Pharmaceutique

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  • Joker Brand- Green Pink Original Spray Paint Acrylic Painting by Ben Frost

    Ben Frost Joker Brand - Peinture acrylique originale en aérosol vert rose par Ben Frost

    Joker Brand - Peinture originale unique en son genre, technique mixte acrylique et peinture aérosol, sur bois encadré, par Ben Frost, artiste de graffiti de rue populaire. 2022 « Joker Brand » - Acrylique et peinture aérosol sur panneau - Variante verte/rose 60 cm x 60 cm (23,5 x 23,5 pouces) Signée, titrée et datée au verso

    $5,463.00

  • Gotta Take 'Em All Blotter Paper Archival Print by Ben Frost

    Ben Frost BUVARD Papier buvard Archival Print par ARTIST

    Achetez TITLE Édition limitée Fine Art Archival Pigment Print Art sur papier buvard perforé. 2022 Édition limitée signée et numérotée de XX Tirage pigmentaire d'archivage sur papier buvard perforé Taille : 7,5 x 7,5 pouces Sortie : 19 avril 2022 Les éditions limitées de buvard sont perforées à la main par Zane Kesey.

    $491.00

  • Akira Pill Ceramic Plate Art Object by Supreme

    Supreme Assiette en céramique Akira Pill, objet d'art de Supreme

    Assiette en céramique Akira Pill, objet d'art de la collection Supreme Limited Edition. Assiette en céramique Supreme, édition limitée estampillée 2017, format 10x10, objet d'art de collection. Présentation de l'assiette en céramique Supreme AKIRA Pill : une convergence entre le pop art urbain et le design de collection L'assiette en céramique Supreme AKIRA Pill est une pièce unique dans l'univers du design de collection et du pop art urbain. Lancée dans le cadre de la collection Automne/Hiver 2017, cette édition limitée illustre à merveille l'alliance harmonieuse entre objet utilitaire et œuvre d'art. La collaboration entre Supreme et le manga AKIRA dépasse le simple cadre commercial pour donner naissance à un objet de collection célébrant l'esthétique de la culture urbaine et du graphisme japonais. Plus qu'une simple assiette, l'assiette Supreme AKIRA Pill est une véritable toile qui met en lumière la rencontre fascinante entre l'audace de Supreme et le style graphique saisissant d'AKIRA. Fabriquée en céramique de haute qualité, elle allie durabilité et esthétique, se prêtant aussi bien à un usage quotidien qu'à la décoration. L'illustration, représentant un personnage en pleine action, avalant une pilule, est réalisée dans un noir et blanc contrasté, insufflant à cet objet statique le dynamisme et l'énergie brute des planches du manga original. L'image est accompagnée de la phrase « ILS SONT COMME DES BONBONS ! », ajoutant une dimension narrative et intrigante à l'œuvre. L'esprit de cette collaboration est palpable dans cet objet d'art unique. L'œuvre présentée capture l'essence de la série AKIRA, tandis que l'intégration du logo Supreme la replace dans l'univers de la mode urbaine haut de gamme. Le choix de modifier le logo Supreme et de l'apposer sur la pilule témoigne du talent de la marque pour intégrer harmonieusement des références à la culture populaire dans ses produits. Cette technique séduit non seulement les fans du manga, mais aussi les adeptes de la marque Supreme, dont l'identité est subtilement tissée dans le récit. Le dessous de la plaque fait partie intégrante de l'œuvre, arborant le logo Supreme Box classique dans ses couleurs vives d'origine. Ce détail, signature de la marque, est un clin d'œil à ses racines dans les cultures du skateboard et du streetwear, et constitue un gage d'authenticité pour les collectionneurs. L'assiette en céramique Supreme AKIRA Pill est une œuvre d'art pop et graffiti de rue. L'assiette en céramique Supreme AKIRA Pill témoigne de l'évolution du street art et du graffiti. Elle incarne l'essence même de l'art contemporain : à la fois fonctionnelle et provocatrice, profondément ancrée dans la culture underground. Bien plus qu'un simple produit dérivé, cette assiette est un fragment de l'histoire du street art, immortalisé dans une céramique émaillée. Son design reflète les points communs du street art et du graffiti : spontanéité, audace et provocation. Pourtant, il est sublimé par le prisme du pop art, qui transforme l'objet du quotidien en une œuvre extraordinaire. Cette collaboration symbolise la manière dont le street art brouille les frontières entre art commercial et art savant, invitant à une réflexion sur la valeur et la signification de l'art dans les objets du quotidien. En tant qu'œuvre d'art, l'assiette en céramique Supreme AKIRA Pill prolonge l'héritage de son inspiration manga vers de nouveaux horizons. Elle représente concrètement l'impact culturel de la série AKIRA sur l'univers du roman graphique et, plus largement, sur la culture pop. Pour Supreme, cette assiette vient enrichir sa collection d'objets à la fois contemporains et intemporels, des pièces qui captent l'air du temps tout en conservant un caractère exclusif et un potentiel de collection. Dans le domaine du street art et du graffiti, des objets comme l'assiette en céramique Supreme AKIRA Pill remettent en question les conceptions traditionnelles de l'art. Ils insufflent à nos intérieurs la vitalité et l'audace du street art, en fusionnant avec la fonctionnalité des objets du quotidien. Plus qu'un simple plat pratique, cette assiette est un objet de conversation, un commentaire culturel et une œuvre d'art à collectionner, incarnant à la perfection l'esprit novateur et transformateur du street art.

    $243.00

  • Who Fried Roger Rabbit? Seroquel Blotter Paper Archival Print by Ben Frost

    Ben Frost Qui a fait frire Roger Rabbit ? Impression d'archives sur papier buvard Seroquel par Ben Frost

    Qui a fait frire Roger Rabbit ? Tirage d'art sur papier buvard perforé Seroquel par Ben Frost, édition limitée, impression pigmentaire d'art sur papier buvard perforé. Édition limitée signée et numérotée 2025 de tirage pigmentaire d'archives à déterminer sur papier buvard perforé. Format : 7,5 x 7,5 pouces. Sortie : 19 avril 2025. Les éditions limitées sur buvard sont perforées à la main par Zane Kesey. La folie des dessins animés rencontre la culture pharmaceutique Qui a fait frire Roger Rabbit ? L'estampe « Seroquel Blotter Paper » de Ben Frost réinterprète le personnage animé iconique Roger Rabbit dans le contexte du marketing pharmaceutique moderne. Tirée en édition limitée (19 x 19 cm) sur papier buvard perforé, cette estampe pigmentaire d'archives explore avec une précision satirique la collision entre la culture pop et le conditionnement des médicaments. Mettant en scène le personnage animé arborant un sourire maniaque à côté d'une notice de Seroquel XR, l'estampe est perforée à la main par Zane Kesey et produite en édition signée et numérotée. Cette œuvre critique la façon dont la société normalise les troubles mentaux par le biais du marketing et interroge la coexistence de l'animation, de la nostalgie et des produits pharmaceutiques dans un même message visuel. Image de marque satirique et ironie médicale Frost fusionne la personnalité exubérante de Roger Rabbit avec le Seroquel, un médicament utilisé pour traiter les troubles de l'humeur, afin d'amplifier les effets surréalistes de l'hyperstimulation et de la sédation. En transformant l'aspect clinique d'une boîte de médicament en une toile ludique et chaotique pour un personnage de dessin animé, Frost brouille la frontière entre traitement et évasion. Son utilisation précise du langage utilisé sur l'emballage de la quétiapine, incluant les informations posologiques et les avertissements, est pourtant détournée par le comportement erratique de Roger Rabbit. Le message sous-jacent interroge la manière dont les médicaments sont commercialisés dans une culture qui instrumentalise à la fois la maladie mentale et la nostalgie de l'enfance. Subversion matérielle sous forme de buvard Le format buvard est essentiel à la portée conceptuelle de l'œuvre. Traditionnellement associé à la distribution de LSD, le buvard évoque une filiation psychédélique et suggère une perception altérée de la réalité. En plaçant un personnage de dessin animé sur un fond imitant un médicament, Frost bouleverse les attentes liées au sérieux du design pharmaceutique par l'absurde. La perforation fragmente physiquement l'image, faisant écho à la fragmentation de la conscience et des émotions dans les expériences médicamenteuses et animées. Ce format permet à l'œuvre de commenter simultanément la culture de la drogue, les médias de divertissement et le marketing de la santé mentale. La provocation visuelle de Ben Frost L'artiste australien Ben Frost s'est fait connaître en détournant la publicité, les logos pharmaceutiques et les dessins animés grand public pour en faire un commentaire social incisif. Son art urbain, à la croisée du pop art et du graffiti, explore la psychologie du consommateur à travers des couleurs vives, des images reconnaissables et des juxtapositions percutantes. « Qui a frit Roger Rabbit ? » est un exemple frappant de cette approche, mêlant l'esthétique de l'enfance à la froideur clinique du monde médical. Frost confronte le spectateur à des contradictions qu'il néglige parfois au quotidien, tirant humour et tension de l'alliance troublante entre la folie des dessins animés et la stabilité imposée. Il ne s'agit pas seulement d'une stimulation visuelle, mais d'une question enveloppée dans un emballage auquel on nous enjoint de faire confiance.

    $550.00

  • Snitches Get Stitches Methadone Original Acrylic Painting by Ben Frost

    Ben Frost Les balances finissent mal. Peinture acrylique originale de Ben Frost.

    « Les balances finissent mal » Peinture acrylique originale de Ben Frost, œuvre unique réalisée sur un emballage de méthadone pharmaceutique recyclé par un artiste pop art de rue. Peinture acrylique originale signée, réalisée en 2025. Dimensions : 6,9 x 8,6 pouces (17,5 x 21,8 cm). Réalisée sur un emballage de méthadone recyclé. Représentation stylisée de Stitch (Lilo & Stitch). Les balances finissent mal : L'original subversif de Ben Frost Ben Frost, artiste australien contemporain reconnu pour ses juxtapositions saisissantes, continue de bousculer les normes culturelles avec son œuvre originale unique de 2025, intitulée « Snitches Get Stitches ». Cette peinture acrylique illustre parfaitement l'esthétique caractéristique de Frost, fusionnant iconographie pop et déchets pharmaceutiques. L'œuvre présente une version stylisée et hyper-expressive de Stitch, personnage du film Disney « Lilo & Stitch », peinte à la main sur un emballage de méthadone recyclé de 17,5 x 21,8 cm. En utilisant des contenants de médicaments récupérés comme support, Frost transforme des déchets médicaux en une œuvre d'art urbain pop et graffiti provocatrice et contrastée. Le surréalisme pop rencontre la critique pharmaceutique L'œuvre transporte le spectateur dans un espace étrange où s'entrechoquent innocence et contrôle institutionnalisé. Stitch, représenté dans une pose frénétique, la langue tirée, incarne à la perfection le chaos au sein d'un système rigide. L'emballage de la méthadone, généralement associé au traitement de la toxicomanie et à la réglementation, devient un nouveau champ de bataille pour la rébellion visuelle de Frost. Les lignes acérées du marketing et les informations posologiques contrastent avec le personnage fantaisiste et caricatural, créant une juxtaposition saisissante qui critique à la fois la dépendance et l'évasion marchandisée. L'utilisation d'emballages pharmaceutiques n'est pas fortuite. Frost puise systématiquement ses matériaux dans des produits cliniques réels, intégrant ainsi des réflexions sur la marchandisation de la santé, la construction de la dépendance et le langage visuel de la confiance. En peignant directement sur la boîte qui contenait autrefois un médicament contre la dépendance aux opioïdes, Frost interroge la manière dont les produits pharmaceutiques et les médias servent de palliatifs aux maux plus profonds de la société. L'instrumentalisation de la nostalgie par Ben Frost Frost est connu pour son exploration de l'économie de la nostalgie : son œuvre déconstruit la sentimentalité que nous accordons aux icônes de l'enfance en les plongeant dans des contextes adultes et impitoyables. Dans cette pièce, Stitch devient un emblème de rébellion, non plus un compagnon extraterrestre câlin, mais un agent de perturbation malicieux au sein d'un système médical aseptisé. Le titre « Snitches Get Stitches » (Les balances finissent mal) renforce encore le message. C'est un clin d'œil codé à l'éthique des sous-cultures, à la résistance à l'autorité et à la vengeance contre la trahison, le tout enveloppé dans l'esthétique sucrée d'un personnage animé adoré. Cette nostalgie instrumentalisée est au cœur de la pratique de Frost. Il mélange bandes dessinées vintage, anime et identité visuelle de dessins animés avec la publicité médicale et les excès du capitalisme pour créer un cercle vicieux de culture de masse. Ses œuvres sont immédiatement accessibles, mais délibérément empreintes d'une critique acerbe. « Snitches Get Stitches » s'inscrit parfaitement dans cette lignée, poursuivant l'engagement de l'artiste à lever le voile du confort pour exposer un système dépendant d'images anesthésiantes et de mécanismes de défense chimiques. Emballages recyclés comme toile contemporaine La réutilisation est essentielle à l'éthique et à l'attrait visuel de cette œuvre. Les emballages pharmaceutiques recyclés servent non seulement de matériau, mais aussi de message. Le recyclage concret d'objets utilisés dans le traitement de la toxicomanie devient le symbole d'un processus plus vaste de réadaptation culturelle. Dans le Street Pop Art et le Graffiti, la surface n'est jamais neutre. Le choix de Frost d'utiliser une boîte de méthadone transforme les déchets en témoignage et oblige le spectateur à repenser la place de l'art et ce qu'il est autorisé à critiquer. Avec « Snitches Get Stitches », Ben Frost poursuit sa fusion radicale de commentaire médico-industriel et de distorsion pop surréaliste, offrant une œuvre subversive et de collection, à la croisée du design commercial vandalisé et de la provocation artistique. L'échelle de l'œuvre, son authenticité matérielle et son langage visuel iconique en font non seulement une pièce maîtresse de la production de Frost en 2025, mais aussi un instantané d'une culture tiraillée entre rébellion édulcorée et dépendance contrôlée.

    $3,500.00

  • Tigger on Zoloft Archival Print by Ben Frost

    Ben Frost Tigrou sur Zoloft Archival Print par Ben Frost

    Tirages d'art en édition limitée, réalisés à partir de pigments d'archives, sur papier d'art Bauhaus Cotton, par Ben Frost, artiste de graffiti, de street art et de culture pop. « Tigger sous Zoloft », tirage numérique d'archive sur papier Bauhaus Photo Rag 310 g/m² 100 % coton, gaufré, signé et numéroté par Ben Frost, 30 cm x 30 cm (12 x 12 pouces), Melbourne, Australie. Édition limitée à 50 exemplaires. L'essence du commentaire de Frost repose sur la subversion du sens et des messages véhiculés par les médias traditionnels. Autrement dit, et comme il l'a déjà affirmé : « Moins vous encombrez votre esprit des artifices de la publicité et des émissions de télévision de piètre qualité, plus vous libérez de l'espace pour des choses qui ont de la valeur. » Parallèlement, son regard sur la culture populaire contemporaine est tout aussi pertinent. Médias traditionnels, publicité et politique figurent parmi ses principaux centres d'intérêt, qu'il exploite et mêle de façon provocatrice. Le terme « provocateur » n'est pas employé au hasard. L'art de Ben Frost consiste, en substance, à s'approprier et à instrumentaliser l'imagerie contre le système même qui l'a engendrée.

    $572.00

  • Akira Syringe Ceramic Plate Tray Art Object by Supreme

    Supreme Akira Syringe, assiette/plateau en céramique, objet d'art par Supreme

    Plateau en céramique Akira Syringe, objet d'art de la collection Supreme Limited Edition. Plateau/assiette en céramique Supreme, édition limitée estampillée 2017, dimensions 11,25 x 4,25 pouces, objet d'art de collection. Plateau en céramique Supreme AKIRA pour seringues : un classique culte revisité en porcelaine Le plateau en céramique Supreme AKIRA Seringue est un véritable objet culturel, fusionnant l'énergie brute du pop art urbain et la précision des illustrations manga. Sortie très attendue dans le cadre de la collection Automne/Hiver 2017, cette édition limitée incarne l'esprit avant-gardiste de la marque Supreme tout en rendant hommage au manga japonais culte AKIRA. Façonné avec précision, ce plateau en céramique blanche témoigne de l'influence durable de la série et de l'ingénieuse adaptabilité de l'esthétique streetwear de Supreme. Mesurant 28,6 cm sur 10,8 cm, le plateau est une toile qui donne vie à l'univers noir et blanc saisissant du néo-Tokyo d'AKIRA. Il présente une scène intense, directement tirée du manga, où Kaneda et Tetsuo, dans un moment de tension extrême, reçoivent une injection. Cette scène est un moment charnière de la série AKIRA et un aperçu de la narration complexe et pleine d'action qui captive les fans depuis des décennies. L'art de la céramique rencontre la narration graphique emblématique La synergie entre l'identité visuelle de Supreme et le graphisme d'AKIRA sur le plateau en céramique Supreme AKIRA Syringe illustre parfaitement comment le pop art urbain peut fusionner avec d'autres médias pour créer une œuvre à la fois inédite et familière. L'intégration subtile du nom de Supreme sur la seringue révèle une interaction ingénieuse entre identité de marque et imagerie narrative. Ce détail, bien que mineur, souligne la nature collaborative de la pièce et symbolise la fusion d'univers que les fans de Supreme et d'AKIRA apprécieront. Sous le plateau se trouve le logo iconique de Supreme, une signature qui atteste de l'authenticité de l'objet et le rattache à la lignée des précédents articles de collection de la marque. Cet emblème, juxtaposé au dessin manga, fait le lien entre l'esprit du temps du streetwear moderne et l'art classique du manga japonais. La présence du logo est un gage de qualité et un symbole qui trouve un écho auprès des collectionneurs conscients de la valeur des éditions limitées de pop art urbain. Impact et valeur de collection du plateau à seringues Supreme AKIRA Le plateau en céramique Supreme AKIRA Syringe est bien plus qu'un simple objet décoratif ; c'est un morceau d'histoire de la pop culture, moulé dans la céramique. Le choix d'immortaliser cette scène de manga sur un plateau de haute qualité témoigne d'une compréhension fine de la mentalité du collectionneur : ce n'est pas seulement l'objet qui a de la valeur, mais la convergence de l'art, du récit et de la marque qui en fait un trésor. En tant que pièce de collection, le plateau attire le regard, devenant un point de convergence qui suscite des discussions sur le street art, ses liens avec d'autres formes d'expression et la nature même des objets de collection contemporains. Dans le street art et le graffiti, des objets comme le plateau Supreme AKIRA Syringe soulignent le potentiel des objets du quotidien à devenir des supports pour la narration et l'expression artistique. La représentation saisissante de Kaneda et Tetsuo est un récit visuel figé dans la porcelaine, conférant au plateau un dynamisme souvent associé à l'immédiateté du street art et à la vitalité transgressive du graffiti. Pourtant, la permanence du matériau céramique et le charme intemporel de l'histoire d'AKIRA élèvent ce plateau au-delà de sa simple fonction, confirmant son statut d'œuvre d'art convoitée. Une fusion de formes artistiques pour le collectionneur contemporain Collectionneurs et amateurs de manga et de streetwear trouveront dans le plateau en céramique Supreme AKIRA l'objet qui incarne l'essence même de ces deux univers. La fusion harmonieuse du style urbain et percutant de Supreme et des visuels saisissants d'AKIRA fait de ce plateau une pièce emblématique pour les collectionneurs. À la fois fonctionnel et pratique, il invite à la contemplation en tant qu'œuvre d'art. Le plateau en céramique Supreme AKIRA témoigne de la puissance de la collaboration entre marques et artistes et reflète l'état actuel du street art et du graffiti : un domaine en constante évolution, toujours surprenant et résolument audacieux.

    $243.00

  • Rolex Designer Drugs PP Skateboard Art Deck by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Planche de skateboard Rolex Designer Drugs PP Art par Denial - Daniel Bombardier

    Rolex Designer Drugs PP Printers Proof Skateboard Art Deck par Denial - Daniel Bombardier Limited Edition Archival Print on Wood Skateboard Deck par Street Artwork Graffiti Artist. Épreuve d'imprimeur PP 2018, marquée PP, édition limitée, signée, certificat d'authenticité, œuvre d'art pour skateboard, format 8x31, planche de skateboard ornée du logo Rolex en forme de pilule. La planche de skateboard Rolex Designer Drugs PP Printers Proof témoigne de la fusion entre culture urbaine, art contemporain et image de marque emblématique. Minutieusement conçue par Denial, pseudonyme de l'artiste canadien Daniel Bombardier, cette pièce allie l'esprit subversif du street art et du graffiti au prestige d'une marque de luxe – une juxtaposition récurrente dans le monde du pop art. La capacité de Denial à tisser ces éléments apparemment disparates révèle son sens aigu de la culture, de l'ironie et de la puissance des symboles dans notre société de consommation actuelle. Cette pièce de 2018, portant la mention « PP Printers Proof », atteste de son exclusivité en tant qu'édition limitée. Ces épreuves sont des versions préliminaires de l'œuvre imprimée, offrant un aperçu du processus créatif de l'artiste et garantissant la qualité des tirages finaux. De plus, elle est accompagnée d'un certificat d'authenticité et signée, offrant aux collectionneurs un lien tangible avec Denial lui-même. Mesurant 8 x 31 pouces, cette planche de skateboard est bien plus qu'une simple toile : c'est un symbole de la culture urbaine. Si le choix de cette planche peut paraître inhabituel pour de nombreux artistes traditionnels, il s'inscrit parfaitement dans l'univers du street art et du graffiti, cher à Denial. Au centre de l'œuvre, le logo Rolex est revisité sous la forme d'une pilule. Cette représentation interroge l'obsession de la société pour le luxe et les extrémités auxquelles certains sont prêts à aller pour atteindre ou afficher leur richesse. L'utilisation de la pilule, symbole de solutions rapides et d'euphorie éphémère, soulève des questions sur la nature fugace du luxe et la pression sociale exercée par les marques. Brillante fusion de culture pop, de marques de luxe et de street art, la planche de skateboard « Rolex Designer Drugs » de Denial est bien plus qu'un simple régal pour les yeux. C'est une critique, un dialogue et un témoignage de l'évolution de l'art au XXIe siècle.

    $1,095.00

  • Trip A Stitch In Time EpiPen Blotter Paper Archival Print by Ben Frost

    Ben Frost Tirage d'archives sur papier buvard EpiPen « Trip A Stitch In Time » par Ben Frost

    Tirage d'art sur papier buvard EpiPen « Trip A Stitch In Time » par Ben Frost, édition limitée, impression pigmentaire d'art sur papier buvard perforé. Édition limitée signée et numérotée 2025 de tirage pigmentaire d'archives à déterminer sur papier buvard perforé. Format : 7,5 x 7,5 pouces. Sortie : 19 avril 2025. Les éditions limitées sur buvard sont perforées à la main par Zane Kesey. Stitch de Ben Frost et la rébellion des ordonnances L'œuvre « Trip A Stitch In Time EpiPen Blotter Paper Archival Print » de Ben Frost, une estampe pigmentaire en édition limitée sur papier buvard perforé, publiée en 2025, poursuit la critique acerbe de l'artiste de rue australien à l'égard du consumérisme, du marketing pharmaceutique et de la récupération de la culture populaire. Dans cette œuvre, l'extraterrestre Stitch, personnage de dessin animé, est représenté dans une crise de frénésie, superposé à un emballage d'EpiPen. Reconnu pour ses collisions visuelles sans concession, Ben Frost utilise l'énergie brute du graffiti et l'esthétique de la bande dessinée pour livrer une satire mordante du marketing de la dépendance médicale, tout en transformant des personnages d'enfance familiers en symboles d'un chaos hyperactif. Quand le pop art urbain rencontre l'anxiété liée aux médicaments Ce qui distingue cette œuvre dans la catégorie Street Pop Art et Graffiti, c'est son honnêteté brutale, tant sur le plan esthétique que dans son message. L'association d'un Stitch hyperactif et de la typographie stérile d'un médicament sur ordonnance crée une dissonance visuelle immédiate. Les dents acérées, les yeux exorbités et la main griffue de Stitch expriment un excès d'émotions, en contradiction flagrante avec le design contrôlé et impersonnel de l'étiquette de l'EpiPen derrière lui. Cette juxtaposition agit comme une métaphore de l'épuisement culturel, de la médication de l'identité et de la marchandisation de l'enfance et de la santé. L'utilisation par Frost de buvards, un support historiquement associé au LSD, renforce la tonalité psychédélique et ajoute une dimension supplémentaire à la réflexion sur l'évasion sociale par les pilules, le plaisir ou la nostalgie. La perforation comme support et message L'estampe est réalisée sur une feuille buvard perforée de 19 x 19 cm, perforée à la main par Zane Kesey, fils de Ken Kesey, figure emblématique du mouvement psychédélique. Ce détail inscrit l'œuvre dans un débat historique plus large autour de la conscience, de l'art et de la rébellion. Dans ce format, l'œuvre devient un objet de consommation métaphorique, suggérant l'idée de déconstruire les récits aseptisés pour révéler des vérités fragmentées. Les perforations font également écho à l'éphémère du street art, à sa nature même de division, de destruction ou de partage. Le médium est autant un message qu'une image, Frost exploitant chaque centimètre carré du support pour une narration critique. Le pouvoir de la mutation satirique dans la culture urbaine Le style visuel de Ben Frost repose souvent sur la mutation, l'appropriation et la critique, et « Trip A Stitch In Time » se distingue par son commentaire frénétique sur la surstimulation, la distorsion identitaire et la dépendance aux médicaments. Dans le contexte du Street Pop Art et du graffiti, cette œuvre dépasse la simple parodie du monde médical : elle dénonce l'équilibre artificiel que la société tente d'imposer par le biais des pilules, des marques et des personnages réinterprétés. Stitch, dans cette réinterprétation chaotique, devient un monstre de la consommation moderne, saisi au moment où il s'affranchit des contraintes des étiquettes médicamenteuses et de la nostalgie des dessins animés pour s'attaquer à quelque chose de bien plus humain : la vérité à travers la folie.

    $550.00

  • Dextroamphetamine Black Beauty The Prisoner Bear Art Toy by Luke Chueh

    Luke Chueh Dextroamphétamine Black Beauty L'ours prisonnier, figurine artistique de Luke Chueh

    Dextroamphétamine Black Beauty The Prisoner Bear Art Toy par Luke Chueh, œuvre d'art en vinyle en édition limitée d'un artiste de graffiti de rue. Œuvre d'art en édition limitée 2017 à 500 exemplaires, accompagnée d'un emballage en coton, d'un sac et d'un tube. Inspirée de la peinture originale de Luke Chueh, « Le Prisonnier » explore la captivité sous toutes ses formes : physique, mentale ou médicamenteuse. Le trouble de stress post-traumatique (TSPT) est un problème de santé mentale qui peut se développer après avoir vécu ou été témoin d'un événement potentiellement mortel tel qu'un combat, une catastrophe naturelle, un accident de voiture ou une agression sexuelle. Par ailleurs, la dépendance aux médicaments sur ordonnance comme le Percocet a engendré de nombreux problèmes d'addiction. Dextroamphétamine Black Beauty Le Prisonnier de Luke Chueh : Une sombre réflexion sur la dépendance dans l’art urbain pop et le graffiti « Dextroamphétamine Black Beauty The Prisoner » est une figurine d'art en vinyle en édition limitée, créée par l'artiste Luke Chueh en 2017. Tirée à 500 exemplaires, cette figurine fait partie de la série « Prisoner », qui transpose la puissante peinture de Chueh en une sculpture tridimensionnelle. Chaque exemplaire est accompagné d'un sac doublé de coton et emballé dans un tube orange, façon ordonnance, orné d'une étiquette pharmaceutique fictive. Cette version particulière, intitulée « Black Beauties », fait référence à l'expression argotique désignant les médicaments stimulants comme la dextroamphétamine, autrefois utilisés pour traiter le TDAH et la narcolepsie, mais aussi largement détournés de leur usage initial pour leurs effets euphorisants et énergisants. La figurine représente l'ours emblématique de Chueh, assis, les bras enlacés autour de ses pattes, le corps affaissé dans une posture de désespoir silencieux. Dans cette version en vinyle noir, le personnage devient encore plus sombre et obsédant, amplifiant les thèmes sous-jacents de captivité émotionnelle et de dépendance aux substances synthétiques présents dans l'œuvre. La couleur comme poids psychologique et symbolisme La couleur noire de cette figurine, associée à l'inscription « Black Beauties » sur l'étiquette, suscite une réaction émotionnelle directe liée à l'obscurité, à l'isolement et à l'intensité. Si les versions précédentes du Prisonnier utilisaient la couleur pour représenter l'engourdissement ou la sédation, cette édition intensifie la métaphore en embrassant les codes visuels de la détresse intériorisée. La figurine, enfermée dans son tube de pharmacie orange transparent, apparaît comme un état émotionnel piégé, incapable de s'exprimer ou de bouger. Ses yeux sont réduits à de petits points blancs vides qui contrastent avec le corps noir mat, lui conférant une apparence fantomatique et repliée sur elle-même. Cette contradiction visuelle, entre la forme adorable et sa forte charge émotionnelle, est une caractéristique de la contribution de Luke Chueh au Street Pop Art et au graffiti. Le jouet devient un lieu de tension, où l'esthétique de la culture des objets de collection rencontre les réalités émotionnelles de la santé mentale, de la dépendance et de la pression sociale. L'expression de la douleur par Luke Chueh à travers le minimalisme du vinyle Luke Chueh, artiste basé à Los Angeles, s'est imposé sur la scène du street art et du pop art grâce à ses personnages à la fois profondément personnels et accessibles. Son art reflète la douleur silencieuse que beaucoup ressentent en secret, donnant forme à des états d'âme souvent indicibles. La série « Prisoner », et plus particulièrement cette édition « Black Beauty », explore la manière dont les traumatismes et le syndrome de stress post-traumatique sont traités médicalement, et comment la dépendance aux substances – qu'il s'agisse de stimulants, d'opioïdes ou autres – peut devenir une forme d'enfermement. Les ours en vinyle de Chueh ne sont pas de simples symboles émotionnels ; ils témoignent visuellement de la fragilité humaine, rendus avec un minimalisme saisissant et une posture puissante. Son travail réintègre l'art du jouet dans le cadre du street art, du pop art et du graffiti, démontrant que de petites sculptures, de la taille d'une main, peuvent avoir autant de force expressive que de grandes fresques ou installations. La série des prisonniers et le langage des médicaments comme objet d'art « Dextroamphétamine Black Beauty The Prisoner » transforme la culture pharmaceutique en une forme d'art tactile qui, tout en la documentant, la critique. L'emballage imite de véritables flacons de médicaments, avec de fausses instructions et des informations de contact, renforçant l'idée que cet objet n'est pas extérieur au discours médical de la société, mais qu'il en fait partie intégrante. Ce mode de présentation ajoute de la profondeur et renforce l'intégrité conceptuelle de l'œuvre. Limitée à 500 exemplaires, chaque figurine devient un commentaire de collection sur les réalités des traitements chimiques modernes, les attentes sociales et la souffrance indicible. Au sein du mouvement plus large du Street Pop Art et du graffiti, cette œuvre confirme la position de Luke Chueh comme un artiste qui utilise la douceur pour explorer la violence et qui donne un langage sculptural aux conditions émotionnelles et pharmaceutiques de la vie contemporaine. L'ours reste immobile, mais son silence est assourdissant.

    $320.00

  • Oxycontin The Prisoner Drug Bear Art Toy by Luke Chueh

    Luke Chueh Oxycontin, l'ours prisonnier de la drogue, figurine artistique par Luke Chueh

    Oxycontin The Prisoner Drug Bear Art Toy par Luke Chueh, œuvre d'art en vinyle en édition limitée, réalisée par un artiste de graffiti de rue. Œuvre d'art en édition limitée 2017 à 300 exemplaires, accompagnée d'un emballage en coton, d'un sac et d'un tube. Inspirée de la peinture originale de Luke Chueh, « Le Prisonnier » explore la captivité sous toutes ses formes : physique, mentale ou médicamenteuse. Le trouble de stress post-traumatique (TSPT) est un problème de santé mentale qui peut se développer après avoir vécu ou été témoin d'un événement potentiellement mortel tel qu'un combat, une catastrophe naturelle, un accident de voiture ou une agression sexuelle. Par ailleurs, la dépendance aux médicaments sur ordonnance comme le Percocet a engendré de nombreux problèmes d'addiction. Oxycontin, l'ours prisonnier de la drogue, par Luke Chueh : sculpter le poids de la dépendance dans l'art urbain pop et le graffiti. « Oxycontin The Prisoner » est une figurine en vinyle en édition limitée, créée en 2017 par l'artiste Luke Chueh, basé à Los Angeles. Tirée à 300 exemplaires, chaque figurine est présentée dans un tube rappelant un flacon de pilules, orné d'une étiquette personnalisée, rembourré de coton et accompagné d'un sachet. Cette pièce appartient à la série « The Prisoner » de Chueh, une œuvre à la fois poignante et conceptuellement provocatrice qui explore la captivité psychologique et chimique engendrée par les traumatismes et la dépendance aux médicaments. La figurine, assise, les bras enlacés autour des genoux fléchis et la tête inclinée en signe de reddition, est réalisée en vinyle rose pâle, une teinte volontairement vulnérable évoquant la fragilité et l'exposition. Cette édition arbore la marque pharmaceutique de l'Oxycontin, l'un des analgésiques les plus controversés, associé à la fois au soulagement et à la dépendance. S'inscrivant dans le champ visuel du street art et du graffiti, cette œuvre constitue une protestation sculpturale contre la médicalisation de la santé mentale et la marchandisation du confort. Captivité pharmaceutique encapsulée dans un design minimaliste L'utilisation du flacon de pilules comme emballage et point d'ancrage contextuel est essentielle à la portée conceptuelle d'Oxycontin, le prisonnier. Plus qu'un simple élément décoratif, il fait office de cellule métaphorique. Le flacon en plastique orange, objet familier des armoires à pharmacie américaines, devient une prison de souffrance sourde. La silhouette d'ours à l'intérieur, aux tons doux mais à la posture rigide, exhale une angoisse et une immobilité silencieuses. Ses traits simplifiés font partie intégrante du style visuel caractéristique de Luke Chueh : épuré, anthropomorphique et chargé d'émotion. Cette approche minimaliste permet aux spectateurs de projeter leurs propres expériences et réactions émotionnelles sur le personnage, qu'il s'agisse d'isolement, d'anxiété, d'engourdissement ou de résignation. Dans la lignée du street art et du graffiti, cette œuvre se réapproprie l'iconographie de la consommation et la transforme en un manifeste sur les luttes liées à la santé mentale, tant individuelles que collectives. Luke Chueh et la voix de la vulnérabilité émotionnelle dans l'art contemporain Luke Chueh, artiste américain de naissance et de résidence, s'est imposé comme une figure majeure de la culture du vinyle et du récit visuel émotionnel. Son œuvre utilise systématiquement des personnages – notamment son ours emblématique – comme symboles d'un réalisme psychologique masqué par l'iconographie pop. « Oxycontin The Prisoner » approfondit cette approche en faisant explicitement référence à l'épidémie d'addiction aux opioïdes et au recours aux solutions pharmacologiques pour traiter des troubles mentaux tels que le syndrome de stress post-traumatique, la dépression et l'anxiété chronique. L'œuvre de Chueh ne cherche pas à apporter de solution ; elle offre plutôt une prise de conscience. L'ours n'est pas représenté dans une posture de résistance ou d'espoir, mais dans l'immobilité, reflétant la sédation physique et émotionnelle souvent ressentie par les personnes dépendantes de médicaments comme l'Oxycontin. Son utilisation de la sculpture au sein du Street Pop Art et du graffiti élargit le potentiel de cette catégorie en y intégrant des récits introspectifs, sincères et à forte charge thérapeutique. Une œuvre de collection témoignant de la douleur et de la prise de conscience à travers le street art pop et le graffiti. Oxycontin The Prisoner n'est pas qu'un simple jouet ou une figurine de collection : c'est une œuvre contemporaine qui témoigne d'une époque de souffrance psychologique généralisée et de la réaction de la société face à celle-ci. En associant un vinyle de collection à des références pharmaceutiques bien réelles, Luke Chueh révèle la fragilité qui se cache souvent derrière un soulagement artificiel. L'emballage, dont les détails rappellent les informations d'une ordonnance, renforce le contrôle institutionnel exercé sur les soins de santé mentale. Tirée à seulement 300 exemplaires, cette édition est très recherchée, non seulement pour sa rareté, mais aussi pour son rôle dans l'exploration de thèmes importants à travers une œuvre d'art tangible et expressive. Au sein de la série The Prisoner, elle confirme la place de Luke Chueh dans le mouvement du Street Pop Art et du graffiti, en tant que conteur de l'expérience humaine intérieure, exprimée par la forme, la posture et le silence.

    $350.00

  • Trip Benzos Blotter Paper Archival Print by Ben Frost

    Ben Frost Papier buvard Trip Benzos, impression d'archives par Ben Frost

    Tirage d'art sur papier buvard Trip Benzos, par Ben Frost, édition limitée, impression pigmentaire d'art sur papier buvard perforé. Édition limitée signée et numérotée 2025 de tirage pigmentaire d'archives à déterminer sur papier buvard perforé. Format : 7,5 x 7,5 pouces. Sortie : 19 avril 2025. Les éditions limitées sur buvard sont perforées à la main par Zane Kesey. Trip Benzos par Ben Frost : L’iconographie du jeu vidéo rencontre le pop art urbain et le graffiti « Trip Benzos », une estampe sur papier buvard en édition limitée (2025) de l'artiste australien Ben Frost, capture la collision saisissante entre culture nostalgique et critique pharmaceutique contemporaine, à travers le prisme du street art, du pop art et du graffiti. Présentée sous la forme d'un tirage pigmentaire d'archive de 19 x 19 cm sur papier buvard perforé à la main par Zane Kesey, cette œuvre est une réinterprétation psychédélique d'un personnage de jeu vidéo familier, métamorphosé en un avatar anxieux et souriant de l'intoxication médicamenteuse. L'exubérance déformée de l'expression et la palette audacieuse reflètent l'interrogation caractéristique de Frost sur les médias, la médecine et les états mentaux. Satire pharmaceutique et subversion pop Frost est mondialement reconnu pour sa capacité à détourner les icônes du divertissement commercial en une critique sociale incisive. Dans Trip Benzos, il s'approprie une mascotte de jeu vidéo emblématique et la revêt de son costume de raton laveur, cette fois-ci sous l'emprise de l'hyperréalité. Avec ses yeux aux couleurs de l'arc-en-ciel tourbillonnantes et ses membres hypertrophiés, la figure devient une métaphore des euphories artificielles et de l'évasion alimentée par les dessins animés, propres à la vie moderne. Le mot BENZOS, inscrit en lettres capitales au-dessus, ancre le regard du spectateur dans le thème pharmacologique. À l'instar de l'ensemble de son œuvre, Frost interroge ici l'éthique de la société de consommation et la frontière ténue entre divertissement et sédation. Culture visuelle sur buvard L'utilisation de buvards perforés est essentielle à la portée conceptuelle de l'œuvre. Ce support, traditionnellement associé à la distribution de LSD, est ici réapproprié comme un format d'art à part entière. L'exécution de Frost est précise, colorée et empreinte d'ironie. La vivacité hallucinogène de l'estampe et le style graphique épuré confèrent à l'image une intensité comique palpable. Les nuages ​​et les champs verdoyants forment un arrière-plan apaisant qui contraste fortement avec le titre de l'estampe, invitant le spectateur à concilier innocence et euphorie artificielle. Le support devient plus qu'une simple surface : il devient une réflexion sur la perception altérée, le marketing et l'identité. Ben Frost et le récit urbain contemporain Ben Frost, artiste basé à Sydney, s'est forgé une renommée internationale grâce à des œuvres mêlant iconographie d'entreprise, satire pop et esthétique graffiti. Son travail s'exprime souvent dans l'espace public, les galeries, et désormais sur des supports insolites comme le papier buvard, créant un dialogue entre légalité urbaine, beaux-arts et critique sociale. « Trip Benzos » prolonge l'intérêt de Frost pour la dépendance aux médicaments et la caricature de la santé mentale. C'est un instantané d'une culture imbuvable, accro au divertissement et aux médicaments qui la poussent au sourire. Cette édition limitée porte la voix de la scène underground tout en utilisant les outils du marketing de masse, une formule qui définit la puissance et la force de provocation du street art et du graffiti.

    $550.00

  • Kuma Kush The Prisoner Cannabis Drug Bear Art Toy by Luke Chueh

    Luke Chueh Kuma Kush, l'ours prisonnier, jouet d'art représentant une drogue du cannabis, par Luke Chueh

    Kuma Kush The Prisoner Cannabis Drug Bear Art Toy par Luke Chueh, œuvre d'art en vinyle en édition limitée, réalisée par un artiste de graffiti de rue. Œuvre d'art en édition limitée 2017 à 300 exemplaires, accompagnée d'un emballage en coton, d'un sac et d'un tube. Inspirée de la peinture originale de Luke Chueh, « Le Prisonnier » explore la captivité sous toutes ses formes : physique, mentale ou médicamenteuse. Le trouble de stress post-traumatique (TSPT) est un problème de santé mentale qui peut se développer après avoir vécu ou été témoin d'un événement potentiellement mortel tel qu'un combat, une catastrophe naturelle, un accident de voiture ou une agression sexuelle. Par ailleurs, la dépendance aux médicaments sur ordonnance comme le Percocet a engendré de nombreux problèmes d'addiction. Kuma Kush The Prisoner de Luke Chueh : Cannabis et captivité émotionnelle dans l’art urbain pop et le graffiti Kuma Kush The Prisoner est une figurine en vinyle en édition limitée, créée par l'artiste Luke Chueh, basé à Los Angeles, en 2017. Produite à 300 exemplaires, chaque figurine est présentée dans un emballage vert translucide, semblable à une ordonnance, accompagnée d'un sachet en coton et d'une étiquette imprimée imitant les emballages des dispensaires de cannabis. Cette pièce de collection fait partie de la série The Prisoner de Chueh, qui transpose sa peinture originale en vinyle tridimensionnel. La figurine représente un ours assis, les pattes croisées, les bras enlacés autour des genoux et la tête baissée, dans une posture de sevrage silencieux. Cette édition vert turquoise, surnommée Kuma Kush, déplace le regard sur le cannabis comme mécanisme d'adaptation, invitant à réfléchir aux implications psychologiques des médecines alternatives et de la dépendance affective. Profondément ancrée dans le langage et le symbolisme du Street Pop Art et du graffiti, cette œuvre transforme une figurine d'apparence mignonne en une sculpture émotionnelle profondément évocatrice. Couleur, forme et emballage comme commentaire social Le choix d'un tube en plastique vert, traditionnellement associé au stockage du cannabis, transforme l'ours en une métaphore de l'évasion, de l'automédication et de la quête d'apaisement face à la souffrance psychologique. Le nom de la variété, Kuma Kush, joue sur la culture populaire et le vocabulaire médical, mêlant une apparence ludique à une gravité sous-jacente. La figurine d'ours de Chueh, d'un vert menthe profond, est statique et introspective, prisonnière à la fois de sa posture et de l'enfermement symbolique du contenant. L'esthétique est épurée, minimaliste et chargée d'émotion. Cette retenue visuelle est essentielle à l'impact de l'œuvre : Chueh utilise le silence et l'immobilité pour exprimer une profonde réflexion. L'ours n'est pas une mascotte, mais un réceptacle, représentant le fardeau émotionnel que beaucoup portent en silence. En plaçant le jouet dans un emballage à connotation médicale, Chueh fait du contenant une extension de l'œuvre, transformant la présentation de l'objet en un outil narratif cohérent avec la nature provocatrice du Street Pop Art et du graffiti. Luke Chueh et l'art de l'exposition émotionnelle Luke Chueh s'est imposé comme une figure majeure de l'art pop et urbain contemporain grâce à son exploration des thèmes de la santé mentale, de l'addiction et de la vulnérabilité. Ses figures d'ours emblématiques sont devenues des symboles universels de la lutte, conçues pour susciter l'empathie sans avoir recours aux mots. Dans Kuma Kush The Prisoner, Chueh intègre la culture du cannabis à son récit sur la répression émotionnelle et la dépendance. Il ne s'agit ni d'une célébration ni d'une condamnation du cannabis, mais d'une observation sur la façon dont les individus se tournent vers les substances – légales ou non – pour faire face aux traumatismes, à l'anxiété et au syndrome de stress post-traumatique. La démarche de Chueh n'est ni cynique ni idéalisée. Elle se situe dans la zone grise où se croisent émotion, mécanismes d'adaptation et survie, plaçant ainsi son œuvre à l'avant-garde du street art et du graffiti qui abordent les problématiques sociales par le biais d'un design à forte résonance émotionnelle. La série Prisoner comme objet d'art et reflet culturel La figurine Kuma Kush « The Prisoner » est à la fois un objet de collection et une œuvre engagée. Tirée à seulement 300 exemplaires, elle est rare et porteuse d'un message fort. Malgré sa petite taille, elle transmet un message qui dépasse largement ses dimensions. Elle trouve sa place non seulement dans les vitrines, mais aussi dans l'esprit de ceux qui la contemplent, devenant une présence discrète et réconfortante pour ceux qui traversent des moments difficiles. Par une forme minimaliste et un symbolisme chargé d'émotion, Luke Chueh transforme cette figurine en vinyle en une véritable sculpture psychologique. S'inscrivant dans le mouvement du Street Pop Art et du graffiti, la série « The Prisoner » – et cette édition Kuma Kush en particulier – démontre comment l'art visuel peut aborder des vérités difficiles sur les médicaments, les traumatismes et la vulnérabilité humaine sans sacrifier la simplicité esthétique ni la clarté émotionnelle.

    $350.00

  • Four Tablets Daily Archival Print by Ben Frost

    Ben Frost Quatre tablettes par jour, impression d'archives par Ben Frost

    Four Tablets Daily, impression d'archives par Ben Frost, édition limitée sur papier Canson Cotton Rag Photographique Fine Art 310 g/m², style pop graffiti, art urbain moderne. Tirage signé et numéroté de 2024, édition limitée à 15 exemplaires, format 11,7 x 11,7 pouces, pigments d'archivage, beaux-arts, femme sur un emballage pharmaceutique pour Ritalin 10. L'emballage pharmaceutique comme support dans l'art urbain pop et le graffiti « Four Tablets Daily », de l’artiste australien Ben Frost, est une œuvre saisissante et percutante, à la croisée du street art, du pop art et du graffiti. Tirage pigmentaire d’archive sur papier Canson Cotton Rag Photographique 310 g/m², cette édition limitée de 2024 fusionne avec audace l’esthétique des médicaments et l’imagerie pop classique. Le style distinctif de Frost mêle des visuels épurés, inspirés de la publicité, aux thèmes de la consommation, de l’identité et des effets anesthésiants de la médecine moderne. L’artiste utilise ici une véritable boîte de Ritalin 10 comme support, la transformant en un portrait ironique et troublant de la dépendance et des idéaux de beauté contemporains. La fusion de la culture de consommation et du commentaire artistique Ben Frost, connu pour son détournement d'emballages, de logos et de symboles culturels, utilise cette œuvre pour interroger le rapport de la société aux médicaments sur ordonnance et aux médias de masse. L'estampe présente le visage stylisé d'une femme, dont les yeux bleus et les lèvres rouges évoquent les héroïnes de bandes dessinées du milieu du XXe siècle, se détachant sur les contraintes géométriques d'un emballage pharmaceutique. La juxtaposition entre son regard sensuel et construit et le langage clinique de l'étiquetage du Ritalin suggère une tension entre plaisir artificiel et contrôle médical. En conservant la majeure partie du texte de l'emballage original, Frost permet à l'œuvre de préserver son contexte initial, rendant le spectateur mal à l'aise face à l'idée qu'il ne s'agit pas seulement d'art, mais aussi d'un artefact issu d'une utilisation réelle. Édition limitée : l'art rencontre le graffiti et la satire pop Tirée en édition très exclusive à seulement 15 exemplaires, chaque estampe est signée et numérotée par l'artiste. Ses dimensions de 29,7 x 29,7 cm en font une œuvre compacte et percutante, qui condense le commentaire visuel de Frost en un carré incisif et satirique. Réalisée sur papier coton de qualité muséale, avec des pigments d'archivage, cette estampe transforme la nature éphémère du consumérisme et le commentaire social en une œuvre d'art durable. À la croisée de l'art contemporain de collection et de la contestation, cette estampe puise son énergie aussi bien dans les galeries que dans la rue. Le rôle particulier de Ben Frost dans l'art pop et graffiti moderne Ben Frost est un artiste de street art basé à Sydney, reconnu internationalement pour sa critique acerbe de la culture populaire, de l'industrie pharmaceutique et du marketing de consommation. Ses œuvres ont été exposées dans des villes comme Londres, New York et Tokyo, et sont devenues emblématiques de la critique post-pop. Dans « Four Tablets Daily », Frost confirme sa place dans le graffiti pop contemporain en détournant des formats familiers et en les transformant en réflexions sociétales incisives. Cette œuvre, à l'instar de nombre de ses travaux, brouille la frontière entre présentation en galerie et confrontation dans la rue, incitant les spectateurs à s'interroger sur leurs habitudes, leurs dépendances et les images soigneusement conditionnées qu'ils consomment quotidiennement.

    $550.00

  • Ritalin Scar Archival Print by Ben Frost

    Ben Frost Ritalin Scar Archival Print par Ben Frost

    Tirage d'art en édition limitée, pigment d'archivage, sur papier photo coton chiffon 310 g/m², par l'artiste Ben Frost, légende du street art pop graffiti. Édition limitée signée et numérotée de 50 exemplaires, 2022. Œuvre d'art de 12 x 12 pouces, signée, édition 2022 de 50 exemplaires « Ritalin Scar ». Impression numérique d'archives sur papier Bauhaus Photo Rag 100 % coton 310 g/m². Gaufrée, signée et numérotée par l'artiste. 30 cm x 30 cm (12 x 12 pouces), sans cadre. Cicatrice Ritalin par Ben Frost : Une fusion saisissante de culture pop et de produits pharmaceutiques dans l’art urbain pop et le graffiti. « Ritalin Scar » de Ben Frost est une œuvre marquante du mouvement Street Pop Art et Graffiti. Sortie en 2022, cette impression d'art pigmentaire de haute qualité est réalisée sur papier Bauhaus Photo Rag 100 % coton de 310 g/m², un matériau reconnu pour sa qualité et sa durabilité exceptionnelles. Mesurant 30 cm x 30 cm (12 x 12 pouces sans cadre), cette œuvre fait partie d'une édition limitée, signée et numérotée, à seulement 50 exemplaires. Chaque tirage est individuellement estampillé, signé et numéroté par Ben Frost, ce qui en fait une pièce de collection très recherchée. En superposant la figure menaçante de Scar, du « Roi Lion » de Disney, sur une boîte de Ritalin LA aplatie, Frost invite le spectateur à un dialogue provocateur sur les perceptions sociétales du contrôle, des médicaments et de la perversité, à travers le langage visuel de la culture pop. Le processus artistique et les thèmes provocateurs de Ritalin Scar Ben Frost, artiste australien reconnu pour son style subversif et provocateur, utilise des personnages familiers et des marques de consommation pour livrer un commentaire social incisif. Dans Ritalin Scar, il choisit stratégiquement Scar, personnage connu pour sa ruse et sa traîtrise, et le juxtapose à un emballage pharmaceutique destiné à réguler le comportement. Cette association invite à une réflexion critique sur la manière dont la société perçoit et gère la déviance, notamment chez les enfants. L'utilisation d'une technique d'impression numérique d'archivage garantit la vivacité des couleurs et la netteté des lignes, préservant ainsi l'impact immédiat de l'œuvre. En détournant des emballages du monde réel en support, Frost met en lumière la relation complexe entre consumérisme et identité personnelle, un thème profondément ancré dans la tradition du street art, du pop art et du graffiti. L'influence de Ben Frost sur l'art urbain pop et le graffiti contemporains Ben Frost s'est forgé une réputation internationale grâce à son langage visuel provocateur qui remet en question les normes sociales et la culture de consommation. Son œuvre mêle souvent des éléments publicitaires, pharmaceutiques et des images de dessins animés populaires, rendant son style immédiatement reconnaissable. À travers des œuvres comme « Ritalin Scar », Frost affirme que le street art et le graffiti constituent une plateforme essentielle pour aborder des sujets controversés. Sa manipulation de l'imagerie de la culture populaire bouleverse les récits traditionnels associés à ces personnages et produits, les transformant en symboles d'un commentaire social plus large. L'œuvre de Frost capture l'esprit de rébellion et de critique qui caractérise le street art et le graffiti, démontrant sa capacité à susciter la réflexion et à alimenter le débat à une époque de saturation médiatique croissante. L'importance des tirages en édition limitée comme Ritalin Scar Posséder une édition limitée comme « Ritalin Scar » offre aux collectionneurs une œuvre tangible de critique culturelle contemporaine. L'association du papier photo Bauhaus 310 g/m² et de l'impression numérique d'archivage garantit une finition digne d'un musée, respectant la vision originale de l'artiste. Tirée à seulement 50 exemplaires, chacun estampillé, signé et numéroté par Ben Frost, cette œuvre rare acquiert une valeur et une importance particulières. Le street art, le pop art et le graffiti se caractérisent par l'exclusivité et l'authenticité, des qualités qui imprègnent chaque aspect de cette pièce. « Ritalin Scar » met non seulement en lumière le style distinctif de Frost, mais capture également la tension persistante entre culture pop, influence pharmaceutique et autonomie individuelle, ce qui en fait une œuvre phare des collections de pop art et de street art contemporains.

    $650.00

  • Louis Vuitton Designer Drugs PP Skateboard Art Deck by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Planche de skateboard Louis Vuitton Designer Drugs PP Art par Denial - Daniel Bombardier

    Planche de skateboard Louis Vuitton Designer Drugs PP Printers Proof Art Deck par Denial - Daniel Bombardier, édition limitée, impression d'archives sur planche de skateboard en bois par un artiste de street art et de graffiti. Épreuve d'imprimeur PP 2018, marquée PP, édition limitée, signée, certificat d'authenticité, œuvre d'art pour skateboard, format 8x31, planche de skateboard avec le célèbre logo Louis Vuitton et des éléments de pilule stylisés. La planche de skateboard Louis Vuitton Designer Drugs PP Printers Proof est une pièce iconique qui reflète l'interaction dynamique entre le luxe et l'esprit audacieux du street art. Ce chef-d'œuvre, conçu et réalisé par Denial, pseudonyme artistique du visionnaire canadien Daniel Bombardier, propose une exploration profonde du paysage sociétal contemporain, s'imposant comme un sujet de discussion majeur au sein des communautés pop art et street art. Cette création de 2018 se distingue non seulement par son originalité artistique, mais aussi par son exclusivité : elle fait partie d'une édition limitée à seulement 50 exemplaires, portant le label « PP Printers Proof ». Ces épreuves sont des versions préliminaires de l'œuvre finale, témoignant du processus créatif de l'artiste et garantissant une qualité optimale. Chaque pièce de cette collection est accompagnée d'un certificat d'authenticité signé par Denial, attestant de son authenticité et de sa valeur. Avec ses dimensions de 8 x 31 pouces, cette planche de skateboard est bien plus qu'une simple toile : elle incarne l'énergie brute et sans concession de la culture urbaine. L'œuvre met principalement en scène le logo Louis Vuitton, mondialement reconnu, mais l'interprétation de Denial y apporte une touche d'originalité. Le logo iconique s'entremêle à des éléments stylisés de pilules, offrant une critique de l'obsession de la société pour le luxe et des extrémités auxquelles certains sont prêts à aller pour atteindre une opulence éphémère. La pilule, symbole d'un soulagement passager, suggère peut-être la nature éphémère du luxe matérialiste. À la croisée de la mode, de l'art et du commentaire social, la planche de skateboard Louis Vuitton Designer Drugs de Denial est bien plus qu'un simple spectacle visuel. Elle invite à questionner, à réfléchir et à dialoguer sur les valeurs et les obsessions du monde moderne.

    $1,095.00

  • Feeling Down Charlie Brown Archival Print by Ben Frost

    Ben Frost ARCHIVALPP Impression d'archives par ARTIST

    Achetez TITRE Archival Pigment Fine Art Limited Edition Print sur MEDIUM Pop Artist Modern Artwork. 2022 Édition limitée signée et numérotée de XXX Taille de l'œuvre XXXX INFO

    $621.00

  • Cialis Le Pew Blotter Paper Archival Print by Ben Frost

    Ben Frost Papier buvard Cialis Le Pew, impression d'archives par Ben Frost

    Impression d'art sur papier buvard perforé Cialis Le Pew par Ben Frost, édition limitée, impression pigmentaire d'art sur papier buvard perforé. Édition limitée signée et numérotée 2025 de tirage pigmentaire d'archives à déterminer sur papier buvard perforé. Format : 7,5 x 7,5 pouces. Sortie : 19 avril 2025. Les éditions limitées sur buvard sont perforées à la main par Zane Kesey. Esthétique pharmaceutique et satire dessinée L'œuvre « Cialis Le Pew » de Ben Frost fusionne l'absurdité du dessin animé et l'esthétique pharmaceutique dans une édition limitée sur papier buvard, disponible depuis 2025. Reconnu pour son art urbain pop et ses graffitis provocateurs, Frost invite le spectateur à une expérience subversive en mêlant le personnage suggestif de Pépé le Putois à l'identité visuelle du Cialis, médicament bien connu contre les troubles de l'érection. Imprimée sur un papier buvard perforé de 19 x 19 cm et perforée à la main par Zane Kesey, cette œuvre se situe à la croisée de la critique consumériste et de l'humour visuel. Avec un trait audacieux et une palette de couleurs typiquement pharmaceutiques, Frost utilise la satire pour exposer les contradictions entre santé, désir et fantasme dans la culture commerciale. Réinterpréter le message de marque à travers la pop urbaine L'œuvre de Ben Frost s'approprie fréquemment le langage visuel des biens de consommation, notamment ceux liés aux produits pharmaceutiques et à la restauration rapide. Dans cette estampe, la structure formelle d'un emballage de Cialis est conservée : informations posologiques, marque et logo de l'entreprise sont présents. Mais l'ajout de Pepé Le Pew, alangui de manière provocante, transforme radicalement le message. L'œuvre ne traite plus d'un traitement médical ; elle devient une réflexion sur la projection romantique, la masculinité toxique et la séduction à grande échelle. Frost joue délibérément avec les tabous en insérant un personnage de dessin animé controversé dans l'emballage d'un médicament bien réel, utilisant l'humour comme outil d'interrogation culturelle. Format buvard comme toile conceptuelle Le choix de présenter cette estampe sur du papier buvard perforé approfondit sa portée. Traditionnellement associé à la culture psychédélique, l'art du buvard sert de plateforme à l'expression graphique contestataire depuis les années 1960. Dans ce format, l'image de Frost évoque les états de conscience modifiés, la dépendance aux drogues et la désillusion sociale. Le matériau devient un message en soi, incitant le spectateur à s'interroger sur sa consommation d'information, de médias et sur la construction de son identité. Les perforations ne sont pas seulement un clin d'œil à la culture underground des drogues, mais aussi un procédé qui abolit la froideur clinique des emballages pharmaceutiques. Ben Frost et le langage de l'ironie visuelle Ben Frost, artiste contemporain australien, s'est fait connaître en détournant logos, mascottes et marques visuelles. Par la juxtaposition satirique, il aborde l'addiction, la surconsommation et les contradictions du marketing moderne. Avec Cialis Le Pew, il poursuit cette démarche en transformant une boîte de médicament en une métaphore visuelle du désir et de la farce. L'œuvre interpelle le spectateur passif, l'invitant à s'interroger sur l'intersection entre intimité et marchandisation. À la fois provocatrice et engagée, elle est la rencontre explosive entre l'innocence du dessin animé et le marketing adulte, laissant une empreinte visuelle durable.

    $550.00

  • Panacea Silkscreen Print by MEUBON

    MEUBON Sérigraphie Panacea par MEUBON

    Sérigraphie Panacea de MEUBON, tirée à la main sur papier d'art blanc coquille d'œuf extra-fin, édition limitée. 2022 Édition limitée signée et numérotée de 300 œuvres d'art au format 20,25 x 15,75 sérigraphie. ยาตำราหลวง สถานที่จำหน่าย มาตำราหง เภสัชกรรม- Royal Medicine, Lieu de vente, Pharmacie Ma Tamra Hong Panacée par MUEBON – Remède satirique dans l'art urbain pop et graffiti « Panacea » est une sérigraphie en édition limitée de 2022, réalisée à la main par l'artiste thaïlandais MUEBON sur papier d'art Superfine Eggshell White, au format 51,4 x 40 cm. Signée et numérotée à 300 exemplaires, cette œuvre fusionne l'esthétique traditionnelle thaïlandaise avec un vocabulaire satirique propre au street art. La composition imite la mise en page et le ton d'une enseigne de pharmacie thaïlandaise vintage, avec des références typographiques à la médecine royale, des informations sur l'emplacement et des symboles réglementaires. Dans ce cadre, MUEBON insère son personnage emblématique : un oiseau noir espiègle à la posture quasi humaine, prenant soin de rangées de plants de cannabis aux couleurs éclatantes. La juxtaposition de l'autorité de l'État, de la légitimité médicale et de la rébellion populaire est exécutée avec une clarté visuelle chirurgicale et une acuité conceptuelle remarquable. Chaque ligne, chaque fissure, chaque élément graphique contribue à un message plus large sur la légalité, l'hypocrisie et l'évolution des normes culturelles. Symbolisme médicinal et ironie sociopolitique L'utilisation du titre « Panacée » par MUEBON évoque l'idée d'un remède miracle, d'une solution universelle aux maux de la société. Pourtant, l'estampe suggère que ce qui est présenté comme un remède est souvent dissimulé derrière des mécanismes de contrôle et des contradictions. Le personnage, rendu avec une précision de couleur et de personnalité remarquables, arrose des plants de marijuana avec l'indifférence désinvolte de quelqu'un qui a banalisé le tabou. L'arrière-plan imite des textures de murs usés et des panneaux défraîchis, suggérant un avis public officiel, désormais détourné. L'écriture thaïe affiche en gras des phrases telles que « ยาตำราหลวง » et « สถานที่จำหน่าย » (Médicament royal et Lieu de vente), tandis que la figure centrale sape le ton bureaucratique par une rébellion punk. Cette collision visuelle est typique de MUEBON : elle mêle un humour caricatural à une critique institutionnelle dans le style du Street Pop Art et du graffiti, et sert à la fois de documentation et de protestation. Technique de sérigraphie et précision esthétique L'estampe est réalisée selon les méthodes traditionnelles de la sérigraphie, ce qui permet à chaque couleur de conserver une saturation intense et une netteté parfaite des contours. Imprimée sur un papier blanc coquille d'œuf extra-fin, la texture subtile de l'œuvre accentue l'effet d'enseigne vintage, renforçant l'illusion de vieillissement et d'usure. La superposition maîtrisée des images – saleté, texte, plantes, timbres et personnages – témoigne de la précision de MUEBON dans la traduction de récits politiques complexes en œuvres d'art vibrantes et accessibles. Riche en codes culturels locaux, l'œuvre est universellement compréhensible, ce qui en fait un exemple remarquable, au sein du Street Pop Art et du graffiti, de la manière dont une voix régionale peut atteindre une résonance internationale grâce à une composition visuelle forte et une clarté thématique. MUEBON et l'anatomie culturelle de la légitimité Panacea n'est pas qu'une simple estampe : c'est un dialogue entre droit, commerce et autonomie individuelle. MUEBON utilise l'humour et une satire teintée de culture pop pour explorer l'évolution des relations en Thaïlande avec le cannabis médical, le contrôle gouvernemental et les tabous culturels. Son oiseau emblématique devient le symbole du citoyen lambda, naviguant dans un système qui légalise sélectivement ce qu'il criminalisait autrefois. L'œuvre fonctionne comme une métaphore visuelle des liens étroits entre pouvoir, propagande et santé publique. Dans le contexte du street art et du graffiti, Panacea propose un récit à plusieurs niveaux, dissimulé sous forme de signalétique publique. Elle suscite le rire, encourage le dialogue et invite les spectateurs à repenser la notion d'autorité lorsqu'elle se réinvente à travers des couleurs vives et des contradictions symboliques. MUEBON confirme ainsi son statut de maître de l'ironie visuelle et de l'analyse culturelle, à travers le prisme de la résistance urbaine.

    $500.00

  • Do No Harm 2 Syringe Social Media HPM Sculpture by Miss Bugs

    Miss Bugs SCULPTURELIMITED MEDIA Sculpture par ARTIST

    Achetez SCULPTURELIMITED Edition Limitée Pop Artwork Street Artist Fine Art. 2023 Sculpture signée Édition limitée de XXX Taille de l'œuvre XXXX INFO

    $754.00

  • Burger King Archival Skateboard Deck by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Planche de skateboard Burger King Archival par Denial - Daniel Bombardier

    Impression par transfert pigmentaire d'archives en édition limitée Burger King sur planche de skate naturelle pressée à froid, œuvre de l'artiste de la culture pop urbaine Denial. En 2000, il a adopté le pseudonyme « DENIAL » pour tourner en dérision la publicité, la politique et les messages médiatiques que la société contemporaine refuse souvent de voir. Depuis, il mène une campagne de rue mondiale permanente, composée de plus de 500 000 autocollants, pancartes et fresques murales, utilisant les caractères alphanumériques « D3N!@L ». Denial s'est imposé comme l'une des figures les plus marquantes de la pop art contemporaine. Toujours aussi pertinent, il s'attache à susciter la réflexion. Son travail explore depuis longtemps les limites de l'appropriation culturelle, qu'il utilise pour subvertir la valeur des produits culturels inscrits dans la mémoire collective occidentale. En d'autres termes, son œuvre invite le spectateur à réinventer notre société dystopique afin de la confronter, l'humour et l'ironie étant ses principaux outils.

    $505.00

  • Miss Piggy On Ozempic Blotter Paper Archival Print by Ben Frost

    Ben Frost Miss Piggy sur papier buvard Ozempic, estampe d'archives de Ben Frost

    Miss Piggy sur papier buvard Ozempic, estampe d'archives par Ben Frost, édition limitée, impression pigmentaire d'art sur papier buvard perforé. Édition limitée signée et numérotée 2025 de tirage pigmentaire d'archives à déterminer sur papier buvard perforé. Format : 7,5 x 7,5 pouces. Sortie : 19 avril 2025. Les éditions limitées sur buvard sont perforées à la main par Zane Kesey. Miss Piggy sur Ozempic par Ben Frost : Glamour, médicaments et satire pop urbaine L'estampe d'archives « Miss Piggy On Ozempic Blotter Paper » de Ben Frost, sortie en 2025, marque une nouvelle étape dans l'exploration par l'artiste de l'esthétique pharmaceutique et des icônes de la culture pop. Imprimée en édition limitée sur papier buvard perforé avec des pigments d'archives, cette œuvre de 19 x 19 cm place Miss Piggy – sans doute le personnage le plus exubérant et soucieux de son corps des Muppets – au cœur d'une fusion satirique entre la vanité des célébrités et l'obsession contemporaine pour les médicaments amaigrissants. Miss Piggy est représentée dans son glamour rose classique, avec ses cils, ses perles et son insolence caractéristiques, contrastant avec le design commercial austère de l'emballage d'Ozempic. Faisant référence au sémaglutide, aux étiquettes des ordonnances et au coût exorbitant des soins de santé américains, l'œuvre dénonce la dépendance croissante de la société aux produits pharmaceutiques à visée esthétique. L'art urbain pop et le graffiti rencontrent le consumérisme médical Ben Frost, connu pour son utilisation audacieuse et controversée des emballages commerciaux comme support visuel, transforme le marketing pharmaceutique en outil narratif. Le choix de Miss Piggy comme personnage confère au message une ironie mordante. La collision entre le divertissement enfantin et les complexes des adultes concernant la beauté, la taille et le contrôle résonne tout au long de la composition. Cette œuvre n'est pas seulement une parodie, mais aussi une critique visuelle, interrogeant le rapport du public à une santé commercialisée comme un produit de vanité et la marchandisation de l'estime de soi. Le format du buvard, perforé et à collectionner, renforce l'idée du médicament comme un artefact culturel consommable : quelque chose à prendre, à partager, à diviser ou à utiliser pour construire son identité. Le rôle des icônes féminines dans les récits de la pop urbaine L'exagération de la féminité de Miss Piggy et son statut d'icône culturelle sont habilement détournés dans cette composition. Son personnage devient une métaphore visuelle de la quête incessante de la perfection visuelle. L'œuvre de Ben Frost interroge souvent ceux qui définissent ces normes et ceux qui en profitent. Ici, l'emballage d'un médicament contre le diabète, autrefois confidentiel, désormais associé à la chirurgie esthétique pour la perte de poids, devient le piédestal moderne sur lequel les icônes sont érigées et critiquées. Cette collision entre design commercial et pouvoir d'attraction des stars animées crée une tension entre innocence et marchandisation, utilisant les techniques du street art et du graffiti pour satiriser la rapidité avec laquelle la culture recycle ses idoles et ses problématiques. Support buvard et provocation psychédélique Réalisée en collaboration avec Zane Kesey, qui a perforé à la main les éditions buvard, cette œuvre fait subtilement référence à la contre-culture et à l'histoire des médias psychédéliques. Si Ozempic est commercialisé comme une drogue transformatrice, le format imprimé lui-même évoque des états de conscience modifiés. L'utilisation d'une icône pop comme Miss Piggy confère à l'estampe une dimension critique, non seulement des normes de beauté, mais aussi de la consommation en général – qu'il s'agisse de drogues, de célébrité ou de nostalgie des dessins animés. « Miss Piggy On Ozempic » est une satire mordante des priorités culturelles à l'ère du bien-être factice et de la manipulation de l'image. C'est une œuvre audacieuse, subversive et indéniablement signée Frost.

    $550.00

  • Goof Ball Archival Print by Ben Frost

    Ben Frost ARCHIVALPP Impression d'archives par ARTIST

    Achetez TITRE Archival Pigment Fine Art Limited Edition Print sur MEDIUM Pop Artist Modern Artwork. 2022 Édition limitée signée et numérotée de XXX Taille de l'œuvre XXXX INFO

    $621.00

  • Speedy On Adderall Blotter Paper Archival Print by Ben Frost

    Ben Frost BUVARD Papier buvard Archival Print par ARTIST

    Achetez TITLE Édition limitée Fine Art Archival Pigment Print Art sur papier buvard perforé. 2022 Édition limitée signée et numérotée de XX Tirage pigmentaire d'archivage sur papier buvard perforé Taille : 7,5 x 7,5 pouces Sortie : 19 avril 2022 Les éditions limitées de buvard sont perforées à la main par Zane Kesey.

    $491.00

  • McDonald Archival Skateboard Deck by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier McDonald Archival Skateboard Deck par Denial - Daniel Bombardier

    Impression par transfert de pigments d'archives en édition limitée McDonald sur planche de skate naturelle pressée à froid, œuvre de l'artiste de la culture pop urbaine Denial. Édition limitée 2019 à 50 exemplaires En 2000, il a adopté le pseudonyme « DENIAL » pour tourner en dérision la publicité, la politique et les messages médiatiques que la société contemporaine refuse souvent de voir. Depuis, il mène une campagne de rue mondiale permanente, composée de plus de 500 000 autocollants, pancartes et fresques murales, utilisant les caractères alphanumériques « D3N!@L ». Denial est un artiste canadien qui expérimente avec l'aérosol et le pochoir. Ses principaux centres d'intérêt sont la société de consommation, la politique et la condition humaine dans la société contemporaine. Face à la popularité croissante du graffiti aux États-Unis et en Europe, les graffeurs devaient faire preuve d'une originalité toujours plus grande pour se démarquer. Leurs signatures sont devenues plus grandes, plus stylisées et plus colorées.

    $505.00

  • Coca-Cola Archival Skateboard Deck by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Planche de skateboard Coca-Cola Archival par Denial - Daniel Bombardier

    Impression par transfert pigmentaire d'archives en édition limitée Coca-Cola sur planche de skate naturelle pressée à froid, œuvre de l'artiste de la culture pop urbaine Denial. En 2000, il a adopté le pseudonyme « DENIAL » pour tourner en dérision la publicité, la politique et les messages médiatiques que la société contemporaine refuse souvent de voir. Depuis, il mène une campagne de rue mondiale permanente, composée de plus de 500 000 autocollants, pancartes et fresques murales, utilisant les caractères alphanumériques « D3N!@L ». Dans l'univers de Denial, la mémoire est essentielle, car elle constitue le fondement de son œuvre. Elle invite le public, par une approche nostalgique, à s'y intéresser. De ce fait, son art est à la fois familier et troublant, car il révèle les aspects les plus dérangeants de la société, ceux que nous refusons d'admettre. Malgré son histoire controversée, le graffiti est de moins en moins perçu comme une forme de vandalisme.

    $505.00

  • Social Distancing Archival Print by Ben Frost

    Ben Frost Impression d'archives sur la distanciation sociale par Ben Frost

    « Social Distancing Simpsons Archival Pigment Fine Edition Limited Edition Print on 310gsm Bauhaus Cotton Rag Paper » de l'artiste Ben Frost, Street Pop Art Graffiti. Édition limitée signée et numérotée de 40 exemplaires, 2020. Format de l'œuvre : 12 x 12 pouces. Ben Frost (né en 1975), « Distanciation sociale », 2020. Impression numérique d'archives sur papier Bauhaus Cotton Rag Stock, 12 x 12 pouces (30,5 x 30,5 cm) (feuille). L'édition limitée à 40 exemplaires est signée et numérotée au crayon sur le bord inférieur et publiée par l'artiste. À la croisée de la culture pop et du commentaire social L'estampe d'art « Social Distancing Simpsons » de Ben Frost, réalisée à partir de pigments d'archives, est une analyse percutante de la société contemporaine à travers le prisme du pop art urbain et du graffiti. Cette édition limitée, numérotée et signée, reflète l'approche unique et souvent controversée de Frost, qui mêle icônes de la culture populaire et messages subversifs. Créée en 2020, « Social Distancing Simpsons » est une œuvre saisissante qui se déroule dans le contexte d'une pandémie mondiale, à une époque où la distanciation sociale est devenue omniprésente. En intégrant un personnage familier des « Simpson », Frost touche à la conscience collective et commente l'impact des changements sociétaux sur la culture populaire. Le choix de l'impression numérique d'archives sur papier Bauhaus Cotton Rag Stock, un matériau de haute qualité, garantit la préservation de l'éclat de l'œuvre et la précision de ses détails. La juxtaposition de l'image d'un personnage des Simpson avec une étiquette pharmaceutique illustre le style de Frost, qui consiste souvent à fusionner des éléments disparates pour créer une œuvre visuelle à la fois dérangeante et stimulante. Cette estampe de 12 x 12 pouces est un carré parfait qui capture l'essence du propos artistique de Frost : une critique du consumérisme, de la santé mentale et de l'industrie pharmaceutique. Le style signature de Ben Frost L'œuvre de Frost se caractérise par sa volonté inflexible de confronter et de remettre en question les vérités dérangeantes de la vie moderne. Dans « Social Distancing Simpsons », la collision entre l'univers du dessin animé et la dure réalité des médicaments parle à une génération qui trouve du réconfort dans la nostalgie tout en luttant contre les angoisses contemporaines. Tirée à seulement 40 exemplaires, cette œuvre devient une pièce de collection, un instantané d'une époque marquée par l'isolement et la quête de lien social. Reflets du pop art et du graffiti urbains L'art de Frost reflète le pop art urbain et le graffiti par sa franchise et son langage visuel immédiat et accessible. L'intégration de l'esthétique du street art dans des estampes d'art brouille les frontières entre l'art savant et les expressions plus démocratiques en milieu urbain. « Social Distancing Simpsons » témoigne du pouvoir de ce genre à communiquer au-delà des mots, offrant une critique visuelle à la fois universelle et profondément personnelle. En résumé, « Social Distancing Simpsons » de Ben Frost est plus qu'une simple œuvre d'art ; c'est un commentaire sur notre époque, un miroir tendu aux complexités et contradictions de la vie contemporaine. Par son habile mélange de références à la culture pop et de commentaires sociaux incisifs, Frost s'impose comme une voix majeure du pop art urbain et du graffiti. Cette œuvre, en particulier, constitue un poignant rappel de l'année 2020, capturant l'essence d'une période qui a marqué la société à jamais.

    $684.00

  • War 100 Tablets AP HPM Stencil on Board by Ben Frost

    Ben Frost Pochoir WOODCRADLED HPM sur bois par ARTIST

    Achetez WOODCRADLED Panneau multiple peint à la main prêt à accrocher par ARTIST Graffiti Street Artist Modern Pop Art. 2022 Édition signée et numérotée de XXX HPM MEDIA Print Artwork Taille XXX INFO

    $1,898.00

  • Percocet The Prisoner Drug Bear Art Toy by Luke Chueh

    Luke Chueh Percocet, l'ours prisonnier de la drogue, figurine artistique par Luke Chueh

    Percocet The Prisoner Drug Bear Art Toy par Luke Chueh, œuvre d'art en vinyle en édition limitée, réalisée par un artiste de graffiti de rue. Œuvre d'art en édition limitée 2018 à 500 exemplaires, accompagnée d'un emballage en coton, d'un sac et d'un tube. Inspirée de la peinture originale de Luke Chueh, « Le Prisonnier » explore la captivité sous toutes ses formes : physique, mentale ou médicamenteuse. Le trouble de stress post-traumatique (TSPT) est un problème de santé mentale qui peut se développer après avoir vécu ou été témoin d'un événement potentiellement mortel tel qu'un combat, une catastrophe naturelle, un accident de voiture ou une agression sexuelle. Par ailleurs, la dépendance aux médicaments sur ordonnance comme le Percocet a engendré de nombreux problèmes d'addiction. Le message poignant derrière la figurine artistique « Le Prisonnier - Percocet » de Luke Chueh « Le Prisonnier - Percocet » est une figurine en vinyle en édition limitée qui offre un commentaire poignant sur l'emprise de la dépendance et les souffrances liées aux troubles mentaux. Créée par le célèbre artiste de rue Luke Chueh, cette œuvre de 2018, limitée à 500 exemplaires, explore le concept de captivité à travers les barreaux et les chaînes souvent invisibles de la dépendance aux médicaments. Cette pièce est inspirée de la peinture originale de Chueh, « Le Prisonnier », qui dépeint la triste réalité de nombreuses personnes souffrant de stress post-traumatique (SSPT) et de dépendance aux médicaments sur ordonnance, notamment à des substances puissantes comme le Percocet. Cette figurine, qui invite à la réflexion, capture l'essence du street art et du graffiti. Elle reflète la nature brute et authentique de la scène artistique urbaine tout en abordant des problématiques sociétales complexes. La figurine est minutieusement présentée avec du coton, un sachet et un tube, évoquant la présentation des médicaments sur ordonnance et suggérant subtilement la nature clinique de la distribution des drogues. L'approche artistique d'une situation difficile des temps modernes La démarche artistique de Luke Chueh se caractérise souvent par l'utilisation d'images saisissantes et percutantes qui suscitent empathie et contemplation. Avec « Le Prisonnier - Percocet », Chueh confronte le spectateur à la réalité de la dépendance aux médicaments : une situation où un traitement censé soigner devient source de souffrance prolongée. La figurine en vinyle, le regard baissé et les mains jointes, symbolise les innombrables personnes aux prises avec le double fléau du syndrome de stress post-traumatique et de l'addiction. Plus qu'un simple objet de collection, cette œuvre d'art est un discours visuel sur le problème omniprésent de la toxicomanie liée aux médicaments sur ordonnance. Le travail de Chueh fait le lien entre art et engagement, offrant un éclairage sur le bouleversement psychologique et émotionnel qui accompagne la dépendance. Cette pièce, en particulier, incarne le discours critique souvent porté par le street art et le graffiti, mettant en lumière des problèmes urgents et bien réels par le biais de l'expression artistique. « Le Prisonnier - Percocet » dans le contexte de l'art de collection Les collectionneurs de « The Prisoner - Percocet » possèdent une œuvre d'art poignante, évocatrice et d'une actualité saisissante. Un certificat d'authenticité en métal accompagne chaque figurine, garantissant ainsi sa légitimité et son statut particulier au sein de cette série limitée. Le style unique de Luke Chueh, à la fois simple et profond, s'y déploie pleinement, faisant de cette pièce un objet de collection très recherché dans le domaine du street art contemporain. Acquérir cette œuvre, c'est reconnaître et apprécier la profondeur et le potentiel du street art, capable de transcender les supports traditionnels et de devenir un vecteur de commentaire social. Cette pièce de collection témoigne du pouvoir de l'art à susciter le dialogue et du rôle de l'artiste en tant que porte-parole de la condition humaine. Elle invite à réfléchir à la relation complexe que la société entretient avec les médicaments et aux difficultés souvent occultées qui accompagnent leur usage. Dans le contexte plus large du street art, « The Prisoner - Percocet », une œuvre d'art de Luke Chueh, se distingue par sa capacité à communiquer un message profond de manière concise et symbolique. Cette œuvre est un puissant point de rencontre entre art et engagement, incarnant dans une simple figurine silencieuse la lutte qui marque la vie de nombreuses personnes. Pour le collectionneur averti, il ne s'agit pas d'une simple figurine en vinyle, mais d'un objet de conversation, d'un symbole de prise de conscience et d'une œuvre de graffiti saisissante, porteuse d'une forte dimension culturelle et artistique.

    $320.00

  • Vicodin The Prisoner Drug Bear Art Toy by Luke Chueh

    Luke Chueh Figurine d'art Vicodin The Prisoner Drug Bear par Luke Chueh

    Vicodin The Prisoner Drug Bear Art Toy par Luke Chueh, œuvre d'art en vinyle en édition limitée, réalisée par un artiste de graffiti de rue. Œuvre d'art en édition limitée 2016 à 500 exemplaires, accompagnée d'un emballage en coton, d'un sac et d'un tube. Inspirée de la peinture originale de Luke Chueh, « Le Prisonnier » explore la captivité sous toutes ses formes : physique, mentale ou médicamenteuse. Le trouble de stress post-traumatique (TSPT) est un problème de santé mentale qui peut se développer après avoir vécu ou été témoin d'un événement potentiellement mortel tel qu'un combat, une catastrophe naturelle, un accident de voiture ou une agression sexuelle. Par ailleurs, la dépendance aux médicaments sur ordonnance comme le Percocet a engendré de nombreux problèmes d'addiction. Vicodin, l'ours prisonnier de la drogue, par Luke Chueh : Manifestation vinyle du désespoir pharmaceutique dans l'art urbain pop et le graffiti Vicodin The Prisoner est une figurine en vinyle en édition limitée de 2016, créée par Luke Chueh à 500 exemplaires. Chaque pièce est présentée dans une pochette en coton, un tube imitant un flacon de médicaments et un étiquetage personnalisé. Cette pièce de collection, à la fois saisissante et introspective, s'inspire de la peinture originale de Chueh, The Prisoner, une œuvre qui explore le concept de captivité sous ses multiples formes : psychologique, émotionnelle et pharmaceutique. La figurine représente un petit ours blanc, les bras enlacés autour des genoux fléchis, le corps recroquevillé dans une posture défensive. Emballé dans un faux flacon de pilules étiqueté Vicodin, l'ours devient une métaphore physique de la dépendance et de l'anesthésie des traumatismes par des moyens chimiques. S'inscrivant dans le langage du Street Pop Art et du graffiti, cette figurine incarne les réalités brutes souvent occultées par les discours consuméristes lisses. L'emballage pharmaceutique comme réceptacle de la vérité émotionnelle Le choix de Luke Chueh d'enfermer la figurine dans un flacon de pharmacie orange standard transforme le jouet en une sculpture symbolique. Cet emballage n'est pas qu'esthétique : il fait partie intégrante de l'œuvre. Le flacon en plastique orange est généralement associé à la guérison et aux soins réglementés, mais ici, il fait office de prison, enfermant le personnage dans un silence émotionnel. Étiquetée sous le nom de Vicodin, un opioïde largement prescrit mais très addictif, l'œuvre invite le spectateur à s'interroger sur la frontière ténue entre traitement et emprisonnement. L'expression inexpressive et la posture affaissée de l'ours amplifient le fardeau émotionnel de la dépendance. Minimaliste dans son exécution mais puissante dans son message, la présence de la figurine au sein du Street Pop Art & Graffiti Artwork remet en question l'idée que les jouets doivent être joyeux ou inoffensifs. Chueh propose au contraire un objet qui évoque le traumatisme, les médicaments et la douleur émotionnelle, souvent invisible, qui les accompagne. Le langage visuel de la souffrance et de l'identité chez Luke Chueh Luke Chueh, artiste américain installé à Los Angeles, est reconnu pour ses figures simples et iconiques qui abordent les thèmes de la maladie mentale, de la souffrance personnelle et des pressions sociales. Ses personnages, souvent d'apparence douce et réservée, sont pourtant chargés d'une immense charge émotionnelle. Dans Vicodin The Prisoner, la blancheur de l'ours symbolise à la fois la froideur clinique et l'engourdissement émotionnel. La démarche de Chueh, empreinte d'honnêteté et de vulnérabilité, distille des expériences complexes en des formes universelles. Son influence dans le Street Pop Art et le graffiti provient de cette capacité à s'exprimer directement à travers la sculpture, l'illustration et la conception de jouets narratifs. L'ours de Chueh n'est pas seulement un personnage, mais aussi une incarnation de toute personne aux prises avec la paralysie émotionnelle, la dépression ou l'emprise de la dépendance. La série Prisoner comme commentaire et objet de collection Cette édition limitée à 500 exemplaires comprend non seulement l'ours en vinyle, mais aussi une présentation conçue pour immerger les collectionneurs dans son message. L'emballage, évoquant un flacon de pilules et portant une étiquette personnalisée pour le Vicodin, fait écho aux environnements contrôlés dont beaucoup cherchent à s'échapper, mais où ils se retrouvent aussi piégés. Le sac en coton ajoute une dimension clinique et détachée, comme s'il s'agissait d'un médicament sur ordonnance plutôt que d'une œuvre d'art expressive. Appartenant à la série « The Prisoner », cette version enrichit le débat actuel autour du traumatisme et des médicaments dans le contexte du Street Pop Art et du graffiti. Elle transforme un objet de collection en une œuvre engagée, où le mignon et le dérangeant coexistent, créant une tension puissante qui caractérise le travail de Luke Chueh. L'ours reste immobile, silencieux et confiné ; pourtant, sa présence en dit long sur une culture qui médicamente la douleur sans toujours la comprendre.

    $275.00

  • Instagram Pill Archival Skateboard Deck by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Plateau de skateboard Instagram Pill Archival par Denial - Daniel Bombardier

    Impression par transfert de pigments d'archives en édition limitée Instagram Pill sur planche de skate naturelle pressée à froid, œuvre de l'artiste de la culture pop urbaine Denial. Édition limitée 2019 à 50 exemplaires En 2000, il a adopté le pseudonyme « DENIAL » pour tourner en dérision la publicité, la politique et les messages médiatiques que la société contemporaine refuse souvent de voir. Depuis, il mène une campagne de rue mondiale permanente, composée de plus de 500 000 autocollants, pancartes et fresques murales, utilisant les caractères alphanumériques « D3N!@L ». L'art de Denial est profondément politique et social, l'artiste prenant position contre des problématiques telles que le capitalisme, la société de consommation et la publicité. Plus important encore, il est conscient de ses choix et de ses motivations : « Je me considère comme un artiste pop engagé. Mon rapport aux dessins animés et aux illustrations est bien plus simple qu'avec le photoréalisme. » L'humour est un autre aspect essentiel du travail de Denial. Son œuvre est satirique, ce qui signifie, par définition, qu'elle utilise l'humour comme outil de confrontation.

    $505.00

  • Sleepy Smurf Valium Blotter Paper Archival Print by Ben Frost

    Ben Frost Impression d'archives sur papier buvard Valium du Schtroumpf Dormeur par Ben Frost

    Impression d'art sur papier buvard Valium « Schtroumpf endormi » par Ben Frost, édition limitée, impression pigmentaire d'art sur papier buvard perforé. Édition limitée signée et numérotée 2025 de tirage pigmentaire d'archives à déterminer sur papier buvard perforé. Format : 7,5 x 7,5 pouces. Sortie : 19 avril 2025. Les éditions limitées sur buvard sont perforées à la main par Zane Kesey. Parodie pharmaceutique et subversion des dessins animés L'estampe d'archives « Le Schtroumpf Dormeur Valium » de Ben Frost est une œuvre audacieuse qui enrichit le canon du street art et du graffiti. Sortie en 2025 en édition limitée, cette estampe pigmentaire d'archives sur papier buvard perforé fusionne deux icônes culturelles majeures : l'univers innocent des Schtroumpfs et l'esthétique clinique des emballages pharmaceutiques. Frost, artiste australien contemporain reconnu pour sa fusion incisive et satirique de graphismes grand public et de personnages pop, interpelle le spectateur par des contradictions visuelles qui suscitent des réactions immédiates. Sur cette estampe, le Schtroumpf Dormeur se prélasse paisiblement sur un fond rose et crème stylisé comme un emballage de Valium, brouillant la frontière entre la culture des médicaments et l'imaginaire pop. Les symboles commerciaux comme outils des beaux-arts Dans cette édition, Frost démontre pleinement sa capacité à s'approprier le langage visuel des entreprises et à le transformer en une œuvre d'art vibrante et complexe. En reproduisant fidèlement l'apparence des médicaments sans ordonnance et en intégrant un personnage emblématique à cet univers, il crée une collision entre le discours sur la santé mentale et la nostalgie de l'enfance. La précision de l'étiquette, des indications posologiques, du code-barres et du jargon pharmaceutique accentue la tension entre ce qui est perçu comme thérapeutique et ce qui relève du jeu culturel. En traitant le Schtroumpf Dormeur comme un ingrédient d'un sédatif, Frost interroge la dépendance de la société aux médicaments et leur rôle dans la construction de la personnalité et de la perception. Commentaire subtil dans un format bruyant L'approche de Frost repose souvent sur une ironie subtilement dissimulée sous un graphisme saisissant, et « Le Schtroumpf endormi et le Valium » illustre parfaitement cet esprit. La silhouette bleue et rassurante du Schtroumpf, emblème d'une vie communautaire innocente, est présentée sous l'étiquette du diazépam, un puissant anxiolytique. Le repos du personnage semble paisible, mais il apparaît clairement que l'artiste aborde l'engourdissement, la dépendance et les états émotionnels confus d'une société sous influence médicamenteuse. Ces thèmes sont amplifiés par le format buvard – papier perforé généralement associé à la distribution de substances psychédéliques – renforçant ainsi les liens entre l'histoire de la rébellion urbaine, les altérations de la conscience et les médias subversifs. Ben Frost et l'instrumentalisation visuelle du branding Ben Frost demeure l'une des voix les plus provocatrices de l'évolution du street art et du graffiti. Né en Australie, il s'est fait connaître en détournant les figures emblématiques de la culture populaire pour en faire des vecteurs de critique. Des mascottes de fast-food aux dessins animés vintage, Frost déploie une nostalgie graphique d'une précision chirurgicale. Dans « Sleepy Smurf Valium », il souligne l'absurdité de la consommation de masse et de la dépendance aux médicaments en transformant une joie apparente en une addiction dangereuse. Cette estampe n'est pas qu'une simple image ; elle reflète le malaise contemporain à travers une esthétique d'une gaieté trompeuse.

    $550.00

  • Louis Vuitton Designer Drugs Skateboard Art Deck by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier SKATEBOARD Skateboard Art Deck par ARTISTE

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  • Rolex Designer Drugs Skateboard Art Deck by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier SKATEBOARD Skateboard Art Deck par ARTISTE

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  • Sale -15% Lean on Me #1 Silkscreen by Ben Frost

    Ben Frost SÉRIGRAPHIE

    Achetez une sérigraphie 4 couleurs tirée à la main TITRE sur MOYEN par l'artiste désirable ARTIST oeuvre Pop Art en édition limitée. 2022 Édition limitée signée et numérotée de XXX Taille de l'œuvre XXXX INFO

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  • Xanax The Prisoner Blue Drug Bear Art Toy by Luke Chueh

    Luke Chueh Figurine d'art Xanax The Prisoner Blue Drug Bear par Luke Chueh

    Xanax le prisonnier Ours bleu drogué Figurine artistique par Luke Chueh Édition limitée Vinyle Œuvre d'art de collection par un artiste de graffiti de rue. Œuvre d'art en édition limitée 2017 à 500 exemplaires, accompagnée d'un emballage en coton, d'un sac et d'un tube. Inspirée de la peinture originale de Luke Chueh, « Le Prisonnier » explore la captivité sous toutes ses formes : physique, mentale ou médicamenteuse. Le trouble de stress post-traumatique (TSPT) est un problème de santé mentale qui peut se développer après avoir vécu ou été témoin d'un événement potentiellement mortel tel qu'un combat, une catastrophe naturelle, un accident de voiture ou une agression sexuelle. Par ailleurs, la dépendance aux médicaments sur ordonnance comme le Percocet a engendré de nombreux problèmes d'addiction. Xanax, l'ours en peluche bleu prisonnier de la drogue, par Luke Chueh : une figurine en vinyle représentant la captivité émotionnelle dans le style pop art et graffiti. L'ours en peluche bleu « Xanax The Prisoner » est une figurine d'art en vinyle en édition limitée, profondément expressive, conçue par l'artiste de rue Luke Chueh. Sortie en 2017 à 500 exemplaires, cette œuvre sculpturale a été réalisée avec soin et intention. Son emballage comprend un insert en coton, un sac à cordon et un flacon de pilules surdimensionné. La pièce est inspirée de la peinture originale de Chueh, intitulée « The Prisoner », une représentation poignante de l'enfermement émotionnel et psychologique qui explore les thèmes du traumatisme, de la dépendance et de la santé mentale à travers un design minimaliste mais puissant. Les bras croisés autour des genoux fléchis et la tête baissée, l'ours, dans sa posture d'isolement, raconte à lui seul une histoire de désespoir et d'emprisonnement. La silhouette bleue, figée dans une angoisse silencieuse, est une métaphore physique des luttes intérieures que beaucoup mènent dans un monde de plus en plus dépendant des solutions pharmaceutiques. Symbolisme visuel et contexte matériel dans l'ours de Chueh L'Ours prisonnier de Luke Chueh est autant un portrait psychologique qu'une figurine en vinyle. L'utilisation du flacon de pilules comme emballage et comme prison symbolique est très révélatrice. Le tube orange transparent, souvent associé à la guérison, se transforme en un espace confiné de répression émotionnelle et d'emprisonnement médicamenteux. L'expression inexpressive de l'ours et sa forme douce et non menaçante contrastent fortement avec les lourdes conséquences de la mauvaise utilisation des médicaments et des traumatismes. En plaçant visuellement le personnage dans l'enceinte d'un pilulier, Chueh critique à la fois l'industrie médicale et la manière dont la société traite la souffrance psychologique. L'utilisation de lignes épurées, de contours flous et de couleurs sobres rend la figurine accessible tout en délivrant un message qui résonne avec le langage visuel du street art et du graffiti. L'œuvre porte une charge émotionnelle et une brutalité souvent présentes dans les représentations crues de la lutte humaine propres au street art. Luke Chueh et le regard artistique sur la santé mentale Luke Chueh est un artiste reconnu pour son art de mêler thèmes sombres et imagerie d'une douceur désarmante, créant des personnages à la fois fascinants et troublants. Installé aux États-Unis, son travail explore fréquemment l'angoisse personnelle, la dépendance, l'isolement et la quête d'identité à travers des visuels accessibles et une abstraction narrative. L'ours en peluche bleu « Xanax The Prisoner » incarne cette dualité. Bien plus qu'un simple objet de collection, cette figurine est le reflet d'expériences vécues et de réalités sociales, notamment en lien avec le syndrome de stress post-traumatique, la toxicomanie et la souffrance invisible que beaucoup endurent en silence. La charge émotionnelle qui imprègne cet ours lui confère une double dimension : sculpture et commentaire social. Il transcende le simple décor pour s'inscrire dans le champ de la protestation et de la prise de conscience collective, souvent revendiqué par le street art et le graffiti. Vinyle de collection comme artefact émotionnel dans l'art urbain pop et graffiti Tirée à seulement 500 exemplaires, l'ours en peluche bleu « Xanax le prisonnier » s'impose comme une œuvre d'art significative, transcendant la culture du jouet pour entrer dans le domaine du récit émotionnel. Loin d'être tape-à-l'œil ou décoratif à des fins commerciales, il puise son inspiration dans la réflexion, l'honnêteté et le malaise. L'utilisation du vinyle lui confère une permanence physique, contrastant avec le soulagement éphémère des drogues qu'il critique symboliquement. Le flacon de pilules n'est pas un artifice, mais un élément sculptural qui emprisonne l'ours au sens propre comme au figuré. Dans le langage du street art et du graffiti, cette œuvre se présente comme une fresque silencieuse en trois dimensions, un monument aux combats invisibles menés par celles et ceux qui vivent avec un traumatisme, une addiction ou un épuisement émotionnel. L'œuvre de Luke Chueh n'offre pas de solutions, mais ouvre un espace d'empathie, de reconnaissance et de dialogue difficile.

    $320.00

  • Taco Bell Skateboard Deck by Denial- Daniel Bombardier

    Denial- Daniel Bombardier Planche de skateboard Taco Bell par Denial - Daniel Bombardier

    Impression par transfert pigmentaire d'archives en édition limitée Taco Bell sur planche de skate naturelle pressée à froid, œuvre de l'artiste de la culture pop urbaine Denial. Édition limitée 2019 à 50 exemplaires En 2000, il a adopté le pseudonyme « DENIAL » pour tourner en dérision la publicité, la politique et les messages médiatiques que la société contemporaine refuse souvent de voir. Depuis, il mène une campagne de rue mondiale permanente, composée de plus de 500 000 autocollants, pancartes et fresques murales, utilisant les caractères alphanumériques « D3N!@L ». En substance, Denial satirise la réalité que lui et nous vivons à travers certains des symboles les plus emblématiques de la culture occidentale. Il utilise des produits culturels pour dénoncer le système qui les a engendrés. De ce fait, il les recontextualise et les transforme, de produits commerciaux, en un héritage culturel.

    $505.00

  • Sodium Iodide Glow in the Dark The Prisoner Bear Art Toy by Luke Chueh

    Luke Chueh Figurine d'art « Ours prisonnier » en iodure de sodium phosphorescent, créée par Luke Chueh.

    Iodure de sodium phosphorescent Le Prisonnier GID Kickstarter Drug Bear Art Toy par Luke Chueh Édition limitée Vinyle Œuvre d'art de collection par un artiste de graffiti de rue. Œuvre d'art en édition limitée 2018, tirée à 213 exemplaires, avec emballage en coton, sac et tube. Inspirée de la peinture originale de Luke Chueh, « Le Prisonnier » explore la captivité sous toutes ses formes : physique, mentale ou pharmaceutique. Exclusivité Kickstarter de GID. Iodure de sodium phosphorescent. Le Prisonnier de Luke Chueh : Isolement rayonnant dans l’art pop urbain et le graffiti. « The Prisoner », une figurine en vinyle phosphorescente à l'iodure de sodium, est une création exclusive Kickstarter 2018 de l'artiste Luke Chueh, éditée à seulement 213 exemplaires. Cette version unique de la série « The Prisoner » est phosphorescente. Sculptée dans une teinte blanc cassé, elle émet une lueur verte lumineuse dans l'obscurité. Présentée dans un emballage rappelant un flacon de pilules, accompagnée d'un sachet en coton et d'une étiquette de prescription, la figurine revêt une importance à la fois visuelle et thématique. Inspirée d'une peinture originale de Chueh, « The Prisoner » explore la captivité émotionnelle et pharmaceutique, transformant un simple ours assis en un symbole poignant de lutte intérieure. La référence à l'iodure de sodium relie la figurine aux traitements radioactifs et aux interventions médicales, élargissant ainsi sa portée aux thèmes de la guérison toxique et des dommages invisibles. Cette édition phosphorescente inscrit davantage l'œuvre de Chueh dans le dialogue entre le Street Pop Art et le Graffiti, en transformant la souffrance en un objet de collection lumineux, source de réflexion. Lumière et obscurité comme contraste émotionnel Ce qui distingue l'édition à l'iodure de sodium du Prisonnier, c'est sa phosphorescence. De jour, la figurine apparaît fantomatique, dans une douce teinte ivoire. Dans l'obscurité, elle se métamorphose, émettant une faible lueur verte qui renforce l'idée d'émotions enfouies qui refont surface lorsque les distractions extérieures s'estompent. Cet effet lumineux n'est pas un gadget, mais une métaphore. Il représente la façon dont les traumatismes, l'anxiété et la douleur restent souvent invisibles jusqu'à ce que la solitude ou le silence les révèlent. La phosphorescence fonctionne comme une métaphore visuelle du rayonnement émotionnel : invisible, persistant et potentiellement nocif, même lorsque l'apparence est stable. La posture du jouet reste constante dans toute la série : les bras enroulés autour des genoux, les yeux cernés, le corps replié sur lui-même. Mais la phosphorescence ajoute une nouvelle dimension, rappelant aux spectateurs que ce qui est invisible peut blesser. C'est un élément central du Street Pop Art et du graffiti, où les objets du quotidien se chargent d'une nouvelle signification par le contexte, la forme et le contraste. L'utilisation du minimalisme par Luke Chueh pour explorer les traumatismes complexes Luke Chueh est reconnu pour ses œuvres chargées d'émotion, réalisées à partir de personnages minimalistes et de matériaux familiers. Son ours iconique, souvent en proie à des dilemmes existentiels, sert de support à l'exploration des thèmes de la dépression, de la solitude et du fardeau psychologique. Dans l'édition Sodium Iodide GID, ce langage visuel est magnifié par une transformation matérielle. La figurine ne se contente pas de représenter la captivité émotionnelle ; elle l'incarne par une douce lueur, offrant aux collectionneurs une vision rare et troublante de la vulnérabilité. L'intégration par Chueh d'un emballage sobre et d'une présentation conceptuelle a élevé ses jouets d'art au rang d'artefacts d'introspection culturelle. Cette édition Kickstarter confirme sa place au sein du Street Pop Art et du Graffiti, en tant que sculpteur du silence et chroniqueur des émotions inavouées. Sa capacité à exprimer des réalités intérieures complexes à travers des formes accessibles le distingue comme une voix sensible et nuancée dans l'univers des jouets de collection. L'édition GID du prisonnier comme symbole de douleur cachée et de visibilité L'édition Sodium Iodide du Prisonnier transforme le jouet traditionnel en une sculpture chargée d'émotion. Limitée à seulement 213 contributeurs Kickstarter à travers le monde, cette figurine phosphorescente est bien plus qu'un simple objet décoratif. Son emballage, conçu comme un flacon de médicaments, et sa référence aux composés radioactifs créent une esthétique de vulnérabilité et de fragilité. L'objet devient un commentaire sur ce qui est soigné et ce qui est ignoré, sur ce qui brille dans l'obscurité mais reste invisible à la lumière du jour. Au sein du Street Pop Art et du Graffiti, cette œuvre touche au cœur même du genre : la redéfinition d'objets du quotidien en expressions d'expériences personnelles et collectives. Luke Chueh utilise le vinyle et la lumière non seulement pour créer un jouet, mais aussi pour révéler le poids psychologique que des millions de personnes portent en silence. Cette figurine est peut-être petite, mais sa lueur révèle l'immensité des combats invisibles menés en silence.

    $420.00

  • OxyCookie Blotter Paper Archival Print by Ben Frost

    Ben Frost OxyCookie Blotter Paper Archival Print par Ben Frost

    OxyCookie Blotter Paper, édition limitée, impression pigmentaire d'archives sur papier buvard perforé par Ben Frost, œuvre d'art LSD de la culture pop. L'artiste contemporain australien Ben Frost est surtout connu pour son Pop Art audacieux et irrévérencieux. Son approche immédiatement reconnaissable de la culture populaire détourne l'iconographie quotidienne des plus grandes marques mondiales. Subvertissant le sens et les messages des médias traditionnels, le commentaire incisif de Frost sur la publicité, le divertissement et la politique est à la fois provocateur et controversé. Ben Frost utilise l'imagerie familière de la culture occidentale pour formuler une critique de cette culture, notamment à travers le prisme du consumérisme, des icônes modernes et des grandes entreprises. Personnages de dessins animés, icônes de la pop culture, logos de marques et bien d'autres éléments sont transformés en œuvres d'art vibrantes et trouvent leur place dans les galeries. Dans cette optique, et dans le cas de Ben Frost, il est vain de tenter de tracer une frontière nette entre art populaire et art savant. En réalité, l'artiste souhaite que le public s'interroge sur les notions de haute et de basse valeur et, par extension, sur leur signification profonde. Au fil des années, les artistes de rue ont su s'imposer comme des créateurs respectés, certains acquérant même une renommée internationale, transformant le graffiti, autrefois art marginal servant parfois à marquer le territoire des gangs, en un secteur économique florissant.

    $466.00

  • Xanax Blotter Paper Archival Print by Ben Frost

    Ben Frost Xanax Blotter Paper Archival Print par Ben Frost

    Papier buvard Xanax, édition limitée, impression pigmentaire d'archives sur papier buvard perforé, par Ben Frost, œuvre d'art sur le LSD et la culture pop. L'artiste contemporain australien Ben Frost est surtout connu pour son Pop Art audacieux et irrévérencieux. Son approche immédiatement reconnaissable de la culture populaire détourne l'iconographie quotidienne des plus grandes marques mondiales. Subvertissant le sens et les messages des médias traditionnels, le commentaire incisif de Frost sur la publicité, le divertissement et la politique est à la fois provocateur et controversé. Il expose actuellement à l'échelle locale et internationale, et son travail a été présenté dans de nombreuses expositions aux États-Unis, en Europe et en Asie. Ce qui frappe d'emblée dans l'art de Frost, c'est l'utilisation non conventionnelle de supports et de techniques variés : de la traditionnelle toile carrée aux boîtes en carton, de la peinture acrylique à la bombe aérosol. Ce n'est pas un hasard si une grande partie de son œuvre est constituée d'images de dessins animés détournées, comme celles des Simpson, des Looney Tunes, des Schtroumpfs, de Winnie l'Ourson, etc., qu'il réinterprète dans un nouveau contexte artistique sans en altérer le sens originel.

    $466.00

Pharmaceutical Graffiti Street Pop Art

Les produits pharmaceutiques comme sujet dans l'art urbain pop et le graffiti

L'imagerie pharmaceutique est devenue un thème puissant et récurrent du street art et du graffiti, servant à la fois de symbole esthétique et de critique culturelle. Les artistes de ce genre utilisent fréquemment pilules, flacons de médicaments, plaquettes thermoformées et logos pharmaceutiques pour explorer les thèmes de la dépendance, du consumérisme, de la santé mentale et du contrôle systémique. Ces visuels puisent dans un langage culturel partagé, où le médicament est non seulement un moyen de guérison, mais aussi un symbole d'enfermement, d'anesthésie et de marchandisation. L'utilisation d'éléments pharmaceutiques dans l'art permet aux créateurs d'affronter des vérités dérangeantes sur la façon dont la société gère la souffrance émotionnelle et dont l'industrie pharmaceutique tire profit de cette souffrance. Des artistes comme Ben Frost et Luke Chueh sont devenus emblématiques de ce dialogue visuel, créant des œuvres qui, tout en séduisant par leur esthétique épurée, interpellent par leur signification profonde.

Le poids symbolique de l'iconographie des ordonnances

La présence récurrente de pilules et de flacons de médicaments dans le street art et le graffiti souligne la tension entre soulagement et répression. Ces symboles ouvrent la voie à des conversations autour de la santé mentale, des traumatismes et des addictions. Les médicaments sur ordonnance comme le Xanax, le Vicodin, l'Oxycontin et l'Adderall ne sont pas de simples noms dans ce contexte : ce sont des références culturelles, des raccourcis pour désigner des problèmes émotionnels et sociétaux complexes. Dans un monde où la santé mentale est de plus en plus prise en charge par des interventions chimiques, ces objets deviennent des métaphores de la souffrance invisible et de la dépendance institutionnelle. Les artistes de rue et pop art détournent, reproduisent et réinterprètent ces symboles pour révéler à quel point ils sont profondément ancrés dans le quotidien. L'esthétique colorée des pilules contraste avec les réalités souvent sombres de ce qu'elles représentent, créant une dissonance visuelle qui renforce la puissance émotionnelle de ces œuvres.

Commentaire émotionnel et social à travers le langage visuel pop

L'intégration de thèmes pharmaceutiques dans ce type d'œuvres reflète souvent une critique plus large du capitalisme et de l'automédication. En réinterprétant les emballages de médicaments sans ordonnance ou les étiquettes de médicaments sur ordonnance, les artistes interrogent la marchandisation des soins et la normalisation culturelle du traitement médicamenteux de la souffrance psychologique. Le langage visuel lumineux et accessible du pop art permet à ces critiques de toucher un large public, tandis que l'énergie rebelle du graffiti préserve l'urgence et la force du message. Des artistes comme Luke Chueh utilisent des personnages minimalistes mais chargés d'émotion pour représenter la souffrance intérieure, tandis que d'autres, comme Ben Frost, superposent des images de dessins animés à des symboles pharmaceutiques pour explorer la tension psychologique entre confort et contrôle. Cette dualité est ce qui définit le Street Pop Art et le graffiti : elle rend des sujets complexes visuellement captivants tout en conservant leur portée conceptuelle.

L'esthétique pharmaceutique comme miroir de la vie contemporaine

Alors que la culture pharmaceutique devient de plus en plus visible et politisée, les artistes continuent de l'utiliser comme outil de réflexion. Le street art, le pop art et le graffiti transforment les médicaments en un miroir visuel, reflétant la manière dont la société prescrit non seulement des médicaments, mais aussi des identités, des comportements et des réactions émotionnelles jugées acceptables. L'esthétique des flacons de pilules immaculés et des étiquettes cliniques est subvertie et recontextualisée en une critique du conformisme, du silence et du contrôle des émotions. Ces œuvres ne célèbrent pas les médicaments, ni ne les condamnent purement et simplement. Elles les inscrivent plutôt dans le chaos de la vie moderne, où les pilules sont à la fois des bouées de sauvetage et des chaînes. À travers ce prisme, les symboles pharmaceutiques évoluent, passant d'un design fonctionnel à des réceptacles de sens culturel, chargés de commentaires sur la douleur, le pouvoir et la frontière ténue entre guérison et mal.

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