinture ou de textures rugueuses n'atténue en rien la rébellion. Au contraire, elle réinterprète le langage graphique de la persuasion commerciale pour le subvertir de l'intérieur. Ce qui ressemble à une présentation de produit est, en réalité, une accusation visuelle. Ce n'est pas la pandémie en elle-même qui est critiquée, mais la manière dont elle est présentée. Le pop art urbain comme documentation de la pandémie COVID No. 19 fonctionne à la fois comme une satire et un témoignage historique. L'œuvre saisit un moment culturel où les outils de survie sont devenus des symboles de luxe, où la rareté était synonyme d'exclusivité et où le marketing s'étendait jusqu'aux fournitures médicales. L'œuvre de Denial illustre la manière dont les crises modernes sont non seulement vécues, mais aussi commercialisées : comment la peur de la maladie a été filtrée par les mêmes systèmes qui vendent beauté, mode et art de vivre. Le flacon de gel hydroalcoolique devient un symbole non de protection, mais de consommation. En fusionnant l'iconographie de la mode avec la réalité d'une pandémie mondiale, Denial oblige le spectateur à repenser les frontières entre design et éthique, entre marketing et survie. La simplicité visuelle de COVID No. 19 dissimule une critique subtile de la rapidité avec laquelle l'esthétique commerciale peut vider les événements de leur sens. Dans la lignée du street art et du graffiti, cette œuvre retourne les symboles familiers contre eux-mêmes, révélant la fragilité des apparences face à l'urgence humaine.

    $313.00

  • Covid No 19 Juane Archival Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Covid No 19 Juane Archival Print par Denial - Daniel Bombardier

    Covid No 19 - Juane, tirage pigmentaire d'archives en édition limitée sur papier d'art MOAB 290 g/m² par Graffiti Pop Art et Street Artist Denial. Édition limitée 2021 signée et numérotée à 19 exemplaires. Gel hydroalcoolique Chanel inspiré du virus Covid-19. Tirage pigmentaire d'archives sur papier MOAB Fine Art 290 g/m², numéroté, signé et estampillé au verso. Format : 45,7 x 61 cm. Le déni face à la COVID-19 : Le marketing de luxe à l’ère des crises mondiales « COVID No. 19 » de Denial est une saisissante estampe pigmentaire d'archives, éditée en 2021 à seulement 19 exemplaires, chacun signé, numéroté et estampillé à la main sur papier d'art MOAB 290 g/m². L'œuvre s'approprie la forme d'un flacon de parfum Chanel N° 5, remplaçant son étiquette iconique par un nom de produit fictif : Gel hydroalcoolique COVID No. 19. D'une précision numérique extrême, l'image reconfigure l'esthétique de la haute couture pour commenter les absurdités du consumérisme à l'ère de la pandémie. Le flacon de gel hydroalcoolique est présenté avec toute l'autorité visuelle d'un produit de luxe, transformant un objet de première nécessité en une parodie de statut et de désir. Au cœur de cette œuvre se trouve une observation culturelle brutale : lors d'une crise sanitaire mondiale, les outils de survie du quotidien – comme le gel hydroalcoolique et les masques – ont été érigés en symboles d'identité, de mode et d'accès économique. La réinterprétation par Denial du parfum Chanel en un produit de consommation à l'ère du virus confronte de front cette transformation. Cette œuvre ne se contente pas de parodier le luxe ; elle révèle comment les systèmes marketing peuvent absorber les traumatismes, les reconditionner et les revendre au public. L’étiquetage, à la manière de Chanel, est à la fois clinique et élégant, un clin d’œil à la façon dont le minimalisme visuel masque souvent la manipulation des entreprises. L'esthétique commerciale comme arme subversive La stratégie artistique de Denial repose sur le vol et la recontextualisation du langage commercial. Avec COVID No. 19, l'utilisation de lignes vectorielles nettes, de reflets lumineux réalistes et d'un design de produit précis imite la publicité jusqu'à la tromperie. Cette imitation est intentionnelle. Le spectateur est d'abord censé percevoir l'image comme authentique – tirée d'un magazine de mode ou d'une campagne de cosmétiques – avant que l'ironie du slogan ne lui apparaisse clairement. La dissonance entre la forme et le contenu invite à une critique de la tendance capitaliste à esthétiser la souffrance. Cette méthodologie visuelle s'inscrit pleinement dans l'esprit du Street Pop Art et du graffiti. Les racines de Denial dans la communication publique non autorisée et la subversion des images subculturelles demeurent présentes, même si l'œuvre se présente sous une forme d'art contemporain. L'absence de coulures de peinture ou de textures rugueuses n'atténue en rien la rébellion. Au contraire, elle réinterprète le langage graphique de la persuasion commerciale pour le subvertir de l'intérieur. Ce qui ressemble à une présentation de produit est, en réalité, une accusation visuelle. Ce n'est pas la pandémie en elle-même qui est critiquée, mais la manière dont elle est présentée. Le pop art urbain comme documentation de la pandémie COVID No. 19 fonctionne à la fois comme une satire et un témoignage historique. L'œuvre saisit un moment culturel où les outils de survie sont devenus des symboles de luxe, où la rareté était synonyme d'exclusivité et où le marketing s'étendait jusqu'aux fournitures médicales. L'œuvre de Denial illustre la manière dont les crises modernes sont non seulement vécues, mais aussi commercialisées : comment la peur de la maladie a été filtrée par les mêmes systèmes qui vendent beauté, mode et art de vivre. Le flacon de gel hydroalcoolique devient un symbole non de protection, mais de consommation. En fusionnant l'iconographie de la mode avec la réalité d'une pandémie mondiale, Denial oblige le spectateur à repenser les frontières entre design et éthique, entre marketing et survie. La simplicité visuelle de COVID No. 19 dissimule une critique subtile de la rapidité avec laquelle l'esthétique commerciale peut vider les événements de leur sens. Dans la lignée du street art et du graffiti, cette œuvre retourne les symboles familiers contre eux-mêmes, révélant la fragilité des apparences face à l'urgence humaine.

    $313.00

  • Covid No 19 Mauve Archival Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Covid No 19 Mauve Archival Print par Denial - Daniel Bombardier

    Covid No 19 - Tirage pigmentaire d'archive en édition limitée mauve sur papier d'art MOAB 290 g/m² par Graffiti Pop Art et Street Artist Denial. Édition limitée 2021, signée et numérotée à 19 exemplaires. Gel hydroalcoolique Chanel, variante mauve Covid-19. Tirage pigmentaire d'archives sur papier MOAB Fine Art 290 g/m², numéroté, signé et estampillé au verso. Format : 45,7 x 61 cm. Le déni face à la COVID-19 : Le marketing de luxe à l’ère des crises mondiales « COVID No. 19 » de Denial est une saisissante estampe pigmentaire d'archives, éditée en 2021 à seulement 19 exemplaires, chacun signé, numéroté et estampillé à la main sur papier d'art MOAB 290 g/m². L'œuvre s'approprie la forme d'un flacon de parfum Chanel N° 5, remplaçant son étiquette iconique par un nom de produit fictif : Gel hydroalcoolique COVID No. 19. D'une précision numérique extrême, l'image reconfigure l'esthétique de la haute couture pour commenter les absurdités du consumérisme à l'ère de la pandémie. Le flacon de gel hydroalcoolique est présenté avec toute l'autorité visuelle d'un produit de luxe, transformant un objet de première nécessité en une parodie de statut et de désir. Au cœur de cette œuvre se trouve une observation culturelle brutale : lors d'une crise sanitaire mondiale, les outils de survie du quotidien – comme le gel hydroalcoolique et les masques – ont été érigés en symboles d'identité, de mode et d'accès économique. La réinterprétation par Denial du parfum Chanel en un produit de consommation à l'ère du virus confronte de front cette transformation. Cette œuvre ne se contente pas de parodier le luxe ; elle révèle comment les systèmes marketing peuvent absorber les traumatismes, les reconditionner et les revendre au public. L’étiquetage, à la manière de Chanel, est à la fois clinique et élégant, un clin d’œil à la façon dont le minimalisme visuel masque souvent la manipulation des entreprises. L'esthétique commerciale comme arme subversive La stratégie artistique de Denial repose sur le vol et la recontextualisation du langage commercial. Avec COVID No. 19, l'utilisation de lignes vectorielles nettes, de reflets lumineux réalistes et d'un design de produit précis imite la publicité jusqu'à la tromperie. Cette imitation est intentionnelle. Le spectateur est d'abord censé percevoir l'image comme authentique – tirée d'un magazine de mode ou d'une campagne de cosmétiques – avant que l'ironie du slogan ne lui apparaisse clairement. La dissonance entre la forme et le contenu invite à une critique de la tendance capitaliste à esthétiser la souffrance. Cette méthodologie visuelle s'inscrit pleinement dans l'esprit du Street Pop Art et du graffiti. Les racines de Denial dans la communication publique non autorisée et la subversion des images subculturelles demeurent présentes, même si l'œuvre se présente sous une forme d'art contemporain. L'absence de coulures de peinture ou de textures rugueuses n'atténue en rien la rébellion. Au contraire, elle réinterprète le langage graphique de la persuasion commerciale pour le subvertir de l'intérieur. Ce qui ressemble à une présentation de produit est, en réalité, une accusation visuelle. Ce n'est pas la pandémie en elle-même qui est critiquée, mais la manière dont elle est présentée. Le pop art urbain comme documentation de la pandémie COVID No. 19 fonctionne à la fois comme une satire et un témoignage historique. L'œuvre saisit un moment culturel où les outils de survie sont devenus des symboles de luxe, où la rareté était synonyme d'exclusivité et où le marketing s'étendait jusqu'aux fournitures médicales. L'œuvre de Denial illustre la manière dont les crises modernes sont non seulement vécues, mais aussi commercialisées : comment la peur de la maladie a été filtrée par les mêmes systèmes qui vendent beauté, mode et art de vivre. Le flacon de gel hydroalcoolique devient un symbole non de protection, mais de consommation. En fusionnant l'iconographie de la mode avec la réalité d'une pandémie mondiale, Denial oblige le spectateur à repenser les frontières entre design et éthique, entre marketing et survie. La simplicité visuelle de COVID No. 19 dissimule une critique subtile de la rapidité avec laquelle l'esthétique commerciale peut vider les événements de leur sens. Dans la lignée du street art et du graffiti, cette œuvre retourne les symboles familiers contre eux-mêmes, révélant la fragilité des apparences face à l'urgence humaine.

    $313.00

  • Covid No 19 Orange Archival Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Covid No 19 Orange Archival Print par Denial - Daniel Bombardier

    Covid No 19 - Tirage pigmentaire d'archive en édition limitée orange sur papier d'art MOAB 290 g/m² par Graffiti Pop Art et Street Artist Denial. Édition limitée 2021, signée et numérotée à 19 exemplaires, représentant le désinfectant pour les mains Chanel orange inspiré du virus Covid-19. Tirage pigmentaire d'archives sur papier MOAB Fine Art 290 g/m², numéroté, signé et estampillé au verso. Format : 45,7 cm x 61 cm. Le déni du COVID n° 19 Orange : Consumérisme, peur et satire dans le pop art urbain L'œuvre « COVID No. 19 Orange » de Denial illustre la collision entre crise sanitaire et image de marque de luxe à travers le prisme du street art et du graffiti. Créée en 2021, au plus fort de l'angoisse liée à la pandémie mondiale, cette impression pigmentaire d'archives de 45,7 x 61 cm a été réalisée sur papier d'art MOAB 290 g/m² en édition limitée à 19 exemplaires. Chaque pièce est signée, numérotée et estampillée à la main au verso, ce qui renforce son caractère exclusif. Au centre de la composition, un flacon de parfum Chanel N° 5 est réinventé et transformé en gel hydroalcoolique portant l'inscription « COVID No. 19 ». Sur un fond orange vif, l'image interpelle immédiatement le regard tout en livrant une critique culturelle incisive. L'élégance du flacon, son bouchon à pompe chromé et son étiquette blanche minimaliste rappellent les codes visuels des publicités de haute couture. Pourtant, le texte modifié de l'étiquette – « parfum » remplacé par « gel hydroalcoolique », « Paris » par « pandémie » – transforme le luxe en absurde. La référence à Chanel évoque des aspirations de sophistication et de richesse, mais Denial instrumentalise ce symbolisme pour dénoncer la marchandisation de la peur. Dans ce monde, même un virus mortel est transformé en produit de luxe. Le gel hydroalcoolique devient un accessoire de mode, fétichisé par son design, au détriment du coût humain sous-jacent. Quand la logique du graffiti rencontre l'ironie capitaliste Denial, artiste de rue canadien connu pour son détournement du langage publicitaire et des marques de luxe, utilise la clarté graphique et l'humour comme outils de subversion. Son œuvre s'inspire souvent des codes visuels des entreprises – typographie épurée, rendu de produits, couleurs des panneaux d'affichage – mais les réinterprète dans un esprit anticapitaliste. Dans « COVID No. 19 Orange », l'arme de la critique est l'illusion du désir. Le fond orange évoque l'urgence et la vigilance, à l'instar d'un panneau de danger ou d'un écran d'alerte, tout en contrastant avec le minimalisme froid de la bouteille. L'effet est à la fois ludique et dérangeant. Ce type de satire s'inscrit dans la tradition du graffiti comme moyen de communication contestataire. Bien que l'œuvre soit réalisée avec des matériaux d'art et des techniques d'impression de qualité galerie, son message fonctionne comme un graffiti culturel, étiquetant l'esthétique des entreprises de vérités subversives. Le lissage de l'image imite les systèmes mêmes qu'elle critique, brouillant la frontière entre participation et protestation. Le spectateur est d'abord attiré par l'illusion du glamour avant d'en percevoir le vide sous-jacent. Le pop art urbain comme commentaire social à l'ère de la pandémie L'utilisation du terme COVID n° 19 au lieu de n° 5 imite habilement les conventions de dénomination pharmaceutique et le marketing de l'industrie de la mode. Ce jeu de miroirs linguistiques est essentiel à l'impact de l'œuvre, soulignant comment le langage marketing s'infiltre même dans les aspects les plus tragiques de la vie publique. La pandémie n'est pas qu'une simple crise sanitaire : elle est rebaptisée, revendue et réinventée à travers le prisme de la consommation. L'œuvre d'art, en l'occurrence, fait office de capsule temporelle d'une époque marquée par la panique et la marchandisation. « COVID n° 19 Orange » incarne l'essence du street art et du graffiti en utilisant des symboles culturels familiers pour confronter des réalités dérangeantes. Le déni ne présente pas le virus comme un ennemi biologique, mais comme un spectacle marchandisé. La réinterprétation par l'artiste du flacon de parfum Chanel est plus qu'une parodie : c'est une affirmation que même une catastrophe peut être transformée en produit de luxe. L'œuvre critique la société de consommation et renvoie l'image du public qui la consomme, interrogeant non seulement ce que nous achetons, mais aussi ce qui nous est vendu.

    $313.00

  • Covid No 19 Rose Archival Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Covid No 19 Rose Archival Print par Denial - Daniel Bombardier

    Covid No 19 - Rose, édition limitée, impression pigmentaire d'archives sur papier d'art MOAB 290 g/m² par Graffiti Pop Art et Street Artist Denial. Édition limitée 2021 signée et numérotée à 19 exemplaires : Gel hydroalcoolique Chanel Rose Covid-19 (variante Virus). Tirage pigmentaire d'archives sur papier MOAB Fine Art 290 g/m², numéroté, signé et estampillé au verso. Format : 45,7 x 61 cm. Le déni face à la COVID-19 : Le marketing de luxe à l’ère des crises mondiales « COVID No. 19 » de Denial est une saisissante estampe pigmentaire d'archives, éditée en 2021 à seulement 19 exemplaires, chacun signé, numéroté et estampillé à la main sur papier d'art MOAB 290 g/m². L'œuvre s'approprie la forme d'un flacon de parfum Chanel N° 5, remplaçant son étiquette iconique par un nom de produit fictif : Gel hydroalcoolique COVID No. 19. D'une précision numérique extrême, l'image reconfigure l'esthétique de la haute couture pour commenter les absurdités du consumérisme à l'ère de la pandémie. Le flacon de gel hydroalcoolique est présenté avec toute l'autorité visuelle d'un produit de luxe, transformant un objet de première nécessité en une parodie de statut et de désir. Au cœur de cette œuvre se trouve une observation culturelle brutale : lors d'une crise sanitaire mondiale, les outils de survie du quotidien – comme le gel hydroalcoolique et les masques – ont été érigés en symboles d'identité, de mode et d'accès économique. La réinterprétation par Denial du parfum Chanel en un produit de consommation à l'ère du virus confronte de front cette transformation. Cette œuvre ne se contente pas de parodier le luxe ; elle révèle comment les systèmes marketing peuvent absorber les traumatismes, les reconditionner et les revendre au public. L’étiquetage, à la manière de Chanel, est à la fois clinique et élégant, un clin d’œil à la façon dont le minimalisme visuel masque souvent la manipulation des entreprises. L'esthétique commerciale comme arme subversive La stratégie artistique de Denial repose sur le vol et la recontextualisation du langage commercial. Avec COVID No. 19, l'utilisation de lignes vectorielles nettes, de reflets lumineux réalistes et d'un design de produit précis imite la publicité jusqu'à la tromperie. Cette imitation est intentionnelle. Le spectateur est d'abord censé percevoir l'image comme authentique – tirée d'un magazine de mode ou d'une campagne de cosmétiques – avant que l'ironie du slogan ne lui apparaisse clairement. La dissonance entre la forme et le contenu invite à une critique de la tendance capitaliste à esthétiser la souffrance. Cette méthodologie visuelle s'inscrit pleinement dans l'esprit du Street Pop Art et du graffiti. Les racines de Denial dans la communication publique non autorisée et la subversion des images subculturelles demeurent présentes, même si l'œuvre se présente sous une forme d'art contemporain. L'absence de coulures de peinture ou de textures rugueuses n'atténue en rien la rébellion. Au contraire, elle réinterprète le langage graphique de la persuasion commerciale pour le subvertir de l'intérieur. Ce qui ressemble à une présentation de produit est, en réalité, une accusation visuelle. Ce n'est pas la pandémie en elle-même qui est critiquée, mais la manière dont elle est présentée. Le pop art urbain comme documentation de la pandémie COVID No. 19 fonctionne à la fois comme une satire et un témoignage historique. L'œuvre saisit un moment culturel où les outils de survie sont devenus des symboles de luxe, où la rareté était synonyme d'exclusivité et où le marketing s'étendait jusqu'aux fournitures médicales. L'œuvre de Denial illustre la manière dont les crises modernes sont non seulement vécues, mais aussi commercialisées : comment la peur de la maladie a été filtrée par les mêmes systèmes qui vendent beauté, mode et art de vivre. Le flacon de gel hydroalcoolique devient un symbole non de protection, mais de consommation. En fusionnant l'iconographie de la mode avec la réalité d'une pandémie mondiale, Denial oblige le spectateur à repenser les frontières entre design et éthique, entre marketing et survie. La simplicité visuelle de COVID No. 19 dissimule une critique subtile de la rapidité avec laquelle l'esthétique commerciale peut vider les événements de leur sens. Dans la lignée du street art et du graffiti, cette œuvre retourne les symboles familiers contre eux-mêmes, révélant la fragilité des apparences face à l'urgence humaine.

    $313.00

  • Covid No 19 Rouge Archival Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Impression d'archives Covid No 19 Rouge par Denial - Daniel Bombardier

    Covid No 19 - Rouge Édition Limitée Tirage Pigmentaire d'Archives sur Papier Beaux-Arts MOAB 290 g/m² par Graffiti Pop Art et Street Artist Denial. Édition limitée 2021, signée et numérotée à 19 exemplaires : Rouge Covid19 Chanel, désinfectant pour les mains inspiré du virus. Tirage pigmentaire d'archives sur papier MOAB Fine Art 290 g/m², numéroté, signé et estampillé au verso. Format : 45,7 cm x 61 cm. Le déni face à la COVID-19 : Le marketing de luxe à l’ère des crises mondiales « COVID No. 19 » de Denial est une saisissante estampe pigmentaire d'archives, éditée en 2021 à seulement 19 exemplaires, chacun signé, numéroté et estampillé à la main sur papier d'art MOAB 290 g/m². L'œuvre s'approprie la forme d'un flacon de parfum Chanel N° 5, remplaçant son étiquette iconique par un nom de produit fictif : Gel hydroalcoolique COVID No. 19. D'une précision numérique extrême, l'image reconfigure l'esthétique de la haute couture pour commenter les absurdités du consumérisme à l'ère de la pandémie. Le flacon de gel hydroalcoolique est présenté avec toute l'autorité visuelle d'un produit de luxe, transformant un objet de première nécessité en une parodie de statut et de désir. Au cœur de cette œuvre se trouve une observation culturelle brutale : lors d'une crise sanitaire mondiale, les outils de survie du quotidien – comme le gel hydroalcoolique et les masques – ont été érigés en symboles d'identité, de mode et d'accès économique. La réinterprétation par Denial du parfum Chanel en un produit de consommation à l'ère du virus confronte de front cette transformation. Cette œuvre ne se contente pas de parodier le luxe ; elle révèle comment les systèmes marketing peuvent absorber les traumatismes, les reconditionner et les revendre au public. L’étiquetage, à la manière de Chanel, est à la fois clinique et élégant, un clin d’œil à la façon dont le minimalisme visuel masque souvent la manipulation des entreprises. L'esthétique commerciale comme arme subversive La stratégie artistique de Denial repose sur le vol et la recontextualisation du langage commercial. Avec COVID No. 19, l'utilisation de lignes vectorielles nettes, de reflets lumineux réalistes et d'un design de produit précis imite la publicité jusqu'à la tromperie. Cette imitation est intentionnelle. Le spectateur est d'abord censé percevoir l'image comme authentique – tirée d'un magazine de mode ou d'une campagne de cosmétiques – avant que l'ironie du slogan ne lui apparaisse clairement. La dissonance entre la forme et le contenu invite à une critique de la tendance capitaliste à esthétiser la souffrance. Cette méthodologie visuelle s'inscrit pleinement dans l'esprit du Street Pop Art et du graffiti. Les racines de Denial dans la communication publique non autorisée et la subversion des images subculturelles demeurent présentes, même si l'œuvre se présente sous une forme d'art contemporain. L'absence de coulures de peinture ou de textures rugueuses n'atténue en rien la rébellion. Au contraire, elle réinterprète le langage graphique de la persuasion commerciale pour le subvertir de l'intérieur. Ce qui ressemble à une présentation de produit est, en réalité, une accusation visuelle. Ce n'est pas la pandémie en elle-même qui est critiquée, mais la manière dont elle est présentée. Le pop art urbain comme documentation de la pandémie COVID No. 19 fonctionne à la fois comme une satire et un témoignage historique. L'œuvre saisit un moment culturel où les outils de survie sont devenus des symboles de luxe, où la rareté était synonyme d'exclusivité et où le marketing s'étendait jusqu'aux fournitures médicales. L'œuvre de Denial illustre la manière dont les crises modernes sont non seulement vécues, mais aussi commercialisées : comment la peur de la maladie a été filtrée par les mêmes systèmes qui vendent beauté, mode et art de vivre. Le flacon de gel hydroalcoolique devient un symbole non de protection, mais de consommation. En fusionnant l'iconographie de la mode avec la réalité d'une pandémie mondiale, Denial oblige le spectateur à repenser les frontières entre design et éthique, entre marketing et survie. La simplicité visuelle de COVID No. 19 dissimule une critique subtile de la rapidité avec laquelle l'esthétique commerciale peut vider les événements de leur sens. Dans la lignée du street art et du graffiti, cette œuvre retourne les symboles familiers contre eux-mêmes, révélant la fragilité des apparences face à l'urgence humaine.

    $313.00

  • Covid No 19 Sarcelle Archival Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Covid No 19 Sarcelle Archival Print par Denial- Daniel Bombardier

    Covid No 19 - Sarcelle Limited Edition Archival Pigment Print sur papier d'art MOAB 290 g/m² par Graffiti Pop Art et Street Artist Denial. Édition limitée 2021 signée et numérotée à 19 exemplaires : Sarcelle Covid19 Chanel, désinfectant pour les mains inspiré du virus. Tirage pigmentaire d'archives sur papier MOAB Fine Art 290 g/m², numéroté, signé et estampillé au verso. Format : 45,7 cm x 61 cm. Le déni face à la COVID-19 : Le marketing de luxe à l’ère des crises mondiales « COVID No. 19 » de Denial est une saisissante estampe pigmentaire d'archives, éditée en 2021 à seulement 19 exemplaires, chacun signé, numéroté et estampillé à la main sur papier d'art MOAB 290 g/m². L'œuvre s'approprie la forme d'un flacon de parfum Chanel N° 5, remplaçant son étiquette iconique par un nom de produit fictif : Gel hydroalcoolique COVID No. 19. D'une précision numérique extrême, l'image reconfigure l'esthétique de la haute couture pour commenter les absurdités du consumérisme à l'ère de la pandémie. Le flacon de gel hydroalcoolique est présenté avec toute l'autorité visuelle d'un produit de luxe, transformant un objet de première nécessité en une parodie de statut et de désir. Au cœur de cette œuvre se trouve une observation culturelle brutale : lors d'une crise sanitaire mondiale, les outils de survie du quotidien – comme le gel hydroalcoolique et les masques – ont été érigés en symboles d'identité, de mode et d'accès économique. La réinterprétation par Denial du parfum Chanel en un produit de consommation à l'ère du virus confronte de front cette transformation. Cette œuvre ne se contente pas de parodier le luxe ; elle révèle comment les systèmes marketing peuvent absorber les traumatismes, les reconditionner et les revendre au public. L’étiquetage, à la manière de Chanel, est à la fois clinique et élégant, un clin d’œil à la façon dont le minimalisme visuel masque souvent la manipulation des entreprises. L'esthétique commerciale comme arme subversive La stratégie artistique de Denial repose sur le vol et la recontextualisation du langage commercial. Avec COVID No. 19, l'utilisation de lignes vectorielles nettes, de reflets lumineux réalistes et d'un design de produit précis imite la publicité jusqu'à la tromperie. Cette imitation est intentionnelle. Le spectateur est d'abord censé percevoir l'image comme authentique – tirée d'un magazine de mode ou d'une campagne de cosmétiques – avant que l'ironie du slogan ne lui apparaisse clairement. La dissonance entre la forme et le contenu invite à une critique de la tendance capitaliste à esthétiser la souffrance. Cette méthodologie visuelle s'inscrit pleinement dans l'esprit du Street Pop Art et du graffiti. Les racines de Denial dans la communication publique non autorisée et la subversion des images subculturelles demeurent présentes, même si l'œuvre se présente sous une forme d'art contemporain. L'absence de coulures de peinture ou de textures rugueuses n'atténue en rien la rébellion. Au contraire, elle réinterprète le langage graphique de la persuasion commerciale pour le subvertir de l'intérieur. Ce qui ressemble à une présentation de produit est, en réalité, une accusation visuelle. Ce n'est pas la pandémie en elle-même qui est critiquée, mais la manière dont elle est présentée. Le pop art urbain comme documentation de la pandémie COVID No. 19 fonctionne à la fois comme une satire et un témoignage historique. L'œuvre saisit un moment culturel où les outils de survie sont devenus des symboles de luxe, où la rareté était synonyme d'exclusivité et où le marketing s'étendait jusqu'aux fournitures médicales. L'œuvre de Denial illustre la manière dont les crises modernes sont non seulement vécues, mais aussi commercialisées : comment la peur de la maladie a été filtrée par les mêmes systèmes qui vendent beauté, mode et art de vivre. Le flacon de gel hydroalcoolique devient un symbole non de protection, mais de consommation. En fusionnant l'iconographie de la mode avec la réalité d'une pandémie mondiale, Denial oblige le spectateur à repenser les frontières entre design et éthique, entre marketing et survie. La simplicité visuelle de COVID No. 19 dissimule une critique subtile de la rapidité avec laquelle l'esthétique commerciale peut vider les événements de leur sens. Dans la lignée du street art et du graffiti, cette œuvre retourne les symboles familiers contre eux-mêmes, révélant la fragilité des apparences face à l'urgence humaine.

    $313.00

  • Covid No 19 Verte Archival Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Impression d'archives Covid No 19 Verte par Denial - Daniel Bombardier

    Covid No 19 - Verte Limited Edition Archival Pigment Print on 290gsm MOAB Fine Art Paper by Graffiti Pop Art and Street Artist Denial. Édition limitée 2021 signée et numérotée à 19 exemplaires : Gel hydroalcoolique Chanel Verte Covid-19 (variante Virus). Tirage pigmentaire d'archives numéroté, signé et estampillé au verso sur papier d'art MOAB 290 g/m², format 45,7 x 61 cm. Le déni face à la COVID-19 : Le marketing de luxe à l’ère des crises mondiales « COVID No. 19 » de Denial est une saisissante estampe pigmentaire d'archives, éditée en 2021 à seulement 19 exemplaires, chacun signé, numéroté et estampillé à la main sur papier d'art MOAB 290 g/m². L'œuvre s'approprie la forme d'un flacon de parfum Chanel N° 5, remplaçant son étiquette iconique par un nom de produit fictif : Gel hydroalcoolique COVID No. 19. D'une précision numérique extrême, l'image reconfigure l'esthétique de la haute couture pour commenter les absurdités du consumérisme à l'ère de la pandémie. Le flacon de gel hydroalcoolique est présenté avec toute l'autorité visuelle d'un produit de luxe, transformant un objet de première nécessité en une parodie de statut et de désir. Au cœur de cette œuvre se trouve une observation culturelle brutale : lors d'une crise sanitaire mondiale, les outils de survie du quotidien – comme le gel hydroalcoolique et les masques – ont été érigés en symboles d'identité, de mode et d'accès économique. La réinterprétation par Denial du parfum Chanel en un produit de consommation à l'ère du virus confronte de front cette transformation. Cette œuvre ne se contente pas de parodier le luxe ; elle révèle comment les systèmes marketing peuvent absorber les traumatismes, les reconditionner et les revendre au public. L’étiquetage, à la manière de Chanel, est à la fois clinique et élégant, un clin d’œil à la façon dont le minimalisme visuel masque souvent la manipulation des entreprises. L'esthétique commerciale comme arme subversive La stratégie artistique de Denial repose sur le vol et la recontextualisation du langage commercial. Avec COVID No. 19, l'utilisation de lignes vectorielles nettes, de reflets lumineux réalistes et d'un design de produit précis imite la publicité jusqu'à la tromperie. Cette imitation est intentionnelle. Le spectateur est d'abord censé percevoir l'image comme authentique – tirée d'un magazine de mode ou d'une campagne de cosmétiques – avant que l'ironie du slogan ne lui apparaisse clairement. La dissonance entre la forme et le contenu invite à une critique de la tendance capitaliste à esthétiser la souffrance. Cette méthodologie visuelle s'inscrit pleinement dans l'esprit du Street Pop Art et du graffiti. Les racines de Denial dans la communication publique non autorisée et la subversion des images subculturelles demeurent présentes, même si l'œuvre se présente sous une forme d'art contemporain. L'absence de coulures de peinture ou de textures rugueuses n'atténue en rien la rébellion. Au contraire, elle réinterprète le langage graphique de la persuasion commerciale pour le subvertir de l'intérieur. Ce qui ressemble à une présentation de produit est, en réalité, une accusation visuelle. Ce n'est pas la pandémie en elle-même qui est critiquée, mais la manière dont elle est présentée. Le pop art urbain comme documentation de la pandémie COVID No. 19 fonctionne à la fois comme une satire et un témoignage historique. L'œuvre saisit un moment culturel où les outils de survie sont devenus des symboles de luxe, où la rareté était synonyme d'exclusivité et où le marketing s'étendait jusqu'aux fournitures médicales. L'œuvre de Denial illustre la manière dont les crises modernes sont non seulement vécues, mais aussi commercialisées : comment la peur de la maladie a été filtrée par les mêmes systèmes qui vendent beauté, mode et art de vivre. Le flacon de gel hydroalcoolique devient un symbole non de protection, mais de consommation. En fusionnant l'iconographie de la mode avec la réalité d'une pandémie mondiale, Denial oblige le spectateur à repenser les frontières entre design et éthique, entre marketing et survie. La simplicité visuelle de COVID No. 19 dissimule une critique subtile de la rapidité avec laquelle l'esthétique commerciale peut vider les événements de leur sens. Dans la lignée du street art et du graffiti, cette œuvre retourne les symboles familiers contre eux-mêmes, révélant la fragilité des apparences face à l'urgence humaine.

    $313.00

  • Credit Limit Bank of Ugh-Merica Archival Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Credit Limit Bank of Ugh-Merica Archival Print par Denial- Daniel Bombardier

    Limite de crédit - Bank of Ugh-Merica Tirage d'art pigmentaire d'archives en édition limitée sur papier d'art MOAB 290 g/m² par Legend Street Art et Modern Pop Culture Artist Denial. Limite de crédit - Bank of Ugh-Merica. Œuvre d'art sur le thème de la carte de crédit. Numérotée, signée, tamponnée au verso, édition limitée à 25 exemplaires, 24 x 18 pouces, impression pigmentaire d'archives sur papier d'art MOAB 290 g/m². Limite de crédit : Refus de la Banque d'Ugh-Merica « Credit Limit : Bank of Ugh-Merica » est une puissante estampe d'art pigmentaire de qualité archivistique, créée par Daniel Bombardier, alias Denial, artiste de street art, pop art et culture contemporaine. Tirée à seulement 25 exemplaires, cette œuvre reflète la critique acerbe que Denial adresse au consumérisme et aux systèmes financiers qui dominent la vie moderne. Imprimée sur papier d'art MOAB 290 g/m², cette pièce de 61 x 46 cm (24 x 18 pouces) combine couleurs vives, références à la culture pop et imagerie satirique pour interroger la perception du spectateur sur la richesse, le crédit et les valeurs sociétales. Chaque estampe est signée, numérotée et estampillée au verso, ce qui en fait une pièce de collection très recherchée par les amateurs de street art, de pop art et de graffiti. Le commentaire visuel sur le consumérisme Credit Limit : Bank of Ugh-Merica transforme le design emblématique d'une carte de crédit en une critique acerbe du système financier et de la société de consommation américaine. La figure centrale – une femme au visage peint du drapeau américain – symbolise l'attrait et le fardeau du patriotisme, intimement liés à l'identité économique. Son expression exagérée traduit la désillusion, reflétant le poids émotionnel de l'endettement et de la dépendance financière. Le remplacement du logo habituel de la carte de crédit par la version satirique de Denial met en lumière le décalage entre les promesses de prospérité et les réalités des inégalités économiques. Cette œuvre illustre à merveille la capacité du pop art urbain à délivrer un commentaire social pertinent grâce à des codes visuels familiers. L'approche du déni face à l'art de la culture pop moderne L'artiste canadien Daniel Bombardier s'est fait connaître en critiquant la société de consommation, la politique et les normes sociales à travers son art urbain pop et ses graffitis. Son œuvre « Credit Limit : Bank of Ugh-Merica » illustre parfaitement son style caractéristique, alliant des éléments graphiques audacieux à des thèmes qui invitent à la réflexion. En s'appropriant l'imagerie de la carte de crédit – symbole de richesse et de statut social –, « Denial » invite le spectateur à reconsidérer les systèmes qu'il tient pour acquis. Son souci du détail, de l'impression pigmentaire d'archives d'une netteté exceptionnelle au papier d'art MOAB de haute qualité, garantit la clarté et l'impact du message. La pertinence culturelle de la limite de crédit Cette œuvre trouve un écho particulier à une époque où les débats sur les inégalités économiques, l'endettement et les habitudes de consommation sont plus que jamais d'actualité. « Credit Limit : Bank of Ugh-Merica » critique non seulement les structures qui perpétuent les inégalités, mais interroge également l'obsession culturelle pour la richesse matérielle et le pouvoir financier. Son édition limitée renforce son importance et en fait une œuvre à la fois artistique et culturelle. Témoignant de la capacité de Denial à fusionner humour, critique et culture pop en une œuvre cohérente et percutante, elle atteste du pouvoir durable du street art et du graffiti pour remettre en question les normes sociales.

    $385.00

  • Credit Limit Black in the Red Archival Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Limite de crédit Noir dans le rouge Impression d'archives par Denial - Daniel Bombardier

    Credit Limit - Black in the Red, tirage d'art pigmentaire d'archive en édition limitée sur papier d'art MOAB 290 g/m² par Legend Street Art et Modern Pop Culture Artist Denial. Limite de crédit - Black in the Red, œuvre d'art sur le thème de la carte de crédit. Numérotée, signée, tamponnée au verso, édition limitée à 25 exemplaires, 24 x 18 pouces, impression pigmentaire d'archives sur papier d'art MOAB 290 g/m². L'art de Denial est profondément politique et social, l'artiste prenant position contre des problématiques telles que le capitalisme, la société de consommation et la publicité. Plus important encore, il est conscient de ses choix et de ses motivations : « Je me considère comme un artiste pop engagé. Mon rapport aux dessins animés et aux illustrations est bien plus simple qu'avec le photoréalisme. » L'humour est un autre aspect essentiel du travail de Denial. Son œuvre est satirique, ce qui signifie, par définition, qu'elle utilise l'humour comme outil de confrontation.

    $385.00

  • Credit Limit Chase Your Tail Archival Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Limite de crédit Chase Your Tail Archival Print par Denial - Daniel Bombardier

    Credit Limit - Chase Your Tail, tirage d'art pigmentaire d'archive en édition limitée sur papier d'art MOAB 290 g/m² par Legend Street Art et Modern Pop Culture Artist Denial. Limite de crédit - À vous de jouer ! Œuvre d'art sur le thème de la carte de crédit. Numérotée, signée, tamponnée au verso, édition limitée à 25 exemplaires, 24 x 18 pouces, impression pigmentaire d'archives sur papier d'art MOAB 290 g/m². Limite de crédit : Courir après sa queue par refus « Credit Limit: Chase Your Tail » illustre parfaitement la capacité de Denial à fusionner humour, critique et nostalgie en une œuvre percutante, à travers le street art et le graffiti. Ce tirage d'art pigmentaire de 61 x 46 cm (24 x 18 pouces) est une édition limitée à 25 exemplaires, numérotés, signés et estampillés au verso, imprimés sur papier d'art MOAB 290 g/m². Créée par l'artiste canadien Daniel Bombardier, alias Denial, cette œuvre poursuit son exploration de la culture de consommation et des constructions sociales, mêlant références à la pop culture et commentaire social incisif. Le format d'une carte de crédit est utilisé pour critiquer les systèmes financiers et les comportements humains dans un monde consumériste. Profondeur thématique et symbolisme Chase Your Tail réinvente la carte de crédit avec une touche fantastique, mettant en scène un loup-garou féroce serrant un sac d'argent. Cette image symbolise la quête effrénée de la richesse et la nature prédatrice des systèmes financiers. Le loup-garou, symbole de transformation et d'instinct sauvage, devient une métaphore des pulsions primaires et souvent destructrices qui sous-tendent le consumérisme. Le design de la carte, avec sa réinterprétation ludique d'une marque familière, souligne le cycle infernal de la recherche de la stabilité financière, tout en restant prisonnier des dettes et du matérialisme. Cette œuvre invite à réfléchir aux conséquences personnelles et sociétales de ces aspirations, tout en conservant l'esthétique audacieuse et accessible du pop art urbain. La perspective artistique du déni L'œuvre de Daniel Bombardier est reconnue pour son esprit, son impact visuel et sa capacité à critiquer les problématiques contemporaines. « Chase Your Tail » illustre son talent pour transformer des symboles du quotidien en œuvres d'art percutantes. En intégrant le format universellement reconnaissable d'une carte de crédit, Denial attire l'attention sur la manière dont la société de consommation façonne l'identité et les comportements. Son utilisation de couleurs vibrantes et d'éléments graphiques reflète l'influence du graffiti, tandis que la minutie de l'impression pigmentaire d'archives témoigne de son souci de la qualité. Cette alliance de savoir-faire exceptionnel et de thèmes provocateurs est la marque de fabrique de l'approche de Denial en matière de pop art urbain contemporain. L'impact culturel de Chase Your Tail « Chase Your Tail » trouve un écho auprès du public en abordant les thèmes de l'avidité, du pouvoir et de la nature cyclique du consumérisme. L'œuvre critique les systèmes financiers qui perpétuent les inégalités et l'obsession culturelle de la richesse, en présentant ces idées dans un format à la fois accessible et percutant. Le tirage en édition limitée renforce sa valeur de collection, tandis que le message de l'œuvre reste pertinent dans un monde de plus en plus dominé par le crédit, la dette et les disparités économiques. Cette œuvre témoigne de la capacité de Denial à utiliser le street art et le graffiti pour questionner les normes sociales et susciter des débats essentiels.

    $385.00

  • Credit Limit Chasing The Blues Archival Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Credit Limit Chasing The Blues Archival Print par Denial- Daniel Bombardier

    Credit Limit - Chasing The Blues, tirage d'art pigmentaire d'archive en édition limitée sur papier d'art MOAB 290 g/m² par Legend Street Art et Modern Pop Culture Artist Denial. 2020 Credit Limit - Chasing The Blues : une œuvre d'art sur le thème des cartes de crédit. Numérotée, signée, tamponnée au verso, édition limitée à 25 exemplaires, 24 x 18 pouces, impression pigmentaire d'archives sur papier d'art MOAB 290 g/m². Limite de crédit : Chasser le blues par le refus « Credit Limit : Chasing The Blues » est une estampe d'art pigmentaire d'archives provocatrice de Daniel Bombardier, alias Denial. Créée en 2020, cette œuvre fait partie de sa série emblématique « Credit Limit », qui critique la société de consommation et l'impact psychologique des systèmes financiers. L'estampe mesure 61 x 46 cm et est imprimée sur papier d'art MOAB 290 g/m², reconnu pour sa qualité et sa durabilité exceptionnelles. Tirée à seulement 25 exemplaires, chaque estampe est signée, numérotée et estampillée au verso, garantissant son exclusivité et son attrait pour les collectionneurs d'art urbain et de graffiti. Le langage visuel de Chasing The Blues « Chasing The Blues » s'approprie le design familier d'une carte de crédit et le transforme en une métaphore visuelle saisissante des fardeaux émotionnels et financiers liés à la société de consommation moderne. La figure centrale – une femme en détresse, représentée dans des tons de bleu vibrants – souligne le poids émotionnel de la quête de stabilité financière dans un monde de plus en plus marqué par l'endettement. Son expression d'anxiété et de désespoir contraste fortement avec le design épuré et impersonnel de la carte de crédit en arrière-plan. Par cette juxtaposition, « Denial » critique l'illusion de luxe et de liberté souvent associée au crédit et met en lumière les difficultés cachées qu'il engendre. Le souci du détail et le style graphique audacieux rendent cette œuvre à la fois visuellement captivante et thématiquement profonde. La vision artistique du déni Daniel Bombardier est un artiste canadien dont l'œuvre explore souvent les thèmes du consumérisme, du capitalisme et des constructions sociales. « Chasing The Blues » illustre sa capacité à utiliser l'humour, l'ironie et l'imagerie de la culture populaire pour formuler des critiques percutantes. L'utilisation d'une carte de crédit comme motif central témoigne de son talent pour transformer des objets du quotidien en œuvres d'art qui invitent à la réflexion. La fusion du street art et de l'esthétique du graffiti opérée dans « Denial » donne naissance à des œuvres à la fois accessibles et profondément marquantes. L'impression pigmentaire d'archives sur papier MOAB de haute qualité garantit la vivacité et la longévité de son œuvre, en faisant une pièce maîtresse de toute collection. La pertinence culturelle de la limite de crédit : à la poursuite du blues « Chasing The Blues » trouve un écho particulier dans une société où angoisse financière et aspirations matérielles sont souvent intimement liées. En mêlant symbolisme d'entreprise et émotion humaine brute, Denial invite le spectateur à s'interroger sur le coût du consumérisme et les pressions des systèmes économiques modernes. Cette œuvre d'art constitue à la fois une critique et une réflexion sur l'influence omniprésente du crédit et de la dette dans la vie contemporaine. Tirée d'une édition limitée, elle revêt une valeur considérable, non seulement en tant qu'objet de collection, mais aussi en tant que témoignage culturel des luttes de son époque. Le travail de Denial continue de bousculer les conventions et de susciter le dialogue, confortant ainsi sa place de figure majeure du street art et du graffiti.

    $385.00

  • Credit Limit Less is More Archival Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Limite de crédit Moins c'est plus Impression d'archives par Denial- Daniel Bombardier

    Credit Limit - Less is More, tirage d'art pigmentaire d'archive en édition limitée sur papier d'art MOAB 290 g/m² par Legend Street Art et Modern Pop Culture Artist Denial. 2020 Credit Limit - Moins, c'est mieux. Œuvre d'art sur le thème de la carte de crédit. Numérotée, signée, tamponnée au verso, édition limitée à 25 exemplaires, 24 x 18 pouces, impression pigmentaire d'archives sur papier d'art MOAB 290 g/m². Limite de crédit : Moins, c’est mieux (refus) « Credit Limit : Less is More » est une estampe d'art captivante, réalisée sur papier pigmentaire d'archives, par l'artiste canadien de street art et de graffiti Daniel Bombardier, alias Denial. Cette œuvre, qui fait partie de sa série « Credit Limit », est une critique audacieuse de la société de consommation, de la dépendance financière et de l'influence omniprésente des marques dans la société moderne. Créée en 2020, cette pièce de 61 x 46 cm est imprimée sur papier d'art MOAB 290 g/m², garantissant une précision et une vivacité des couleurs exceptionnelles. Chaque exemplaire, tiré à 25 exemplaires seulement, est signé, numéroté et estampillé au verso, ce qui en fait une pièce de collection très recherchée par les amateurs d'art. Le commentaire visuel de Moins c'est plus « Less is More » transforme le design familier d'une carte de crédit en une œuvre d'art provocatrice qui remet en question les normes et les valeurs sociétales. La figure centrale, une femme à la peau verte et à l'expression mélancolique, est une réinterprétation saisissante du pop art. Son apparence stylisée, avec ses motifs en demi-teintes et ses couleurs vives, évoque l'esthétique graphique des bandes dessinées du milieu du XXe siècle. Le design de la carte de crédit présente des éléments et des logos habilement détournés pour refléter la critique du consumérisme formulée par Denial et les contradictions inhérentes à l'expression « moins, c'est plus ». La carte du monde en arrière-plan suggère la portée mondiale des systèmes financiers et leur influence sur les vies individuelles. Par la combinaison de ces éléments, l'œuvre propose une exploration nuancée de l'impact émotionnel et culturel du matérialisme. L'approche artistique unique du déni L'œuvre de Daniel Bombardier est reconnue pour sa capacité à mêler humour, satire et références à la culture populaire en des créations qui invitent à la réflexion. « Less is More » illustre son talent pour transformer des objets du quotidien en vecteurs de critique sociale. L'utilisation d'une carte de crédit comme élément central de l'œuvre témoigne de l'omniprésence du consumérisme et de son impact sur l'identité et les valeurs. Le souci du détail dans « Denial », de la netteté de l'impression pigmentaire d'archives au jeu dynamique des couleurs, confère à l'œuvre une force visuelle saisissante et une grande richesse thématique. Sa fusion du street art et du graffiti continue d'inciter le public à repenser son rapport à la société de consommation. La signification culturelle de la limite de crédit : moins, c'est mieux « Less is More » explore le paradoxe entre aspirations matérielles et conséquences psychologiques de la société de consommation. L'œuvre critique l'idée d'assimiler réussite financière et épanouissement personnel, soulignant la dissonance émotionnelle souvent associée à la quête de la richesse. Intégrée à la série « Credit Limit », cette œuvre renforce le propos de Denial sur les systèmes et idéologies qui façonnent la vie moderne. Son édition limitée souligne son exclusivité et sa valeur artistique, suscitant non seulement une forte résonance esthétique, mais aussi des débats essentiels. La capacité de Denial à conjuguer visuels audacieux et messages profonds fait de « Less is More » une œuvre phare du street art et du graffiti contemporains.

    $385.00

  • Credit Limit Until Debt Do Us Part Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Limite de crédit jusqu'à ce que la dette nous sépare Print by Denial- Daniel Bombardier

    Limite de crédit - Jusqu'à ce que les dettes nous séparent. Tirage d'art en édition limitée, pigmentaire et d'archives, sur papier d'art MOAB 290 g/m² par Legend Street Art et Modern Pop Culture Artist Denial. 2020 Credit Limit - Jusqu'à ce que les dettes nous séparent. Œuvre d'art sur le thème de la carte de crédit. Numérotée, signée, tamponnée au verso, édition de 25 exemplaires, 24 x 18 pouces, impression pigmentaire d'archives sur papier d'art MOAB 290 g/m². Limite de crédit : Jusqu’à ce que la dette nous sépare (refus) « Credit Limit : Until Debt Do Us Part » est une estampe d'art pigmentaire de qualité archivistique, une œuvre qui invite à la réflexion. Créée par l'artiste canadien de street art et de graffiti Daniel Bombardier, alias Denial, cette pièce, parue en 2020, fait partie de sa série emblématique « Credit Limit », qui critique le consumérisme et le lien profondément ancré entre amour, mariage et dépendance financière. Mesurant 61 x 46 cm et imprimée sur papier d'art MOAB 290 g/m², cette édition limitée est signée, numérotée et estampillée au verso. Seulement 25 exemplaires sont disponibles. L'œuvre allie un visuel saisissant à un commentaire social incisif, ce qui en fait un exemple remarquable du style caractéristique de Denial. Explorer l'amour et le consumérisme à travers le pop art « Jusqu'à ce que les dettes nous séparent » présente une étreinte romantique entre un couple, sur fond d'un motif inspiré d'une carte de crédit American Express. La juxtaposition de l'amour et de l'engagement financier met en lumière la dimension monétaire, souvent négligée, des relations. La pose intime du couple, rendue dans des couleurs vibrantes et un style graphique rappelant la bande dessinée, traduit la passion et la tendresse. Cependant, la carte de crédit en arrière-plan rappelle brutalement les réalités financières qui peuvent influencer et compliquer les relations. Cette dualité entre émotion et matérialisme invite les spectateurs à réfléchir aux implications culturelles et personnelles de l'amalgame entre amour et obligations économiques. L'approche artistique unique du déni L'œuvre de Daniel Bombardier est reconnue pour sa fusion d'imagerie pop et de critique sociale. « Until Debt Do Us Part » illustre sa capacité à réinterpréter des symboles du quotidien en œuvres artistiques percutantes. Le design, inspiré d'American Express, souligne l'omniprésence des institutions financières dans la vie moderne, tandis que l'imagerie romantique confère une profondeur émotionnelle qui touche le public. L'utilisation d'une impression pigmentaire d'archivage garantit la préservation des couleurs éclatantes et des détails précis, tandis que le papier MOAB 290 g/m² sublime la qualité visuelle et tactile de l'œuvre. En combinant des éléments de street art et de graffiti, « Until Debt Do Us Part » crée une œuvre à la fois captivante visuellement et intellectuellement stimulante. La pertinence culturelle de « Jusqu'à ce que la dette nous sépare » Cette œuvre explore les liens complexes entre amour, mariage et société de consommation. En inscrivant un moment romantique dans le contexte de la dépendance financière, Denial critique les pressions sociales qui mêlent souvent engagements émotionnels et économiques. Son édition limitée renforce son importance et en fait une pièce recherchée par les collectionneurs et les amateurs de street art et de graffiti. « Until Debt Do Us Part » est un poignant rappel de l'influence des systèmes financiers sur nos relations les plus intimes, confirmant ainsi le statut de Denial comme figure majeure de l'art contemporain. Par son esthétique audacieuse et ses thèmes provocateurs, cette œuvre invite le spectateur à repenser la dynamique de l'amour et de la dette dans un monde matérialiste.

    $385.00

  • Curser HPM Mixed Media Wood Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Curser HPM Mixed Media Wood Print par Denial - Daniel Bombardier

    Curser Original Hand-Painted Multiple (HPM) Aerosol avec finition Clear Coat sur bois découpé au laser prêt à accrocher par Denial Graffiti Street Artist Modern Pop Art. Aérosol signé et numéroté 2019 avec vernis transparent sur bois découpé au laser. Dimensions : 14 x 18 x 2,5 cm. Sortie : 14 août 2019. Tirage limité à 100 exemplaires. « J’aime me considérer comme un activiste du pop art. Mon rapport aux dessins animés et aux illustrations est bien plus simple qu’avec le photoréalisme. J’adore faire référence à des choses familières. L’humour et la nostalgie permettent d’ouvrir le dialogue. Je le fais depuis des années : j’utilise l’humour et la familiarité pour amorcer une conversation, car cela permet d’aborder des sujets importants et les différents messages que l’on souhaite transmettre. On est beaucoup plus en phase avec la conscience et l’expérience du spectateur, et on influence davantage sa perception de l’œuvre. Si on arrive à le faire rire, à raviver des souvenirs ou à créer un lien avec une image… » – Déni – Daniel Bombardier L'intersection novatrice entre technologie et art dans « Curser » de Denial Dans l'univers dynamique et en constante évolution du pop art moderne, « Curser », une œuvre multiple peinte à la main (HPM) du célèbre graffeur Denial, se distingue comme une pièce remarquable qui incarne l'esprit du street art et du graffiti contemporains. Denial, de son vrai nom Daniel Bombardier, est une figure majeure du monde de l'art, reconnu pour son engagement et l'intégration d'éléments de la culture pop dans ses créations. L'œuvre « Curser » HPM, sortie le 14 août 2019, est une édition limitée à 100 exemplaires. Chaque pièce porte la signature unique de l'artiste, réalisée à la peinture aérosol et recouverte d'un vernis transparent sur bois découpé au laser. Cette œuvre, mesurant 14 x 18 x 2,5 cm, joue visuellement avec le curseur numérique, symbole omniprésent à l'ère du numérique. « Denial » métamorphose cet objet du quotidien en une œuvre d'art à part entière, invitant le spectateur à repenser les symboles qui imprègnent notre vie. L'utilisation du bois découpé au laser comme matériau fait écho à la précision et à la netteté des graphismes numériques. Parallèlement, la technique de la peinture aérosol à la main confère à l'œuvre l'authenticité et le charme brut du street art. La philosophie artistique du déni et son reflet dans « Curser » La philosophie de Denial, qui consiste à utiliser l'humour et la nostalgie pour captiver le public, se reflète avec force dans « Curser ». En réinterprétant un pointeur numérique en un objet tangible, façonné à la main, l'artiste abolit la frontière entre le virtuel et le physique, l'éphémère et le permanent. Denial croit au pouvoir du pop art d'initier le dialogue, une conviction qui transparaît dans l'écho que « Curser » rencontre auprès d'un large public. La forme familière du curseur, associée à un support inattendu et à une intervention manuelle, devient un point de départ pour la conversation, suscitant des discussions sur l'impact de la technologie sur l'art et la société. La finition vernie de « Curser » confère à l'œuvre un éclat moderne, rappelant les interfaces brillantes des smartphones et des ordinateurs, brouillant ainsi davantage les frontières entre le graffiti traditionnel et l'esthétique numérique contemporaine. Cette pièce n'est pas simplement une œuvre d'art, mais une réflexion sur la convergence de nos expériences numériques avec le monde physique. Le travail de Denial illustre la nature évolutive du street art, où les techniques traditionnelles fusionnent avec des thèmes modernes pour créer une nouvelle forme d'expression culturelle. Collectibilité et impact culturel du « maléfice » du déni En tant qu'œuvre de collection, « Curser » occupe une place à part dans le paysage du street art pop. Son tirage limité et les embellissements individuels réalisés à la main par Denial rendent chaque pièce de la série unique et convoitée par les collectionneurs qui apprécient la rencontre entre l'esthétique du street art et les commentaires sur la culture pop. L'œuvre de Denial, et plus particulièrement « Curser », témoigne de l'intérêt croissant porté au graffiti comme médium capable de divertir et de susciter la réflexion. L'impact culturel de « Curser » est amplifié par son accessibilité et sa capacité à toucher un large public. L'art accessible de Denial invite les spectateurs à réfléchir à l'interaction entre leurs habitudes numériques et le monde tangible, un thème de plus en plus pertinent dans notre société hyperconnectée. L'œuvre nous rappelle la place omniprésente des symboles numériques dans nos vies et l'importance de questionner et d'explorer ces éléments à travers l'art. « Curser » illustre parfaitement comment des artistes de rue contemporains comme Denial repoussent les limites de la représentation du street art pop et du graffiti. Cette œuvre incarne le potentiel transformateur de l'art, sa capacité à s'adapter et à répondre à l'évolution des symboles culturels et des enjeux sociétaux. L'art de Denial, qui insuffle à son travail esprit et familiarité, permet une connexion plus profonde avec le public, faisant de « Curser » une œuvre visuellement saisissante et un commentaire pertinent sur notre époque.

    $493.00

  • Impression d'archives HPM de l'autocar décyclé par Denial - Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Impression d'archives HPM de l'autocar décyclé par Denial - Daniel Bombardier

    Tirages d'art en édition limitée, rehaussés à la main, réalisés à partir de pigments HPM d'archives, avec collages, aérosols, crayons et vernis, par Denial Graffiti Street Artist, artiste pop art moderne. Tirage d'art pigmentaire d'archives, édition limitée numérotée et signée, encadrée sur mesure, agrémenté de collages, d'aérosols, de crayons et de vernis. Dimensions : 45,2 x 60,3 cm (17,8125 x 23,75 pouces). Sortie : 9 décembre 2021. Tirage : 4 exemplaires. Le coach recyclé du déni : luxe pharmaceutique et rupture de marque dans le pop art urbain « Decycled Coach » de Denial est une estampe pigmentaire d'archives en technique mixte, fusionnant collage, aérosol, crayon et vernis pour créer une critique visuelle, rehaussée à la main, du marketing du luxe. Sortie en 2021 en édition extrêmement limitée à seulement 4 exemplaires, chaque estampe est signée, numérotée et encadrée sur mesure, mesurant 45,2 x 60,3 cm. Au centre de la composition se trouve une capsule stylisée – réalisée en couches nettes et brillantes – ornée du logo Coach. Sa forme, à la fois pharmaceutique et sculpturale, se détache sur un fond fragmenté d'éclaboussures de peinture, de demi-teintes de sérigraphie et de dégradés brisés qui suggèrent le mouvement, le chaos et un vandalisme intentionnel. La pilule, étiquetée 100 mg, sert de métaphore percutante. Elle redéfinit le luxe comme un médicament, traitant l'identité, l'insécurité et le statut social comme des symptômes à soulager par la consommation. Il ne s'agit pas d'une critique extérieure, mais d'une attaque chirurgicale de l'intérieur. La collection Denial emprunte à l'esthétique propre à la marque – sa typographie à empattements, son motif équestre et son étiquetage minimaliste – avant de la détourner par des gestes propres au graffiti : arcs de peinture, traînées de couleur, imperfections intentionnelles. La capsule devient un objet fétiche, réduit à un produit digeste, addictif et, finalement, jetable. Les logos d'entreprise comme monnaie émotionnelle L'utilisation récurrente de logos par Denial dans son œuvre n'est pas une question de parodie, mais de mise à nu. Dans « Decycled Coach », l'héritage et le raffinement de la marque sont dépouillés de leur contexte et plongés dans un environnement instable. L'œuvre devient une autopsie de la confiance commerciale. Coach, comme de nombreuses maisons de mode, exploite la nostalgie, l'élégance et une identité aspirationnelle. En l'intégrant à la forme d'une pilule, Denial interroge la signification du réconfort émotionnel qu'un logo peut apporter. La suggestion est on ne peut plus claire : les marques fonctionnent comme des médicaments, anesthésiant la douleur et offrant un sentiment d'appartenance en échange de la fidélité. Le bruit visuel de l'arrière-plan renforce cette dissonance. Des motifs déchirés et des changements de texture abrupts perturbent la figure centrale, empêchant le spectateur de se sentir à l'aise. Un cadre doré orné, typique de la tradition, entoure ce chaos, un clin d'œil ironique au portrait classique. Il confère à l'œuvre une dimension précieuse, voire royale, malgré son contenu abrasif. Cette tension entre le raffinement et la résistance caractérise une grande partie du travail de Denial dans le domaine du Street Pop Art et du graffiti. Hybridation des matériaux et techniques inspirées de la rue Ce qui distingue Decycled Coach, c'est sa matérialité. Contrairement aux éditions numériques, ce multiple rehaussé à la main intègre de véritables couches de texture grâce au collage et au vernis. Chaque estampe devient un hybride entre gravure et peinture. La surface est manipulée avec des outils urbains – peinture en aérosol et crayon – évoquant le geste rapide et instinctif des graffeurs. Pourtant, la forme de pilule reste maîtrisée et immaculée, soulignant le conflit entre autorité et rébellion, produit et protestation. Denial, de son vrai nom Daniel Bombardier, continue d'enrichir le vocabulaire du Street Pop Art en interrogeant la manière dont la culture capitaliste fabrique du sens. Son art ne se limite pas à la critique, il s'inscrit dans la confrontation. Decycled Coach en est l'exemple parfait, par son démantèlement audacieux des systèmes visuels. L'œuvre encadrée devient le miroir de la logique consumériste moderne, où même la rébellion s'achète, et où le remède à la crise identitaire est proposé en doses commercialisées et faciles à consommer.

    $2,500.00

  • Impression d'archives Versace HPM décyclée par Denial - Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Impression d'archives Versace HPM décyclée par Denial - Daniel Bombardier

    Tirages pigmentaires HPM d'archives, édition limitée, rehaussés à la main, par Denial Graffiti Street Artist, sur papier d'art fin, avec collages, aérosols, crayons et vernis. Tirage d'art pigmentaire d'archives, édition limitée numérotée et signée, encadrée sur mesure, agrémenté de collages, d'aérosols, de crayons et de vernis. Dimensions : 45,2 x 60,3 cm (17,8125 x 23,75 pouces). Sortie : 9 décembre 2021. Tirage : 15 exemplaires. Le Versace recyclé du déni : la médecine du branding dans le pop art urbain contemporain L'œuvre « Decycled Versace » de Denial, publiée en 2021 sous forme d'estampe pigmentaire d'archive rehaussée à la main, poursuit l'exploration incisive par l'artiste du culte des marques, de la construction identitaire et de l'esthétique séduisante du consumérisme. Chaque exemplaire de cette édition limitée à 15 tirages mesure 45,2 x 60,3 cm et est unique, modifié par des collages, des aérosols, des crayons et des couches de vernis. Encadrée d'un cadre baroque doré, l'œuvre présente une grande capsule stylisée – ornée de la tête de Méduse iconique de Versace – sur un fond de motifs dentelés et de champs de couleurs fragmentés. La capsule porte la mention « 100MG », renforçant ainsi son identité à la fois d'objet visuel et de drogue conceptuelle. Denial, également connu sous le nom de Daniel Bombardier, utilise la pilule comme forme centrale dans sa série « Decycled » pour commenter la nature addictive du statut social et le rôle des logos de luxe dans la construction de l'identité moderne. En intégrant le logo Versace à l'intérieur de la capsule, l'œuvre assimile la consommation de marques à l'automédication. Ce geste n'est ni une glorification ni une condamnation ; c'est une mise à nu. Le logo devient un ingrédient, dosé avec précision pour susciter une forte émotion ou un impact social. Ainsi, Decycled Versace critique non seulement la marque, mais aussi les systèmes culturels qui érigent de tels symboles en quasi-mythologie. Bruit visuel et perturbation symbolique Le fond de « Decycled Versace » est composé de profondes diagonales, de textures éclaboussées, de trames et de traits de peinture expressifs. Ces éléments font référence à la fois aux techniques traditionnelles du graffiti et à l'esthétique du design numérique. La superposition crée une tension visuelle qui refuse toute immobilité ou résolution facile. Sur ce fond chaotique, la forme lisse et lumineuse de la pilule apparaît presque stérile par contraste. L'effet est désorientant mais intentionnel : le luxe, semble suggérer l'œuvre, s'épanouit lorsqu'il est placé au-dessus du désordre qu'il prétend effacer. La tête de Méduse, emblème historique de Versace lié à la mythologie grecque et aux thèmes du désir et du danger, est ici réinterprétée comme une icône de l'hypnose consumériste. Intégrée à la pilule, elle devient un objet d'intériorisation. L'utilisation de trames et de techniques de pochoir brutes par « Denial » déstabilise davantage l'aura lisse de la marque, rappelant aux spectateurs que derrière chaque logo impeccable se cache une illusion construite. Dans le contexte du Street Pop Art et du Graffiti, l'œuvre récupère l'espace visuel des systèmes marketing et le redistribue sous forme de critique artistique. L'illusion encadrée du pouvoir et de la permanence Le cadre doré orné qui entoure « Decycled Versace » joue un rôle crucial dans le message de l'œuvre. Traditionnellement associé au portrait classique et à la sacralité des galeries, ce cadre confère à l'œuvre une autorité artificielle. Mais cette vénération est contredite par son contenu : désordonné, chaotique, brisé. La forme de pilule, conçue pour paraître élégante et scientifique, flotte dans ce champ comme une relique sacrée. C'est dans la dissonance entre le raffinement matériel et la rébellion conceptuelle que l'œuvre tire toute sa force. La manipulation de l'objet d'art par Denial reflète la double vie des marques de luxe, souvent à la frontière entre exclusivité et visibilité de masse. « Decycled Versace » existe à la fois comme critique et comme artefact du système même qu'elle expose. En transformant les logos de marques en métaphores médicinales, Denial nous oblige à réévaluer la façon dont l'identité est consommée et dont le branding fonctionne à la fois comme symptôme et remède dans la culture moderne. Dans le langage du Street Pop Art et du Graffiti, cette œuvre fonctionne non seulement comme un commentaire, mais aussi comme une dose de clarté visuelle dans une culture accro à l'image.

    $2,500.00

  • Denial Denial Denial Mini Stencil HPM Wood Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Denial Denial Denial Mini Stencil HPM Wood Print par Denial- Daniel Bombardier

    Denial Denial Denial - Mini, faisant partie de la série True Facts Mini Multiple, œuvre originale peinte à la main (HPM) sur panneau en bois, prête à être accrochée, par Denial Graffiti Street Artist Modern Pop Art. « Mon œuvre évoque un désastre imminent et des thèmes sinistres et grossiers, mais cela ne signifie en aucun cas que je souhaite que cela se produise. J'espère au contraire qu'elle suggère l'absurdité de la situation et montre comment nous pouvons trouver de meilleures solutions pour l'avenir. » – Denial Denial est un artiste canadien qui expérimente avec l'aérosol et le pochoir. Ses principaux centres d'intérêt sont la société de consommation, la politique et la condition humaine dans la société contemporaine. Face à la popularité croissante du graffiti aux États-Unis et en Europe, les graffeurs devaient faire preuve d'une originalité toujours plus grande pour se démarquer. Leurs signatures sont devenues plus grandes, plus stylisées et plus colorées.

    $954.00

  • Denial Of Death Mixed Media Wood Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Denial Of Death Mixed Media Wood Print par Denial- Daniel Bombardier

    « Denial Of Death », œuvre originale peinte à la main, technique mixte multiple, peinture aérosol sur panneau de bois découpé au laser, prête à être accrochée, par Denial Graffiti Street Artist, art pop moderne. Édition limitée signée et numérotée de 10 exemplaires, 2017. Format de l'œuvre : 8x11. Numéro 1. « Mon œuvre évoque un désastre imminent et aborde des thèmes crus et sinistres, mais cela ne signifie en aucun cas que je souhaite que cela se produise. J'espère au contraire qu'elle montrera l'absurdité de la situation et comment nous pouvons trouver de meilleures solutions pour l'avenir. » – Denial. L'art de Denial est profondément politique et social, l'artiste prenant position contre des problématiques telles que le capitalisme, la société de consommation et la publicité. Plus important encore, l'artiste assume pleinement ses choix et ses motivations : « Je me considère comme un artiste pop engagé. Mon rapport aux dessins animés et aux illustrations est bien plus simple qu'avec des sujets photoréalistes. » L'humour est un autre aspect fondamental de l'œuvre de Denial. Son travail est satirique, ce qui signifie, par définition, qu'il utilise l'humour comme outil de confrontation.

    $954.00

  • DJ Qbert Archival Print by Ben Frost x Denial- Daniel Bombardier

    Ben Frost Impression d'archives DJ Qbert par Ben Frost x Denial - Daniel Bombardier

    Tirage pigmentaire d'archive en édition limitée DJ Qbert sur papier beaux-arts 310 g/m² par Ben Frost, Denial, DJ Qbert, artiste de rue graffiti, art pop moderne. L'artiste canadien Denial et l'Australien Ben Frost unissent leurs forces pour une exposition audacieuse d'œuvres inédites explorant les limites de l'appropriation culturelle et proposant des réinterprétations de notre société dystopique actuelle. « Company of Thieves » est présentée à la Inner State Gallery de Detroit, avec la participation exceptionnelle de DJ Qbert. Ces « voleurs visuels », comme ils se définissent eux-mêmes, ont une longue tradition de détournement et de subversion des icônes culturelles que la publicité et la société de consommation nous imposent, créant ainsi des interprétations nouvelles et pertinentes, aussi dérangeantes qu'humoristiques. Cette collaboration avec DJ Qbert s'inscrit dans la continuité de cette démarche : les trois artistes se réunissent sous le nom de « Company of Thieves », échantillonnant et remixant pour créer une œuvre totalement nouvelle. Ben Frost utilise l'imagerie familière de la culture occidentale pour formuler une critique de cette culture, notamment à travers le prisme du consumérisme, des icônes modernes et des grandes entreprises. Personnages de dessins animés, icônes de la pop culture, logos de marques et bien d'autres éléments sont transformés en œuvres d'art vibrantes et trouvent leur place dans les galeries. Dans cette optique, et dans le cas de Ben Frost, il est vain de tenter de tracer une frontière nette entre art populaire et art savant. En réalité, l'artiste souhaite que le public s'interroge sur les notions de haute et de basse valeur et, par extension, sur leur signification profonde. Au fil des années, les artistes de rue ont su s'imposer comme des créateurs respectés, certains acquérant même une renommée internationale, transformant le graffiti, autrefois art marginal servant parfois à marquer le territoire des gangs, en un secteur économique florissant.

    $572.00

  • Don't Listen To Them HPM Stencil Wood Print by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Ne les écoutez pas HPM Stencil Wood Print par Denial- Daniel Bombardier

    Ne les écoutez pas. Œuvre originale peinte à la main (HPM) sur panneau en bois encadré, prête à être accrochée, par Denial Graffiti Street Artist Modern Pop Art. L'artiste canadien Denial et l'Australien Ben Frost unissent leurs forces pour une exposition audacieuse d'œuvres inédites explorant les limites de l'appropriation culturelle et proposant des réinterprétations de notre société dystopique actuelle. Se définissant comme des « voleurs visuels », ces deux artistes s'approprient et détournent depuis longtemps les icônes culturelles que la publicité et la société de consommation nous imposent, afin de créer des interprétations nouvelles et pertinentes, à la fois dérangeantes et humoristiques. L'art de Denial est profondément politique et social, l'artiste prenant position contre des problématiques telles que le capitalisme, la société de consommation et la publicité. Plus important encore, il est conscient de ses choix et de ses motivations : « Je me considère comme un artiste pop engagé. Mon rapport aux dessins animés et aux illustrations est bien plus simple qu'avec le photoréalisme. » L'humour est un autre aspect essentiel du travail de Denial. Son œuvre est satirique, ce qui signifie, par définition, qu'elle utilise l'humour comme outil de confrontation.

    $2,004.00

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