Description
13 Horror Movie Killer Giclee Print par Dave Pollot, œuvre d'art en édition limitée, imprimée sur papier d'art de qualité supérieure, artiste graffiti pop de rue.
Édition limitée 2022, signée et numérotée à 55 exemplaires. Dimensions de l'œuvre : 23,5 x 14 pouces.
13 Estampe giclée « Tueur de film d'horreur » par Dave Pollot – Une réinterprétation dérangeante d'une icône classique dans le style street art pop et graffiti.
L'estampe giclée en édition limitée de Dave Pollot, intitulée « 13 Horror Movie Killer » (2022), est une réinterprétation provocatrice de La Cène de Léonard de Vinci, imprégnée d'un humour noir et d'iconographie horrifique. Mesurant 59,7 x 35,6 cm et imprimée sur papier d'art de qualité supérieure, cette édition signée et numérotée à seulement 55 exemplaires fusionne le sacré et le sinistre. Pollot, artiste contemporain new-yorkais connu pour intégrer des références à la culture pop dans des œuvres classiques, métamorphose la scène en remplaçant les apôtres par des figures légendaires du cinéma d'horreur. La tension visuelle entre la figure divine centrale et les figures violentes qui l'entourent crée une réinterprétation à la fois déroutante et captivante, qui a suscité l'intérêt des milieux du pop art et du street art.
De Frankenstein à Freddy : Les icônes de l'horreur réunies dans une satire
La composition réunit des figures de l'horreur immédiatement reconnaissables, telles que le monstre de Frankenstein, la Momie, la Créature du Lac Noir, et des légendes modernes du slasher comme Freddy Krueger, Michael Myers, Jason Voorhees, Leatherface, Ghostface et Pinhead. Chaque personnage est rendu avec soin, faisant écho à sa présence cinématographique tout en s'intégrant à l'esthétique patinée et vieillie du décor de Léonard de Vinci. La patte de Pollot ne se contente pas de parodier ; elle orchestre, combinant la force de l'art religieux à l'iconographie du cinéma pour interroger les notions de vénération culturelle et de moralité. Si le spectateur peut d'abord rire de l'absurdité de voir des méchants d'horreur partager un repas sacré, un examen plus attentif révèle un contraste saisissant entre la peur et la foi, la culture populaire et la permanence.
L'art contemporain rencontre la subversion culturelle dans le pop art urbain et le graffiti.
Pollot est reconnu pour brouiller les frontières entre art savant et art populaire en recouvrant physiquement ou numériquement des œuvres d'art chinées de style classique, avec des personnages de jeux vidéo, de films et de séries télévisées. Ici, la technique d'impression numérique giclée permet une grande richesse de détails et une finition texturée qui reproduit la qualité picturale de l'œuvre originale. En optant pour un tirage limité à 55 exemplaires sur papier beaux-arts, Pollot élève cette pièce au rang d'objet de collection du Street Pop Art et du graffiti. Le procédé giclée se distingue par sa capacité à capturer les nuances de couleurs et les ombres complexes, permettant de rendre avec clarté et profondeur chaque ride, chaque ombre et chaque détail sanglant de ces légendes de l'horreur.
Commentaire de Dave Pollot à travers une satire noire et des icônes familières
Dave Pollot, artiste américain d'art urbain contemporain, insuffle à ses œuvres une ironie et un sens de l'observation aiguisés. Son travail réinvente sans cesse les formes d'art traditionnelles en les intégrant à l'absurdité du divertissement moderne. Dans « 13 Horror Movie Killer », Pollot propose bien plus qu'une simple image insolite : il construit un récit de vénération culturelle, interrogeant la transformation de nos figures emblématiques, autrefois considérées comme sacrées, en monstres du divertissement. Cette œuvre, à la croisée du street art et du graffiti, s'inscrit parfaitement dans les débats autour de l'iconoclasme, de la nostalgie et du réconfort étrange que l'horreur continue d'offrir dans les médias modernes. Chaque tueur est un symbole, et leur présence autour d'une table à la symbolique sacrée invite à une critique incisive de la consommation, du fanatisme et de la mémoire collective au XXIe siècle.