Break Free 29 HPM Archival Print par Jessica Hess

Description

Break Free 29, édition limitée, estampes pigmentaires HPM d'archives rehaussées à la main sur papier Moab Fine Art 290 g/m² par Jessica Hess, artiste de rue graffiti, art pop moderne.

Tirage pigmentaire d'archives rehaussé à la main sur papier Moab Fine Art 290 g/m² Format : 61 x 51 cm (24 x 20 pouces) Sortie : 26 juillet 2019

« Break Free » fait partie d’une nouvelle série de peintures explorant l’étrange abstraction des structures artificielles, victimes de l’abandon, de la dégradation et de la démolition, en contraste avec la beauté de leur reconquête par la nature. Tout retournera un jour à la Terre. – Jessica Hess

L'ouvrage de Jessica Hess, Break Free 29 : L'architecture de la décrépitude et le langage du graffiti

« Break Free 29 » de Jessica Hess est une estampe pigmentaire d'archive rehaussée à la main, mesurant 61 x 51 cm (24 x 20 pouces), publiée en 2019 dans le cadre d'une série documentant l'architecture urbaine abandonnée, envahie par les graffitis et les éléments naturels. Imprimée sur papier d'art Moab 290 g/m², cette édition limitée illustre la maîtrise de Hess en peinture photoréaliste et son talent pour transformer la ruine urbaine en poésie visuelle. L'image capture un espace intérieur effondré – peut-être un entrepôt ou une friche industrielle – où la nature reprend ses droits et où chaque surface visible est recouverte de tags, de fresques et de pigments patinés. L'œuvre n'est pas une simple célébration du street art. C'est une méditation nuancée sur l'impermanence, la résilience et la transformation. Hess ne stylise ni n'exagère les graffitis ; elle les peint fidèlement, les respectant comme un témoignage authentique de l'empreinte humaine. Les poutres délabrées, les planches de plancher brisées et la charpente apparente du toit contribuent à la complexité visuelle de l'ensemble. Tout dans cette composition est en perpétuel mouvement. La structure se dégrade, et pourtant les surfaces s'animent d'une vie nouvelle. Des plantes vertes percent les fissures. Des éclats de couleurs vives défient le silence. L'effondrement n'est pas une fin, mais une évolution.

Le photoréalisme comme préservation des objets éphémères du street pop

Le travail de Jessica Hess s'apparente à une forme de préservation visuelle. En recréant minutieusement des ruines recouvertes de graffitis avec un réalisme photographique saisissant, elle immortalise l'art éphémère face au temps, à la destruction et à l'effacement. Dans Break Free 29, aucune surface n'est épargnée : piliers, encadrements de fenêtres, tuyaux et débris sont recouverts de couches superposées de graffitis, d'autocollants et de coulures de peinture. Chaque tag est une voix anonyme, participant à un dialogue visuel plus vaste, tissé au fil du temps. Hess ne retouche ni ne met en scène ces voix. Elle les capture dans toute leur complexité brute. La technique d'embellissement manuel de chaque estampe renforce l'authenticité de l'œuvre. Elle souligne la nature physique du graffiti lui-même : construit par couches, retouches et répétition. Les éléments peints ne se contentent pas de reproduire l'image ; ils la réactivent. L'utilisation d'un réalisme haute fidélité et d'un travail manuel minutieux par Hess fait le lien entre le graffiti et les beaux-arts, sans compromettre aucun des deux. Cela témoigne de son profond respect pour ces lieux et les artistes qui y ont laissé leur empreinte.

Entropie, mémoire et réensauvagement de l'espace urbain

Break Free 29 contribue au dialogue permanent au sein du Street Pop Art et du graffiti sur la signification de l'espace, de la dégradation et de la notion d'auteur. Hess ne peint pas l'acte de graffiti en mouvement, mais ses conséquences, sa documentation. La structure qu'elle représente n'est plus définie par sa fonction originelle. Elle devient un nouvel environnement façonné par l'effondrement, l'intervention humaine et l'abandon. L'architecture se transforme en une toile accidentelle, et la nature s'y installe lentement, collaboratrice silencieuse. Aucune figure humaine ne se détache au centre de la scène, mais la présence humaine est omniprésente : dans les traits de peinture, dans les tags, dans les strates de messages écrits au fil du temps. Le graffiti ne se contente pas d'orner les ruines ; il leur confère un sens dans leur inoccupation. Le cadrage de cet espace par Hess révèle une beauté alternative, non fondée sur la conception, mais sur la décomposition et la réappropriation. Des plantes poussent à travers le béton. La lumière du soleil filtre à travers le toit effondré. L'œuvre humaine cède, et la terre commence à réécrire l'histoire de la structure. Dans Break Free 29, Jessica Hess présente la ruine non comme une perte, mais comme une transformation. C'est un portrait de l'impermanence peint avec soin et précision, qui nous rappelle que rien n'est véritablement statique : ni les villes, ni l'art, ni la nature. Tout est en mouvement, et tout finit par se libérer.

Fiche produit

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    Break Free 29, édition limitée, estampes pigmentaires HPM d'archives rehaussées à la main sur papier Moab Fine Art 290 g/m²... En savoir plus

    • Break Free 29 HPM Archival Print par Jessica Hess
    • Année : 2019
    • Taille : 24 x 20
    • Signé : Oui
    • Édition de : 35 HPM
    • Embellissement à la main, impression pigmentaire d'archives sur Papier d'entrée Moab 290 g/m²
    • Artiste : Jessica Hess
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    Description

    Break Free 29, édition limitée, estampes pigmentaires HPM d'archives rehaussées à la main sur papier Moab Fine Art 290 g/m² par Jessica Hess, artiste de rue graffiti, art pop moderne.

    Tirage pigmentaire d'archives rehaussé à la main sur papier Moab Fine Art 290 g/m² Format : 61 x 51 cm (24 x 20 pouces) Sortie : 26 juillet 2019

    « Break Free » fait partie d’une nouvelle série de peintures explorant l’étrange abstraction des structures artificielles, victimes de l’abandon, de la dégradation et de la démolition, en contraste avec la beauté de leur reconquête par la nature. Tout retournera un jour à la Terre. – Jessica Hess

    L'ouvrage de Jessica Hess, Break Free 29 : L'architecture de la décrépitude et le langage du graffiti

    « Break Free 29 » de Jessica Hess est une estampe pigmentaire d'archive rehaussée à la main, mesurant 61 x 51 cm (24 x 20 pouces), publiée en 2019 dans le cadre d'une série documentant l'architecture urbaine abandonnée, envahie par les graffitis et les éléments naturels. Imprimée sur papier d'art Moab 290 g/m², cette édition limitée illustre la maîtrise de Hess en peinture photoréaliste et son talent pour transformer la ruine urbaine en poésie visuelle. L'image capture un espace intérieur effondré – peut-être un entrepôt ou une friche industrielle – où la nature reprend ses droits et où chaque surface visible est recouverte de tags, de fresques et de pigments patinés. L'œuvre n'est pas une simple célébration du street art. C'est une méditation nuancée sur l'impermanence, la résilience et la transformation. Hess ne stylise ni n'exagère les graffitis ; elle les peint fidèlement, les respectant comme un témoignage authentique de l'empreinte humaine. Les poutres délabrées, les planches de plancher brisées et la charpente apparente du toit contribuent à la complexité visuelle de l'ensemble. Tout dans cette composition est en perpétuel mouvement. La structure se dégrade, et pourtant les surfaces s'animent d'une vie nouvelle. Des plantes vertes percent les fissures. Des éclats de couleurs vives défient le silence. L'effondrement n'est pas une fin, mais une évolution.

    Le photoréalisme comme préservation des objets éphémères du street pop

    Le travail de Jessica Hess s'apparente à une forme de préservation visuelle. En recréant minutieusement des ruines recouvertes de graffitis avec un réalisme photographique saisissant, elle immortalise l'art éphémère face au temps, à la destruction et à l'effacement. Dans Break Free 29, aucune surface n'est épargnée : piliers, encadrements de fenêtres, tuyaux et débris sont recouverts de couches superposées de graffitis, d'autocollants et de coulures de peinture. Chaque tag est une voix anonyme, participant à un dialogue visuel plus vaste, tissé au fil du temps. Hess ne retouche ni ne met en scène ces voix. Elle les capture dans toute leur complexité brute. La technique d'embellissement manuel de chaque estampe renforce l'authenticité de l'œuvre. Elle souligne la nature physique du graffiti lui-même : construit par couches, retouches et répétition. Les éléments peints ne se contentent pas de reproduire l'image ; ils la réactivent. L'utilisation d'un réalisme haute fidélité et d'un travail manuel minutieux par Hess fait le lien entre le graffiti et les beaux-arts, sans compromettre aucun des deux. Cela témoigne de son profond respect pour ces lieux et les artistes qui y ont laissé leur empreinte.

    Entropie, mémoire et réensauvagement de l'espace urbain

    Break Free 29 contribue au dialogue permanent au sein du Street Pop Art et du graffiti sur la signification de l'espace, de la dégradation et de la notion d'auteur. Hess ne peint pas l'acte de graffiti en mouvement, mais ses conséquences, sa documentation. La structure qu'elle représente n'est plus définie par sa fonction originelle. Elle devient un nouvel environnement façonné par l'effondrement, l'intervention humaine et l'abandon. L'architecture se transforme en une toile accidentelle, et la nature s'y installe lentement, collaboratrice silencieuse. Aucune figure humaine ne se détache au centre de la scène, mais la présence humaine est omniprésente : dans les traits de peinture, dans les tags, dans les strates de messages écrits au fil du temps. Le graffiti ne se contente pas d'orner les ruines ; il leur confère un sens dans leur inoccupation. Le cadrage de cet espace par Hess révèle une beauté alternative, non fondée sur la conception, mais sur la décomposition et la réappropriation. Des plantes poussent à travers le béton. La lumière du soleil filtre à travers le toit effondré. L'œuvre humaine cède, et la terre commence à réécrire l'histoire de la structure. Dans Break Free 29, Jessica Hess présente la ruine non comme une perte, mais comme une transformation. C'est un portrait de l'impermanence peint avec soin et précision, qui nous rappelle que rien n'est véritablement statique : ni les villes, ni l'art, ni la nature. Tout est en mouvement, et tout finit par se libérer.


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