Impression giclée Cathedral AP par Kari-Lise Alexander

Description

Impression giclée en édition limitée « Cathedral AP Artist Proof » sur papier beaux-arts 290 g/m² par l'artiste de graffiti pop culture Kari-Lise Alexander.

Épreuve d'artiste (EA) 2017 Signée et marquée EA Édition limitée Tirage giclée Format 18x18

La cathédrale de Kari-Lise Alexander : la fluidité de l'identité dans le surréalisme contemporain inspiré par la pop

« Cathédrale » de Kari-Lise Alexander, éditée en 2017 en tant qu'épreuve d'artiste signée de 45,7 x 45,7 cm, présente un portrait hypnotique qui mêle une précision photoréaliste à des éléments de distorsion surréaliste. Cette impression giclée sur papier d'art 290 g/m² capture une figure partiellement dissimulée par une cascade d'eau, des fleurs et une abstraction organique. Le sujet, une femme à la peau pâle drapée de fleurs éclatantes, est à la fois présente et absente, son corps se fondant dans un mouvement fluide. La transparence de l'eau agit comme un voile, distordant la réalité et transformant le portrait en une méditation sur l'impermanence, la transformation et le dévoilement de soi. Alexander, connue pour son surréalisme figuratif, intègre souvent les thèmes de l'eau, de la féminité et de la nature dans son œuvre. Dans « Cathédrale », elle place le spectateur à la fois comme témoin et intrus, observant un moment de réflexion intime à travers une barrière d'eau. L'eau ne se contente pas d'encadrer la composition ; elle la remodèle. Les visages se floutent. Les pétales s'estompent. La toile se transforme en un espace vivant où l'émotion se filtre à travers le mouvement fluide des fluides. Cette utilisation dynamique de la transparence offre bien plus qu'un simple intérêt visuel ; elle devient une métaphore des frontières insaisissables et mouvantes de l'identité personnelle.

La texture hyperréaliste rencontre l'abstraction atmosphérique

Dans « Cathédrale », l'interaction entre réalisme et abstraction est délibérée et poétique. L'expression du visage du personnage est rendue avec une précision saisissante : ombres délicates, traits finement peints et intensité émotionnelle. Pourtant, son corps, partiellement dissimulé par des traînées d'eau et des textures végétales, semble se fondre dans le fond. Ceci crée une tension entre ce qui est défini et ce qui disparaît. Kari-Lise Alexander utilise des effets évoquant la peinture à l'huile dans un support d'impression numérique pour imiter l'imprévisibilité de la nature et la complexité de la vie intérieure. Le cadre circulaire derrière le personnage pourrait évoquer la structure architecturale suggérée par le titre. Une cathédrale, souvent associée à un sanctuaire spirituel et à une forme imposante, contraste avec la vulnérabilité du corps exposé et la texture éphémère de l'eau. Ce contraste suggère que le véritable lieu de recueillement dans cette œuvre n'est ni la pierre ni l'espace, mais le paysage intérieur des émotions et des souvenirs. Le cercle devient à la fois halo et lentille, focalisant l'attention du spectateur tout en abstrait le contexte.

Symbolisme de la nature et de la forme féminine

Dans « Cathédrale », l’imagerie florale dépasse le simple ornement. La dense couronne de pivoines, de baies et de lianes vertes posée sur les épaules de la figure la relie aux cycles de la vie et de la croissance. Les fleurs ne sont pas simplement portées ; elles semblent jaillir d’elle, renforçant la fusion entre le monde naturel et l’être. L’eau, motif récurrent dans les peintures de Kari-Lise Alexander, amplifie ce symbolisme. Elle signifie à la fois renouveau, déclin et libération émotionnelle. Ensemble, ces éléments créent un langage visuel où le corps féminin devient à la fois temple et lieu. Bien que n’appartenant pas strictement au courant traditionnel du Street Pop Art et du graffiti, « Cathédrale » fait écho aux mouvements contemporains qui remettent en question la frontière entre portrait classique et commentaire culturel. L’énergie éthérée de l’œuvre, associée à la distorsion saisissante de sa surface, l’inscrit dans une esthétique pop plus large qui fusionne beauté et introspection, figuration et expérimentation. L'œuvre de Kari-Lise Alexander élargit le vocabulaire du surréalisme moderne en utilisant un réalisme tactile pour explorer l'intériorité invisible, transformant ainsi l'émotion, la mémoire et la transformation en expériences visuelles saisissantes.

Fiche produit

$620.00

    Impression giclée en édition limitée « Cathedral AP Artist Proof » sur papier beaux-arts 290 g/m² par l'artiste de graffiti... En savoir plus

    • Impression giclée Cathedral AP par Kari-Lise Alexander
    • Année : 2017
    • Taille : 18 x 18
    • Signé : Oui
    • Édition de : Epreuve d'artiste AP
    • Giclée sur Papier beaux-arts
    • Artiste : Kari-Lise Alexander
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    Description

    Impression giclée en édition limitée « Cathedral AP Artist Proof » sur papier beaux-arts 290 g/m² par l'artiste de graffiti pop culture Kari-Lise Alexander.

    Épreuve d'artiste (EA) 2017 Signée et marquée EA Édition limitée Tirage giclée Format 18x18

    La cathédrale de Kari-Lise Alexander : la fluidité de l'identité dans le surréalisme contemporain inspiré par la pop

    « Cathédrale » de Kari-Lise Alexander, éditée en 2017 en tant qu'épreuve d'artiste signée de 45,7 x 45,7 cm, présente un portrait hypnotique qui mêle une précision photoréaliste à des éléments de distorsion surréaliste. Cette impression giclée sur papier d'art 290 g/m² capture une figure partiellement dissimulée par une cascade d'eau, des fleurs et une abstraction organique. Le sujet, une femme à la peau pâle drapée de fleurs éclatantes, est à la fois présente et absente, son corps se fondant dans un mouvement fluide. La transparence de l'eau agit comme un voile, distordant la réalité et transformant le portrait en une méditation sur l'impermanence, la transformation et le dévoilement de soi. Alexander, connue pour son surréalisme figuratif, intègre souvent les thèmes de l'eau, de la féminité et de la nature dans son œuvre. Dans « Cathédrale », elle place le spectateur à la fois comme témoin et intrus, observant un moment de réflexion intime à travers une barrière d'eau. L'eau ne se contente pas d'encadrer la composition ; elle la remodèle. Les visages se floutent. Les pétales s'estompent. La toile se transforme en un espace vivant où l'émotion se filtre à travers le mouvement fluide des fluides. Cette utilisation dynamique de la transparence offre bien plus qu'un simple intérêt visuel ; elle devient une métaphore des frontières insaisissables et mouvantes de l'identité personnelle.

    La texture hyperréaliste rencontre l'abstraction atmosphérique

    Dans « Cathédrale », l'interaction entre réalisme et abstraction est délibérée et poétique. L'expression du visage du personnage est rendue avec une précision saisissante : ombres délicates, traits finement peints et intensité émotionnelle. Pourtant, son corps, partiellement dissimulé par des traînées d'eau et des textures végétales, semble se fondre dans le fond. Ceci crée une tension entre ce qui est défini et ce qui disparaît. Kari-Lise Alexander utilise des effets évoquant la peinture à l'huile dans un support d'impression numérique pour imiter l'imprévisibilité de la nature et la complexité de la vie intérieure. Le cadre circulaire derrière le personnage pourrait évoquer la structure architecturale suggérée par le titre. Une cathédrale, souvent associée à un sanctuaire spirituel et à une forme imposante, contraste avec la vulnérabilité du corps exposé et la texture éphémère de l'eau. Ce contraste suggère que le véritable lieu de recueillement dans cette œuvre n'est ni la pierre ni l'espace, mais le paysage intérieur des émotions et des souvenirs. Le cercle devient à la fois halo et lentille, focalisant l'attention du spectateur tout en abstrait le contexte.

    Symbolisme de la nature et de la forme féminine

    Dans « Cathédrale », l’imagerie florale dépasse le simple ornement. La dense couronne de pivoines, de baies et de lianes vertes posée sur les épaules de la figure la relie aux cycles de la vie et de la croissance. Les fleurs ne sont pas simplement portées ; elles semblent jaillir d’elle, renforçant la fusion entre le monde naturel et l’être. L’eau, motif récurrent dans les peintures de Kari-Lise Alexander, amplifie ce symbolisme. Elle signifie à la fois renouveau, déclin et libération émotionnelle. Ensemble, ces éléments créent un langage visuel où le corps féminin devient à la fois temple et lieu. Bien que n’appartenant pas strictement au courant traditionnel du Street Pop Art et du graffiti, « Cathédrale » fait écho aux mouvements contemporains qui remettent en question la frontière entre portrait classique et commentaire culturel. L’énergie éthérée de l’œuvre, associée à la distorsion saisissante de sa surface, l’inscrit dans une esthétique pop plus large qui fusionne beauté et introspection, figuration et expérimentation. L'œuvre de Kari-Lise Alexander élargit le vocabulaire du surréalisme moderne en utilisant un réalisme tactile pour explorer l'intériorité invisible, transformant ainsi l'émotion, la mémoire et la transformation en expériences visuelles saisissantes.


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